Festival Bruxellons!
Bruxelles - Belgique
Construction: 1999
Topologie du théâtre
Nombre de salles actives: 4
Salle 1: La Cour (628) 1999 - Actif
Salle 2: La Grange (290) 1999 - Actif
Salle 3: Salle des Chevaliers (60) 1999 - Actif
Salle 4: La Chapelle (30) 1999 - Actif
Accès
En métro:
En bus:
Adresse: Château du Karreveld
Evolution
Bâtiment:
Nom:
Propriétaire(s)
Remarquable
La Cour
628
1999 - Actif
La Grange
290
1999 - Actif
Salle des Chevaliers
60
1999 - Actif
La Chapelle
30
1999 - Actif
Musical
Revival
5) Blood Brothers (Revival)
Joué durant 1 mois 4 semaines
Nb de représentations: 25 représentations
Première preview: 11 July 2020
Première: 11 July 2020
Dernière: 08 September 2020
Salle: La Cour (628 places)
Compositeur: Willy Russel •
Parolier: Willy Russel •
Libettiste: Willy Russel •
Metteur en scène: Daniel Hanssens • Jack Cooper •
Chorégraphe:
Avec:
Commentaire:
Presse:
Plus d'infos sur cette production:
Plus d'infos sur ce musical
Parolier: Willy Russel •
Libettiste: Willy Russel •
Metteur en scène: Daniel Hanssens • Jack Cooper •
Chorégraphe:
Avec:
Musical
Revival
4) My Fair Lady (Revival)
Joué durant 1 mois 3 semaines
Nb de représentations: 26 représentations
Première preview: 11 July 2019
Première: 14 July 2019
Dernière: 08 September 2019
Salle: La Cour (628 places)
Compositeur: Frederik Loewe •
Parolier: Alan Jay Lerner •
Libettiste: Alan Jay Lerner •
Metteur en scène: Jack Cooper • Simon Paco •
Chorégraphe:
Avec: Marina Pangos (Eliza Doolittle), Franck Vincent (Henry Higgins), Janine Godinas (Mrs Higgins), François Langlois (Colonel Pickering), Daniel Hanssens (Alfred Doolittle), Laure Godisiabois (Mrs Pearce), Samuel Soulie (Freddy Eynsford-Hill), Carole Clin (Mrs Eynsford-Hill), Oonagh Jacobs (Mrs Hopkins), Steven Colombeen (Zoltan Karpathy), Florian Avoux (Jamie), Arnaud Masclet(Harry), Jolijn Antonissen, Ivy Barlow, Camille Barreira, Roland Bekkers, Virginie Benoist, Zen Berckmans, Pia Brondel, Allan Bungeneers, Geoffrey Debondt, Anaë Dechamps, Armance Delaunoy, Ellen Dilles, Sonia Sheridan Jacquelin, Damien Locqueneux, Romina Palmeri, Stijn Proesmans, Inge Teeuwen, Nando Tilkin, Delphine Vandersmissen
Commentaire:
Presse: "CRITIQUE - ILS L’ONT FAIT… GRÂCE À L’ÉPATANTE MARINA PANGOS, L’ÉQUIPE DU FESTIVAL BRUXELLONS! RÉUSSIT À FAIRE OUBLIER LE FILM DE 1964 AVEC AUDREY HEPBURN. DE BROADWAY À MOLENBEEK, « MY FAIR LADY » ACCOMPLIT UN SACRÉ BOUT DE CHEMIN.
On aura vécu pour voir se mélanger Karl Marx et Audrey Hepburn, mais aussi Bourdieu et Walt Disney.
Si si! Vous êtes sceptiques? Foncez au Château du Karreveld découvrir My Fair Lady, comédie musicale américaine adaptée en français au festival Bruxellons!, et vous verrez: Marx pour la plongée dans le prolétariat londonien; Audrey Hepburn pour la classe intersidérale de la comédienne principale; Bourdieu pour l’importance du capital culturel dans la distinction des classes; et enfin, Walt Disney, parce qu’on reste tout de même dans le registre du conte de fées avec robes de princesses et parenthèses (en)chantées. Mise en scène par Jack Cooper et Simon Paco, My Fair Lady est tout cela à la fois. (…)
Absolument époustouflante, Marina Pangos porte ce personnage avec un charisme fou. Non seulement sa métamorphose est spectaculaire, depuis la gouailleuse fille des rues jusqu’à la « lady » au port altier, mais son travail sur les accents évite tous les écueils. Elle aurait pu sombrer dans une imitation locale du brusseleir ou une variation facile du ch’ti mais elle façonne plutôt une intonation bien à elle, mélange de mille influences, mais créé de toutes pièces.
Emporté par son jeu haut en couleur, le public pulse en rythme avec ce « musical » pétaradant. Franck Vincent affiche une arrogance sulfureuse dans le rôle de l’intraitable Higgins, les costumes se la jouent hollywoodiens (mention spéciale aux extravagants chapeaux d’Ascot) et l’orchestre, pimpant, rehausse ce tableau si « joâli », comme dirait my fair lady."
Catherine Makereel - Le Soir - 7 août 2019
"CRITIQUE - Marina Pangos et Franck Vincent excellent dans les rôles titres d’Eliza Doolittle en bouquetière des quartiers populaires et d’Henry Higgins en professeur de phonétique distingué. (...) Mention spéciale à Daniel Hanssens qui campe un Alfred Doolittle, père d’Eliza, plein de bonhomie et de joyeuse maladresse. Les chorégraphies, composées par Kylian Campbell (assisté de Lexia Cuvelier), apportent fraîcheur et dynamisme au spectacle. (...) Le choix des metteurs en scène Jack Cooper et Simon Paco de maintenir l’histoire au cœur de la société anglaise est donc d’autant plus judicieux que les écarts socio-économiques y étaient particulièrement patents selon l’accent des habitants."
Stéphanie Brocart - La Libre - 16 juillet 2019
"CRITIQUE - Bien sûr, les metteurs en scène Jack Cooper et Simon Paco n'auraient pas pu le réussir sans une distribution aussi brillante, avec Franck Vincent pleinement à l'aise en Henry Higgins, un rôle qu'il est né pour jouer, et l'étonnante Marina Pangos, incarnant avec habileté toutes les couches du voyage du personnage d’Eliza Doolittle la menant de la misère à la fortune. Il est clair qu'une star est née cette année à Bruxelles, comme en témoigne l'ovation debout de Marina.
Encore plus que dans le Sunset Boulevard de l'année dernière, l'ensemble de la distribution est proche de la perfection, avec le vétéran de Bruxellons! Daniel Hanssens, un irrésistible Alfred P. Doolittle, et Janine Godinas, une charmante Mme Higgins.
LONGUE VIE À BRUXELLONS! ET UN GRAND MERCI ENCORE À JACK COOPER ET SIMON PACO ET À LEUR ÉQUIPE POUR AVOIR SUBLIMÉ À BRUXELLES LES DÉBUTS TANT ATTENDUS DU VÉRITABLE THÉÂTRE MUSICAL EN FRANÇAIS. ."
Patrick Honoré - BroadwayWorld (New York) - 31 juillet 2019
"CRITIQUE - Disons le franchement, ce "My Fair Lady" est un chef-d'oeuvre d'une sincérité et d'une justesse incroyable, j'ai trouvé que cette version était bien meilleure que celle du Théâtre du Châtelet de Paris que j'avais vu il y a quelques années et que je trouvais trop calculée et artificielle. (…) Marina Pangos est vocalement impeccable et son interprétation du rôle d'Eliza est fraiche et intense. (...) Franck Vincent est formidable dans son interprétation de Higgins. (…) Dans le Musical original, «Dans la rue où elle vit» est une chanson mélancolique montrant Freddy, frappé d'amour, aveuglé par Eliza. Dans cette version, la chanson devient un hymne fascinant pour le public quand il est chanté par Samuel Soulie, d'une voix remarquable et d'une présence impressionnante.
My Fair Lady a été appelé à juste titre «la comédie musicale parfaite» et la mise en scène du Festival Bruxellons est un modèle de perfection. Un conseil, courez vite au Festival Bruxellons voir cette merveille de Musical... Enfin Bruxelles devient Broadway !"
Paul Regnier - De Paris à Broadway - 27 juillet 2019
"CRITIQUE - Après avoir monté l’année passée la première version française de «Sunset Boulevard» d’Andrew Lloyd Webber, les réalisateurs Jack Cooper et Simon Paco ont à nouveau réussi à surprendre. La nouvelle adaptation répond aux exigences de l’original et les chansons sonnent aussi bien en français qu’en anglais, même si le «Rain in Spain» est devenu «En mai l’anglais». (…) Et il y a cette superbe actrice Marina Pangos qui non seulement possède une voix magnifique, mais qui sait nuancer son jeu de la fille de la rue ordinaire à cette créature sublime qu’elle sera à la fin, cette «Fair Lady». Franck Vincent joue parfaitement ce misogyne qui n’a pas le courage d’avouer ses sentiments contraires à son idéologie. Puis, il y a Daniel Hanssens qui atomise de l’énergie et de la joie pure comme papa d’Eliza. Tout l’ensemble joue et danse les chorégraphies de Kylian Campbell en perfection."
Christian Spielman - Letzeburger Journal (Luxembourg) - 16 juillet 2019
"CRITIQUE - Le rôle d'Eliza est interprété de façon impressionnante par Marina Pangos. Cette jeune femme sait charmer le public avec sa belle voix, sa présence et son jeu. Elle possède ce don spécial de pouvoir exprimer avec une mimique et ses yeux expressif une ligne complète de texte. Et nous pourrions écrire une anthologie sur tous les membres du cast et de l'ensemble car, soyons honnêtes, il y a eu un très beau travail de casting. Un cast particulièrement fort et un ensemble tout aussi remarquable ont permis de créer une mémorable représentation sur scène.
Il semble que l'on a évalué chaque seconde de la pièce, travaillé sur le moindre mot avant de le replonger dans la globalité de l’œuvre."
MusicalVibes - Jean Paul De Corte - 16 juillet 2019
"CRITIQUE - Bruxellons! sait gâter son public. Sa production en plein air est splendide. (…) La traduction française de Stéphane Laporte, Jack Cooper et Simon Paco est d’une grande justesse. (…) Marina Pangos livre une performance formidable. Cette dernière a souvent des airs de Laura Banenti qui jouait le même rôle il y a encore quelques semaines à Broadway. La troupe qui accompagne la comédienne française est aussi d'un excellent niveau, à commencer par le duo Higgins et Pickering (Franck Vincent et François Langlois). (…) Une mention spéciale pour les performances de Janine Godinas et Daniel Hanssens qui incarnent respectivement Mrs Higgins et Alfred Doolittle. (…)
Le festival émerveillera à coup sûr son public par la qualité de sa production. A voir absolument si vous êtes à Bruxelles cet été !"
Philémon Heutte - Musical Avenue (Paris) - 29 juillet 2019
"CRITIQUE - Bruxellons! propose un «My Fair lady» éblouissant, vigoureux comme aux premières heures, débordant de verve et de bienveillance. Une splendide façon de fêter les 20 ans du festival!
La mise en scène est de Jack Cooper et Simon Paco. C’est un spectacle de haut niveau qui plaira au beau monde comme aux chats de gouttière.
Cette version bruxelloise francophone de la comédie musicale est fidèle aux textes et à l’époque. Quel bonheur! La libre traduction de Stéphane Laporte est d’une grande saveur et d’une belle empathie littéraire.
Décernons aussi de multiples médailles pour les fabuleux costumes signés Béatrice Guilleaume et la scénographie de Francesco Deleo, les divines coiffures d’Olivier Amerlinck, les maquillages et perruques de Véronique Lacroix. Aux chorégraphies Kylian Campbell, aux lumières Laurent Kaye. A la direction musicale de l’orchestre, des solistes et des chœurs, la pétulante Laure Campion assistée par Julie Delbart.
Laure Godisiabois au mieux de sa forme. (…) Jeanine Godinas, royale. Emouvante, et sensible lorsqu’elle se prend d’amitié pour Eliza. (…) L’interprétation irréprochable de Marina Pangos est empreinte d’humanité profonde. Elle fait rire, elle fait pleurer, elle fait réfléchir, se poser des questions. (…)"
Deashelle - Arts & Lettres - 17 juillet 2019
Plus d'infos sur cette production:
Plus d'infos sur ce musical
Parolier: Alan Jay Lerner •
Libettiste: Alan Jay Lerner •
Metteur en scène: Jack Cooper • Simon Paco •
Chorégraphe:
Avec: Marina Pangos (Eliza Doolittle), Franck Vincent (Henry Higgins), Janine Godinas (Mrs Higgins), François Langlois (Colonel Pickering), Daniel Hanssens (Alfred Doolittle), Laure Godisiabois (Mrs Pearce), Samuel Soulie (Freddy Eynsford-Hill), Carole Clin (Mrs Eynsford-Hill), Oonagh Jacobs (Mrs Hopkins), Steven Colombeen (Zoltan Karpathy), Florian Avoux (Jamie), Arnaud Masclet(Harry), Jolijn Antonissen, Ivy Barlow, Camille Barreira, Roland Bekkers, Virginie Benoist, Zen Berckmans, Pia Brondel, Allan Bungeneers, Geoffrey Debondt, Anaë Dechamps, Armance Delaunoy, Ellen Dilles, Sonia Sheridan Jacquelin, Damien Locqueneux, Romina Palmeri, Stijn Proesmans, Inge Teeuwen, Nando Tilkin, Delphine Vandersmissen
On aura vécu pour voir se mélanger Karl Marx et Audrey Hepburn, mais aussi Bourdieu et Walt Disney.
Si si! Vous êtes sceptiques? Foncez au Château du Karreveld découvrir My Fair Lady, comédie musicale américaine adaptée en français au festival Bruxellons!, et vous verrez: Marx pour la plongée dans le prolétariat londonien; Audrey Hepburn pour la classe intersidérale de la comédienne principale; Bourdieu pour l’importance du capital culturel dans la distinction des classes; et enfin, Walt Disney, parce qu’on reste tout de même dans le registre du conte de fées avec robes de princesses et parenthèses (en)chantées. Mise en scène par Jack Cooper et Simon Paco, My Fair Lady est tout cela à la fois. (…)
Absolument époustouflante, Marina Pangos porte ce personnage avec un charisme fou. Non seulement sa métamorphose est spectaculaire, depuis la gouailleuse fille des rues jusqu’à la « lady » au port altier, mais son travail sur les accents évite tous les écueils. Elle aurait pu sombrer dans une imitation locale du brusseleir ou une variation facile du ch’ti mais elle façonne plutôt une intonation bien à elle, mélange de mille influences, mais créé de toutes pièces.
Emporté par son jeu haut en couleur, le public pulse en rythme avec ce « musical » pétaradant. Franck Vincent affiche une arrogance sulfureuse dans le rôle de l’intraitable Higgins, les costumes se la jouent hollywoodiens (mention spéciale aux extravagants chapeaux d’Ascot) et l’orchestre, pimpant, rehausse ce tableau si « joâli », comme dirait my fair lady."
Catherine Makereel - Le Soir - 7 août 2019
"CRITIQUE - Marina Pangos et Franck Vincent excellent dans les rôles titres d’Eliza Doolittle en bouquetière des quartiers populaires et d’Henry Higgins en professeur de phonétique distingué. (...) Mention spéciale à Daniel Hanssens qui campe un Alfred Doolittle, père d’Eliza, plein de bonhomie et de joyeuse maladresse. Les chorégraphies, composées par Kylian Campbell (assisté de Lexia Cuvelier), apportent fraîcheur et dynamisme au spectacle. (...) Le choix des metteurs en scène Jack Cooper et Simon Paco de maintenir l’histoire au cœur de la société anglaise est donc d’autant plus judicieux que les écarts socio-économiques y étaient particulièrement patents selon l’accent des habitants."
Stéphanie Brocart - La Libre - 16 juillet 2019
"CRITIQUE - Bien sûr, les metteurs en scène Jack Cooper et Simon Paco n'auraient pas pu le réussir sans une distribution aussi brillante, avec Franck Vincent pleinement à l'aise en Henry Higgins, un rôle qu'il est né pour jouer, et l'étonnante Marina Pangos, incarnant avec habileté toutes les couches du voyage du personnage d’Eliza Doolittle la menant de la misère à la fortune. Il est clair qu'une star est née cette année à Bruxelles, comme en témoigne l'ovation debout de Marina.
Encore plus que dans le Sunset Boulevard de l'année dernière, l'ensemble de la distribution est proche de la perfection, avec le vétéran de Bruxellons! Daniel Hanssens, un irrésistible Alfred P. Doolittle, et Janine Godinas, une charmante Mme Higgins.
LONGUE VIE À BRUXELLONS! ET UN GRAND MERCI ENCORE À JACK COOPER ET SIMON PACO ET À LEUR ÉQUIPE POUR AVOIR SUBLIMÉ À BRUXELLES LES DÉBUTS TANT ATTENDUS DU VÉRITABLE THÉÂTRE MUSICAL EN FRANÇAIS. ."
Patrick Honoré - BroadwayWorld (New York) - 31 juillet 2019
"CRITIQUE - Disons le franchement, ce "My Fair Lady" est un chef-d'oeuvre d'une sincérité et d'une justesse incroyable, j'ai trouvé que cette version était bien meilleure que celle du Théâtre du Châtelet de Paris que j'avais vu il y a quelques années et que je trouvais trop calculée et artificielle. (…) Marina Pangos est vocalement impeccable et son interprétation du rôle d'Eliza est fraiche et intense. (...) Franck Vincent est formidable dans son interprétation de Higgins. (…) Dans le Musical original, «Dans la rue où elle vit» est une chanson mélancolique montrant Freddy, frappé d'amour, aveuglé par Eliza. Dans cette version, la chanson devient un hymne fascinant pour le public quand il est chanté par Samuel Soulie, d'une voix remarquable et d'une présence impressionnante.
My Fair Lady a été appelé à juste titre «la comédie musicale parfaite» et la mise en scène du Festival Bruxellons est un modèle de perfection. Un conseil, courez vite au Festival Bruxellons voir cette merveille de Musical... Enfin Bruxelles devient Broadway !"
Paul Regnier - De Paris à Broadway - 27 juillet 2019
"CRITIQUE - Après avoir monté l’année passée la première version française de «Sunset Boulevard» d’Andrew Lloyd Webber, les réalisateurs Jack Cooper et Simon Paco ont à nouveau réussi à surprendre. La nouvelle adaptation répond aux exigences de l’original et les chansons sonnent aussi bien en français qu’en anglais, même si le «Rain in Spain» est devenu «En mai l’anglais». (…) Et il y a cette superbe actrice Marina Pangos qui non seulement possède une voix magnifique, mais qui sait nuancer son jeu de la fille de la rue ordinaire à cette créature sublime qu’elle sera à la fin, cette «Fair Lady». Franck Vincent joue parfaitement ce misogyne qui n’a pas le courage d’avouer ses sentiments contraires à son idéologie. Puis, il y a Daniel Hanssens qui atomise de l’énergie et de la joie pure comme papa d’Eliza. Tout l’ensemble joue et danse les chorégraphies de Kylian Campbell en perfection."
Christian Spielman - Letzeburger Journal (Luxembourg) - 16 juillet 2019
"CRITIQUE - Le rôle d'Eliza est interprété de façon impressionnante par Marina Pangos. Cette jeune femme sait charmer le public avec sa belle voix, sa présence et son jeu. Elle possède ce don spécial de pouvoir exprimer avec une mimique et ses yeux expressif une ligne complète de texte. Et nous pourrions écrire une anthologie sur tous les membres du cast et de l'ensemble car, soyons honnêtes, il y a eu un très beau travail de casting. Un cast particulièrement fort et un ensemble tout aussi remarquable ont permis de créer une mémorable représentation sur scène.
Il semble que l'on a évalué chaque seconde de la pièce, travaillé sur le moindre mot avant de le replonger dans la globalité de l’œuvre."
MusicalVibes - Jean Paul De Corte - 16 juillet 2019
"CRITIQUE - Bruxellons! sait gâter son public. Sa production en plein air est splendide. (…) La traduction française de Stéphane Laporte, Jack Cooper et Simon Paco est d’une grande justesse. (…) Marina Pangos livre une performance formidable. Cette dernière a souvent des airs de Laura Banenti qui jouait le même rôle il y a encore quelques semaines à Broadway. La troupe qui accompagne la comédienne française est aussi d'un excellent niveau, à commencer par le duo Higgins et Pickering (Franck Vincent et François Langlois). (…) Une mention spéciale pour les performances de Janine Godinas et Daniel Hanssens qui incarnent respectivement Mrs Higgins et Alfred Doolittle. (…)
Le festival émerveillera à coup sûr son public par la qualité de sa production. A voir absolument si vous êtes à Bruxelles cet été !"
Philémon Heutte - Musical Avenue (Paris) - 29 juillet 2019
"CRITIQUE - Bruxellons! propose un «My Fair lady» éblouissant, vigoureux comme aux premières heures, débordant de verve et de bienveillance. Une splendide façon de fêter les 20 ans du festival!
La mise en scène est de Jack Cooper et Simon Paco. C’est un spectacle de haut niveau qui plaira au beau monde comme aux chats de gouttière.
Cette version bruxelloise francophone de la comédie musicale est fidèle aux textes et à l’époque. Quel bonheur! La libre traduction de Stéphane Laporte est d’une grande saveur et d’une belle empathie littéraire.
Décernons aussi de multiples médailles pour les fabuleux costumes signés Béatrice Guilleaume et la scénographie de Francesco Deleo, les divines coiffures d’Olivier Amerlinck, les maquillages et perruques de Véronique Lacroix. Aux chorégraphies Kylian Campbell, aux lumières Laurent Kaye. A la direction musicale de l’orchestre, des solistes et des chœurs, la pétulante Laure Campion assistée par Julie Delbart.
Laure Godisiabois au mieux de sa forme. (…) Jeanine Godinas, royale. Emouvante, et sensible lorsqu’elle se prend d’amitié pour Eliza. (…) L’interprétation irréprochable de Marina Pangos est empreinte d’humanité profonde. Elle fait rire, elle fait pleurer, elle fait réfléchir, se poser des questions. (…)"
Deashelle - Arts & Lettres - 17 juillet 2019
Musical
Revival
3) Sunset Boulevard (Revival)
Joué durant 1 mois 3 semaines
Nb de représentations: 25 représentations
Première preview: 09 July 2018
Première: 12 July 2018
Dernière: 03 September 2018
Salle: La Cour (628 places)
Compositeur: Andrew Lloyd Webber •
Parolier: Christopher Hampton • Don Black •
Libettiste: Christopher Hampton • Don Black •
Metteur en scène: Jack Cooper • Simon Paco •
Chorégraphe: Kylian Campbell •
Avec: Anne Mie Gils (Norma Desmond), Gaétan Borg (Joe Gillis), Franck Vincent (Max von Mayerling), Oonagh Jacobs (Betty Schaefer), Steven Colombeen (Artie Green), Guy Pion (Cecil B. DeMille), Alexandre Von Sivers (Cecil B. DeMille), Antonio Macipe (Manfred), Floris Devooght (Sheldrake), Bart Aerts (Ensemble), Jolijn Antonissen (Ensemble), Niels Batens (Ensemble), Roland Bekkers (Ensemble), Kylian Campbell (Ensemble), Line Ellegiers (Ensemble), Sonia Sheridan Jacquelin (Ensemble), Hélène Kamers (Ensemble), Damien Locqueneux (Ensemble), Jeroen Logghe(Ensemble), Helena Nijs (Ensemble), Romina Palmeri (Ensemble), Milou Van Mieghem (Ensemble), Jervin Weckx (Ensemble)
Commentaire: Création mondiale en français (plus)
Presse: "Les metteurs en scène Jack Cooper et Simon Paco ont réuni un casting de première classe. Anne Mie est une Norma parfaite qui aborde les différentes facettes de son personnage sans effort. Fière, mais en même temps manquant de confiance en elle et fragile. Ambitieuse et têtue, mais surtout complètement perturbée. La dernière scène est tout bonnement fascinante.
L'entièreté du cast est totalement convaincant, tant au point de vue musical que théâtral. Gaëtan Borg est un Joe Gillis idéal. Sa chanson "Sunset Boulevard" est un des temps fort de la soirée.
Le niveau de la soirée est à nouveau au Top!"
Tatiana van den Branden - Musical Vibes - 13 juillet 2018
"Jack Cooper et Simon Paco doivent être fiers non seulement de leur impeccable mise en scène, mais aussi d’amener le théâtre musical à Bruxelles, trop absent jusqu'à présent. Le public ressent leur passion pour le genre musical tout au long de la soirée. (…) Cette production est servie par un casting exceptionnel, dirigé par Anne Mie Gils, vocalement impressionnante et étonnamment convaincante en Norma Desmond, en nous donnant une version plus douce du personnage que Glenn Close ou Patti LuPone ont peut-être parfois exagéré. (…) Le dynamisme du grand ensemble, chorégraphié à la perfection par Kylian Campbell, rempli magnifiquement le plus que spectaculaire décor de Renata Gorka. Et l’orchestre de 18 musiciens, sous la baguette de laure Campion, rend justice à la musique radicale et puissante Andrew Lloyd Weber. L’œuvre favorite de Weber est sans doute sa meilleure. (…) C'est stimulant de voir l’œuvre Sunset Boulevard exister de par elle-même avec une mise en scène minimaliste mais totalement brillante. Et félicitations encore à la chef d’orchestre Laure Campion."
Boradwayworld.com - 8 août 2018
"Une femme domine la scène : Anne Mie GILS. Sa première chanson «D'un regard» produit déjà la chair de poule. Elle a une magnifique voix forte et claire, avec laquelle elle charme les spectateurs. Son apogée vocale et émotionnelle est la chanson «Comme si on ne s'était jamais quittés». Elle gère également ses expressions faciales à la perfection. Face à une actrice et chanteuse à ce point exceptionnelle, tous les autres membres du cast doivent donner leur meilleur,
Gaëtan Borg maîtrise habilement son rôle d’amant. Ses points culminants sont « Sunset Boulevard » et avec Oonagh Jacobs « Elle et lui » qui elle aussi est excellente, tant au niveau du jeu que du chant. Un autre point fort est Franck Vincent. Avec sa voix sombre, il montre avec « L’Étoile parmi les stars » combien il admirait Norma. Sa façon de cacher ses sentiments, à quelques expressions près, et de pourtant tout exprimer est remarquable.
Par conséquent, cette version Française est magistrale et à ne pas manquer."
Christian Spielmann - Lëtzebuerger Journal (Luxembourg) - 16 juillet 2018
"Le festival a acquis un réel savoir-faire dans la comédie musicale.
Vingt-deux comédiens-chanteurs, vingt-six musiciens et autant de talents dans l’équipe de création technique et artistique : le festival Bruxellons! n’a pas lésiné sur la production de sa troisième comédie musicale estivale!
Anne-Mie Gils joue et chante superbement le rôle délicat de Norma, obligée d’osciller entre les clichés de sa gloire éteinte et les fêlures de la femme, de l’actrice, de plus en plus prégnantes au fil du spectacle, jusqu’à sombrer dans la folie."
Michèle Friche - Le Soir - 14 juillet 2018
"Arrêtez tout! Sunset Boulevard au château du Karreveld, c'est FANTASTIQUE. Plus belle standing ovation EVER. Votre servante en a pleuré."
Myriam Leroy - RTBF - Via Twitter
Plus d'infos sur cette production:
Plus d'infos sur ce musical
Parolier: Christopher Hampton • Don Black •
Libettiste: Christopher Hampton • Don Black •
Metteur en scène: Jack Cooper • Simon Paco •
Chorégraphe: Kylian Campbell •
Avec: Anne Mie Gils (Norma Desmond), Gaétan Borg (Joe Gillis), Franck Vincent (Max von Mayerling), Oonagh Jacobs (Betty Schaefer), Steven Colombeen (Artie Green), Guy Pion (Cecil B. DeMille), Alexandre Von Sivers (Cecil B. DeMille), Antonio Macipe (Manfred), Floris Devooght (Sheldrake), Bart Aerts (Ensemble), Jolijn Antonissen (Ensemble), Niels Batens (Ensemble), Roland Bekkers (Ensemble), Kylian Campbell (Ensemble), Line Ellegiers (Ensemble), Sonia Sheridan Jacquelin (Ensemble), Hélène Kamers (Ensemble), Damien Locqueneux (Ensemble), Jeroen Logghe(Ensemble), Helena Nijs (Ensemble), Romina Palmeri (Ensemble), Milou Van Mieghem (Ensemble), Jervin Weckx (Ensemble)
L'entièreté du cast est totalement convaincant, tant au point de vue musical que théâtral. Gaëtan Borg est un Joe Gillis idéal. Sa chanson "Sunset Boulevard" est un des temps fort de la soirée.
Le niveau de la soirée est à nouveau au Top!"
Tatiana van den Branden - Musical Vibes - 13 juillet 2018
"Jack Cooper et Simon Paco doivent être fiers non seulement de leur impeccable mise en scène, mais aussi d’amener le théâtre musical à Bruxelles, trop absent jusqu'à présent. Le public ressent leur passion pour le genre musical tout au long de la soirée. (…) Cette production est servie par un casting exceptionnel, dirigé par Anne Mie Gils, vocalement impressionnante et étonnamment convaincante en Norma Desmond, en nous donnant une version plus douce du personnage que Glenn Close ou Patti LuPone ont peut-être parfois exagéré. (…) Le dynamisme du grand ensemble, chorégraphié à la perfection par Kylian Campbell, rempli magnifiquement le plus que spectaculaire décor de Renata Gorka. Et l’orchestre de 18 musiciens, sous la baguette de laure Campion, rend justice à la musique radicale et puissante Andrew Lloyd Weber. L’œuvre favorite de Weber est sans doute sa meilleure. (…) C'est stimulant de voir l’œuvre Sunset Boulevard exister de par elle-même avec une mise en scène minimaliste mais totalement brillante. Et félicitations encore à la chef d’orchestre Laure Campion."
Boradwayworld.com - 8 août 2018
"Une femme domine la scène : Anne Mie GILS. Sa première chanson «D'un regard» produit déjà la chair de poule. Elle a une magnifique voix forte et claire, avec laquelle elle charme les spectateurs. Son apogée vocale et émotionnelle est la chanson «Comme si on ne s'était jamais quittés». Elle gère également ses expressions faciales à la perfection. Face à une actrice et chanteuse à ce point exceptionnelle, tous les autres membres du cast doivent donner leur meilleur,
Gaëtan Borg maîtrise habilement son rôle d’amant. Ses points culminants sont « Sunset Boulevard » et avec Oonagh Jacobs « Elle et lui » qui elle aussi est excellente, tant au niveau du jeu que du chant. Un autre point fort est Franck Vincent. Avec sa voix sombre, il montre avec « L’Étoile parmi les stars » combien il admirait Norma. Sa façon de cacher ses sentiments, à quelques expressions près, et de pourtant tout exprimer est remarquable.
Par conséquent, cette version Française est magistrale et à ne pas manquer."
Christian Spielmann - Lëtzebuerger Journal (Luxembourg) - 16 juillet 2018
"Le festival a acquis un réel savoir-faire dans la comédie musicale.
Vingt-deux comédiens-chanteurs, vingt-six musiciens et autant de talents dans l’équipe de création technique et artistique : le festival Bruxellons! n’a pas lésiné sur la production de sa troisième comédie musicale estivale!
Anne-Mie Gils joue et chante superbement le rôle délicat de Norma, obligée d’osciller entre les clichés de sa gloire éteinte et les fêlures de la femme, de l’actrice, de plus en plus prégnantes au fil du spectacle, jusqu’à sombrer dans la folie."
Michèle Friche - Le Soir - 14 juillet 2018
"Arrêtez tout! Sunset Boulevard au château du Karreveld, c'est FANTASTIQUE. Plus belle standing ovation EVER. Votre servante en a pleuré."
Myriam Leroy - RTBF - Via Twitter
Musical
Revival
2) Evita (Revival)
Joué durant 1 mois 2 semaines
Nb de représentations: 25 représentations
Première preview: 11 July 2016
Première: 14 July 2016
Dernière: 27 August 2016
Salle: La Cour (628 places)
Compositeur: Andrew Lloyd Webber •
Parolier: Tim Rice •
Libettiste: Tim Rice •
Metteur en scène: Daniel Hanssens • Jack Cooper •
Chorégraphe: Kylian Campbell •
Avec: Deborah De Ridder (Eva Peron), Philippe d'Avilla (Juan Peron), Steven Colombeen (Che), Antonio Interlandi (Magaldi), Maud Hanssens (La maîtresse), Jolijn Antonissen (Ensemble), Nitya Fierens (Ensemble), Alexia Cuvelier (Ensemble & Dance Captain), Damien Locqueneux (Ensemble), Tristan Chapelais (Ensemble), Grégory Garell (Ensemble), Laura Masci (Ensemble), Anne Freshes (Ensemble), Marie-Laure Coenjaerts (Ensemble), Kylian Campbell (Ensemble), Joseph Laurent (Ensemble), Floris Devooght (Ensemble), Oriane Hulin (Ensemble), Romina Palmeri (Ensemble), Julie Prayez (Ensemble), Clelia Moreau (Ensemble), Ines Bafdili (Ensemble), Christian Louis-James (Ensemble), Brian Papadimitriou (Ensemble), Roland Bekkers (Ensemble), Gaétan Bergez (Ensemble), Francis Colignon (Ensemble), Jade Monaco (Ensemble)
Commentaire:
Presse: "Une idée fabuleuse, étonnante, nouvelle dans sa conception: monter cette « œuvre » en langue française. Du jamais vu à ce point! Avec l’accord d’Andrew Lloyd Webber. Une création mondiale en français pour la Belgique, c’est génial! Exaltant ! Et sublimement réussi.
Tout s’enchaîne avec compétence, virtuosité, passion, sans la moindre bavure. La mise en scène est fascinante, sans complication. Les comédiens évoluent sur le grand plateau avec finesse et subtilité. Remarquables harmonie et affinité! Sans oublier la chorégraphie très légère! 21 séquences qui s’enchaînent à un rythme fou!
La découverte d'une immense actrice, à la fois comédienne, chanteuse et danseuse: Deborah De Rider (Evita). Elle est entrée magnifiquement dans son personnage.Son interprétation est d'une grande finesse, d'une sensualité raffinée, et d'une belle sensibilité.Elle ne "joue" pas Evita. Elle est EVITA!"
Roger Simons - Les Feux de la Rampe - 17 juillet 2016
"Bruxelles peut être fière de cette première mondiale phénoménale. Ce qui a été créé ici en plein air frise l’inimaginable. Le chant, la danse et le jeu théâtral sont du plus haut niveau. Les très belles chorégraphies sont d’un niveau exceptionnel et pourtant tous les acteurs s’y collent. Andrew Lloyd Webber n’est pas connu pour ses partitions simples et à ce niveau aussi l’équipe fait preuve de pureté. La mise en scène est très réussie : il se déroule tellement de choses en scène qu’on n’en croit pas ses yeux.
La réalisation technique est un réel exploit : la qualité du son est encore meilleure que dans de nombreuses belles salles de théâtre multi-équipées. Le mélange des voix et de la magnifique musique de l’orchestre de onze pièces est sublime. Les 140 costumes sont tout à fait appropriés et dans l’esprit de l’époque."
Patrick Defort / Wesley Van der Veken - MusicalVibes - 15 juillet 2016
"L’habileté de la mise en scène (…il y a un magicien aux commandes!), les fabuleuses chorégraphies de danses argentines, les costumes et les coiffures d’époque, les chœurs, la musique - les douze musiciens sont orchestrés par Pascal Charpentier - ont tout pour séduire et enchanter. Aucune distorsion dans la sonorisation, ce qui permet de suivre le moindre détail du texte, c’est une qualité rare pour un musical!
Foule assoiffée d’idéal, ce spectacle est pour vous. Les comédiens sont tous animés d’un enthousiasme délirant, et cela fait chaud au cœur! Ils ont, chacun à sa place, trouvé le parfait équilibre d’une production vivante et tonifiante.
Notre interprète préféré est ce Che (Steven Colombeen), le narrateur frémissant des désillusions en série qui met à nu toutes les tactiques manipulatrices. Un travail d’orfèvre que l’on suit avec jubilation."
Deashelle - Arts et Lettres - 25 juillet 2016
"Deborah De Ridder est impressionnante dans le rôle d’Eva, grâce à un vrai charisme et à un jeu incarné. Enfin, citons le talentueux Steven Colombeen qui nous offre un personnage du Che très convaincant: à la fois ironique vis à vis d’Evita et triste pour le destin de l’Argentine. On sent un grand travail de direction d’acteurs dans cette mise en scène réussie de Daniel Hanssens et Jack Cooper, assistés de Simon Paco.
La sonorisation est parfaite… Certaines salles parisiennes ont manifestement encore beaucoup de progrès à faire dans le domaine."
Tony Comédie - Paris
"Ne boudons pas notre plaisir, cette création mondiale en français est tout à fait à la hauteur des attentes…
Debora De Ridder, star des plateaux musicaux en Flandre incarne une Evita très convaincante. Tour à tour, envoûtante et rongée d'ambition, charmeuse et avide de pouvoir, elle donne vie à Eva Duarte, la putain devenue la Madone du peuple argentin après son mariage avec Juan Peron. Sa voix est à la hauteur du personnage (…). A ses côtés Steven Colombeen joue les trublions. Son personnage du Che est le contre-pied du peuple argentin, celui qui refuse la pensée unique et qui montre les travers de la "Madone" Evita. Philippe d'Avilla (Juan Peron) et Antonio Interlandi (Magaldi, le premier amant de Eva Duarte), tiennent la rampe. On retiendra encore la très belle voix de la jeune Maud Hanssens (la jeune maîtresse de Peron évincée par Evita), dont la seule chanson est un ravissement aérien."
Laurent Fabri - L'Echo - 23 juillet 2016
Plus d'infos sur cette production:
Plus d'infos sur ce musical
Parolier: Tim Rice •
Libettiste: Tim Rice •
Metteur en scène: Daniel Hanssens • Jack Cooper •
Chorégraphe: Kylian Campbell •
Avec: Deborah De Ridder (Eva Peron), Philippe d'Avilla (Juan Peron), Steven Colombeen (Che), Antonio Interlandi (Magaldi), Maud Hanssens (La maîtresse), Jolijn Antonissen (Ensemble), Nitya Fierens (Ensemble), Alexia Cuvelier (Ensemble & Dance Captain), Damien Locqueneux (Ensemble), Tristan Chapelais (Ensemble), Grégory Garell (Ensemble), Laura Masci (Ensemble), Anne Freshes (Ensemble), Marie-Laure Coenjaerts (Ensemble), Kylian Campbell (Ensemble), Joseph Laurent (Ensemble), Floris Devooght (Ensemble), Oriane Hulin (Ensemble), Romina Palmeri (Ensemble), Julie Prayez (Ensemble), Clelia Moreau (Ensemble), Ines Bafdili (Ensemble), Christian Louis-James (Ensemble), Brian Papadimitriou (Ensemble), Roland Bekkers (Ensemble), Gaétan Bergez (Ensemble), Francis Colignon (Ensemble), Jade Monaco (Ensemble)
Tout s’enchaîne avec compétence, virtuosité, passion, sans la moindre bavure. La mise en scène est fascinante, sans complication. Les comédiens évoluent sur le grand plateau avec finesse et subtilité. Remarquables harmonie et affinité! Sans oublier la chorégraphie très légère! 21 séquences qui s’enchaînent à un rythme fou!
La découverte d'une immense actrice, à la fois comédienne, chanteuse et danseuse: Deborah De Rider (Evita). Elle est entrée magnifiquement dans son personnage.Son interprétation est d'une grande finesse, d'une sensualité raffinée, et d'une belle sensibilité.Elle ne "joue" pas Evita. Elle est EVITA!"
Roger Simons - Les Feux de la Rampe - 17 juillet 2016
"Bruxelles peut être fière de cette première mondiale phénoménale. Ce qui a été créé ici en plein air frise l’inimaginable. Le chant, la danse et le jeu théâtral sont du plus haut niveau. Les très belles chorégraphies sont d’un niveau exceptionnel et pourtant tous les acteurs s’y collent. Andrew Lloyd Webber n’est pas connu pour ses partitions simples et à ce niveau aussi l’équipe fait preuve de pureté. La mise en scène est très réussie : il se déroule tellement de choses en scène qu’on n’en croit pas ses yeux.
La réalisation technique est un réel exploit : la qualité du son est encore meilleure que dans de nombreuses belles salles de théâtre multi-équipées. Le mélange des voix et de la magnifique musique de l’orchestre de onze pièces est sublime. Les 140 costumes sont tout à fait appropriés et dans l’esprit de l’époque."
Patrick Defort / Wesley Van der Veken - MusicalVibes - 15 juillet 2016
"L’habileté de la mise en scène (…il y a un magicien aux commandes!), les fabuleuses chorégraphies de danses argentines, les costumes et les coiffures d’époque, les chœurs, la musique - les douze musiciens sont orchestrés par Pascal Charpentier - ont tout pour séduire et enchanter. Aucune distorsion dans la sonorisation, ce qui permet de suivre le moindre détail du texte, c’est une qualité rare pour un musical!
Foule assoiffée d’idéal, ce spectacle est pour vous. Les comédiens sont tous animés d’un enthousiasme délirant, et cela fait chaud au cœur! Ils ont, chacun à sa place, trouvé le parfait équilibre d’une production vivante et tonifiante.
Notre interprète préféré est ce Che (Steven Colombeen), le narrateur frémissant des désillusions en série qui met à nu toutes les tactiques manipulatrices. Un travail d’orfèvre que l’on suit avec jubilation."
Deashelle - Arts et Lettres - 25 juillet 2016
"Deborah De Ridder est impressionnante dans le rôle d’Eva, grâce à un vrai charisme et à un jeu incarné. Enfin, citons le talentueux Steven Colombeen qui nous offre un personnage du Che très convaincant: à la fois ironique vis à vis d’Evita et triste pour le destin de l’Argentine. On sent un grand travail de direction d’acteurs dans cette mise en scène réussie de Daniel Hanssens et Jack Cooper, assistés de Simon Paco.
La sonorisation est parfaite… Certaines salles parisiennes ont manifestement encore beaucoup de progrès à faire dans le domaine."
Tony Comédie - Paris
"Ne boudons pas notre plaisir, cette création mondiale en français est tout à fait à la hauteur des attentes…
Debora De Ridder, star des plateaux musicaux en Flandre incarne une Evita très convaincante. Tour à tour, envoûtante et rongée d'ambition, charmeuse et avide de pouvoir, elle donne vie à Eva Duarte, la putain devenue la Madone du peuple argentin après son mariage avec Juan Peron. Sa voix est à la hauteur du personnage (…). A ses côtés Steven Colombeen joue les trublions. Son personnage du Che est le contre-pied du peuple argentin, celui qui refuse la pensée unique et qui montre les travers de la "Madone" Evita. Philippe d'Avilla (Juan Peron) et Antonio Interlandi (Magaldi, le premier amant de Eva Duarte), tiennent la rampe. On retiendra encore la très belle voix de la jeune Maud Hanssens (la jeune maîtresse de Peron évincée par Evita), dont la seule chanson est un ravissement aérien."
Laurent Fabri - L'Echo - 23 juillet 2016
Musical
Revival
1) Sound of Music (The) (Revival)
Joué durant 1 mois 3 semaines
Nb de représentations: 25 représentations
Première preview: 11 July 2015
Première: 14 July 2015
Dernière: 08 September 2015
Salle: La Cour (628 places)
Compositeur: Richard Rodgers •
Parolier: Oscar Hammerstein II •
Libettiste: Howard Lindsay • Russel Crouse •
Metteur en scène: Daniel Hanssens • Jack Cooper •
Chorégraphe:
Avec: Laure Godisiabois (Maria), Wim van den Driessche (Capitaine von Trapp), Marie-Laure Coenjaerts (La Mère Supérieure), Pierre Pigeolet (Max Detweiler), Perrine Delers (Baronne Elsa Schraeder), Nicole Valberg (Mme Schmidt, la gouvernante), Roland Bekkers (Franz, le majordome), Damien Locqueneux (Rolf Grüber), Maud Hanssens (Liesl von Trapp), Estaban Brouillard (Friedrich von Trapp), Clara Barlow (Louisa von Trapp), Nicolas Djuroski (Kurt von Trapp (en alternance)), Sylvain Schmitt (Kurt von Trapp (en alternance)), Joëlle Massart (Brigitta von Trapp (en alternance)), Adélaïde Couplet (Brigitta von Trapp (en alternance)), Clémentine Guyot (Marta von Trapp (en alternance)), Noéline Siméons (Marta von Trapp (en alternance)), Ivy Barlow (Gretl von Trapp (en alternance)), Camille Barreira (Gretl von Trapp (en alternance)), Shérine Seyad (Sœur Margaretta), Sarah Delforge (Sœur Sophie), Jolijn Antonissen (Sœur Berthe), Marcel Bergez (Amiral von Schreiber), Jean-Claude Gerard (Baron Elberfeld), Anne Vrielinck (Baronne Eberfeld), Bruno Mullenaerts (Herr Zeller), Emilie Debu (Ensemble), Alice Lopez (Ensemble), Aline Massinon (Ensemble), Catherine Gallez (Ensemble), Mehdi Loumrhari (Ensemble), Raphaël Bocken (Ensemble), Stéphane Rimbert (Ensemble), Arnaud Delforge (Ensemble), Vincent David (Ensemble)
Commentaire:
Presse:
Plus d'infos sur cette production:
Plus d'infos sur ce musical
Parolier: Oscar Hammerstein II •
Libettiste: Howard Lindsay • Russel Crouse •
Metteur en scène: Daniel Hanssens • Jack Cooper •
Chorégraphe:
Avec: Laure Godisiabois (Maria), Wim van den Driessche (Capitaine von Trapp), Marie-Laure Coenjaerts (La Mère Supérieure), Pierre Pigeolet (Max Detweiler), Perrine Delers (Baronne Elsa Schraeder), Nicole Valberg (Mme Schmidt, la gouvernante), Roland Bekkers (Franz, le majordome), Damien Locqueneux (Rolf Grüber), Maud Hanssens (Liesl von Trapp), Estaban Brouillard (Friedrich von Trapp), Clara Barlow (Louisa von Trapp), Nicolas Djuroski (Kurt von Trapp (en alternance)), Sylvain Schmitt (Kurt von Trapp (en alternance)), Joëlle Massart (Brigitta von Trapp (en alternance)), Adélaïde Couplet (Brigitta von Trapp (en alternance)), Clémentine Guyot (Marta von Trapp (en alternance)), Noéline Siméons (Marta von Trapp (en alternance)), Ivy Barlow (Gretl von Trapp (en alternance)), Camille Barreira (Gretl von Trapp (en alternance)), Shérine Seyad (Sœur Margaretta), Sarah Delforge (Sœur Sophie), Jolijn Antonissen (Sœur Berthe), Marcel Bergez (Amiral von Schreiber), Jean-Claude Gerard (Baron Elberfeld), Anne Vrielinck (Baronne Eberfeld), Bruno Mullenaerts (Herr Zeller), Emilie Debu (Ensemble), Alice Lopez (Ensemble), Aline Massinon (Ensemble), Catherine Gallez (Ensemble), Mehdi Loumrhari (Ensemble), Raphaël Bocken (Ensemble), Stéphane Rimbert (Ensemble), Arnaud Delforge (Ensemble), Vincent David (Ensemble)