Les Gershwins travaillaient dur sur un musical appelé East is West lorsque le producteur Florenz Ziegfeld a brusquement annulé le projet et l’a remplacé par cette adaptation du roman de J. P. McEvoy Show Girl.
Ils ont eu besoin de l’aide de Gus Kahn comme parolier, parce que George et Ira étaient confrontés à des délais de création excessivement courts mais aussi à un livret terriblement incomplet.
Le point culminant de Show Girl s’est produit lors des try-out à Boston quand Al Jolson assis dans le public a chanté avec Ruby Keeler – la first lady du show et sa nouvelle épouse – la chanson Liza. Il a continué à faire cela tous les soirs durant les premières semaines du spectacle de New York.
L’échec financier de Show Girl a conduit Ziegfeld à cesser de payer les droits des Gershwin; ils se sont plaints et Ziegfeld a contre-attaqué en affirmant que George et Ira n’avaient pas livré un spectacle à succès.
Le krach boursier à venir mettrait en grande partie fin à la carrière de The Great Ziegfeld.
Version 1
Show Girl (1929-07-Ziegfield Theatre-Broadway)
Type de série: OriginalThéâtre: Ziegfield Theatre (Broadway - Etats-Unis) Durée : 3 mois Nombre : 111 représentationsPremière Preview : mardi 02 juillet 1929Première : mardi 02 juillet 1929Dernière : samedi 05 octobre 1929Mise en scène : William Anthony McGuire • Chorégraphie : Producteur : Avec : Jimmie (later known as Jimmy) Durante (Sombre Eyes, Snozzle), Calvin Thomas (Colonel Witherby, Stage Manager), Althea Heinly (Aunt Jennie, Estelle), Barbara Newberry (Virginia Witherby, Sunshine), Matthew Smith (Robert Adams), Blaien Cordner (Steve), Andy Jochim (Frank, Mr. Wright), Wanda Stevenson (Bessie), Noel Francis (Peggy Ritz), Lou Clayton (Gypsy), Eddie Jackson (Deacon, Tony Morato), Joseph Macaulay (Alvarez Romano), Doris Carson (Raquel), Frank McHugh (Jimmy Doyle), Howard Morgan (Matt Brown), Ruby Keeler (also billed as Ruby Keeler Jolson) (Dixie Dugan), Caryl Bergman (Anna, Sylvia), Eddie Foy Jr. (Denny Kerrigan), Kathryn Hereford (Bobby), Nick Lucas (Rudy), Austin Fairman (John Milton), Sadie Duff (Mrs. Dugan); Duke Ellington and His Cotton Club Orchestra; The Albertina Rasch Dancers: Mildred Turner, Vera Frederick, Virginia Whitmore, Lucille O’Connor, Agatha Johann, Virginia Allen, Ruth Hayden, Dorothy Morgan, Evelyn Nichols, Dona Dene Curry, Sunny Van, Ruth Love, Viola Hage, Eddie Belmont, Dorothy Ryan, Louise Raymond; Show Girls: Althea Heinly, Blanche Satchel, Gertrude Dahl, Mary MacDonald, Ada Landis, Edna Bunte, Betty Bassett, Mildred Schwenke, Moreen Holmes, Dorothy Carrigan, Dolores De Fina, Doris Downes, Caja Eric, Georgia Payne, Camilla Lanier, Mildred Klaw, Leonia Pennington; Dancers: Pat O’Keefe, Virginia Frank, Cleo Cullen, Bobby Brodsley, Jean Althan, Selma Althan, Jane Barry, Peggy Carthew, Beatrice Powers, Dolores Grant, Pamela Bryant, Janet Gibbard, Dorothy Bow, Lois Peck, Vivian Porter, Florence Allen, Virginia Case, Katherine Downer, Juliette Jones, Doris May, Patricia McGrath, Orine Bryne, Rena Landeau, Claire Wayne, Jean Wayne, Alma Drange, Mildred De Fina, Lottie Marcy, Dolores Ray, Hazel Bofinger, Kae English, Marcia Bell, Emily Burton, Billie Cortez, Wanda Stevenson, Violet Dell, Dore NodinePresse : J. Brooks Atkinson in the Times noted that Ziegfeld had given the show a “lustrous splendor,” but the “task of blending materials that are episodic and individual” made the new musical “the least notable” of Ziegfeld’s recent shows. Throughout the evening you were “constantly aware of banalities and awkward transitions” and you missed “the stately flow of the best Ziegfeld pageants.” Keeler was now “on her way to fame on Broadway” and was an “enjoyable” performer “without pretentions and affectations,” and while Durante’s “personality” managed to batter “through all barriers,” his “sizzling energy” and “spluttering, insane material” didn’t “melt gracefully into a musical comedy book.” Gershwin’s contributions had “moments of vividness or melody,” but he hadn’t composed “a first-rate score.”
Charles Brackett in the New Yorker found the adaptation “soggily” written, and noted it was Gershwin’s “weakest” score, and Burns Mantle in the Tampa Tribune said the “elaborate and bountifully decorated” show was “the nearest thing” to a financial “miss” that Ziegfeld had produced during the past five years (perhaps he’d forgotten about Betsy).
But Percy Hammond in the Oakland (CA) Tribune said Show Girl was “as satisfactory a musical show as I have ever seen,” and while he noted that Jolson’s “Liza” was a “priceless moment,” it nonetheless “detracted a little” from Keeler’s “brilliant success.” Grace Cutler in the Brooklyn Daily Eagle said that for the “entertaining” show Urban had “outdone himself in scenic effects” and Keeler excelled “in voice, in gesture, [and] routine tap-dancing.” But Gershwin’s music was (with the exception of “Do What You Do!”) a “little disappointing,” Durante was “hampered” by his fellow comics, and Foy “by no means” made the most of his part.
Frederick F. Schrader in the Cincinnati Enquirer said “the most pleasing feature” of the musical was Urban’s décor; otherwise, Gershwin’s score was “breezy” and “sometimes original.” Variety decided the show’s “main trouble” was the “music and the lack of it in a popular way,” but noted Durante got a “peach spot” for two of his specialties, including the “bear” of a song “So I Ups to Him” (the critic reported that the “house rocked” with Durante’s “snapper” line that someone was a “fairy”).
Ward Greene in the Indianapolis Star noted that Whoopee made Keeler famous, “especially when she walked out on the show,” that her marriage to Jolson “hit the front pages of a hundred cities,” and “as a dancer not even Marilyn Miller in her gayest days excels Ruby.” But in regard to Jolson’s “Liza” moment, Greene suspected Jolson might not “continue to give this little surprise party to his darling wife,” who “in time” might “appreciate it less and less.”
L’intrigue tournait autour de Dixie Dugan (Keeler), qui ne rêvait que d’une chose: être une star de la scène. L’histoire commençait par une scène d’une comédie musicale récente (imaginaire) de Ziegfeld appelée Magnolias, qui se déroule dans le Vieux Sud de la Virginie en 1863 où l’on découvre Durante dans un rôle blackface, Sombre Eyes. À partir de là, nous suivons les progrès de Dixie depuis le New Jersey, Brooklyn et Manhattan (y compris un arrêt au Club Caprice) jusqu’à la magnifique scène du Théâtre Ziegfeld et la production des Follies où elle devient une star (c’est pendant les séquences de Follies que l’on retrouve un ballet sur An American in Paris de Gerhwin et un numéro de Minstrel). En parallèle, quand Dixie n’est pas occupée à percer dans le show-business, elle est poursuivie par un trio d’hommes, dont Jimmy Doyle (McHugh), qui finira par gagner sa main.
La scène de Magnolias était une parodie de mélodrame typique du Sud, le ballet était sérieux, et le spectacle de Minstrels était un hommage aux anciennes formes du show-business. Et tout cela alors que nous suivions Dixie dans sa route vers la célébrité. En plus, les chansons provenant d’un nombre important de sources, la soirée était un méli-mélo sans un aucun point de vue cohérent ou une forte partition maintenir le tout ensemble.
Le moment le plus commenté a été la séquence Liza. Le numéro était joué par Nick Lucas, Ruby Keeler, et des chœurs mais tout à coup, le soir de l’ouverture, Al Jolson (qui était assis au troisième rang) se leva et a accompagné Ruby Keeler – la first lady du show et sa nouvelle épouse – dans sa chanson, ce qu’il avait déjà fait pendant les try-out de Boston. Personne sur scène n’a donc été vraiment surpris par cette « interruption » du show. Al Jolson assista occasionnellement à d’autres représentations où il chantait à chaque fois, et bien que tout le monde semblait - ou du moins faisait semblant d’être – charmé, au moins un critique spécula que peut-être Mme Keeler elle-même n’appréciait pas totalement qu’Al Jolson attire sut lui la lumière des projecteurs pour son grand numéro de onze heures.
1 Show Girl peut-être considéré comme un Flop musical
Selon Variety, Ziegfeld a jeté 150.000 $ dans la production de Show Girl, mais ce spectacle infaillible n’a pourtant pas été un succès et a quitté l’affiche en trois mois, malgré les rumeurs qu’avant son ouverture il avait déjà 20 semaines de représentations sold-out. Et pourtant, il y a avait les somptueux décors de Joseph Urban et costumes de John W. Harkrider, la musique était signée George Gershwin, les paroles ont été écrites conjointement par Ira Gershwin et Gus Kahn, les danses ont été conçues par Bobby Connolly et le livret était de William Anthony McGuire, qui avait écrit ceux des hits de Ziegfeld The Three Musketeers () et Whoopee! ().
Et la star du show était la nouvelle Mme Al Jolson, autrement connue sous le nom de Ruby Keeler et Ruby Keeler Jolson (elle et Jolson s’étaient mariés près d’un an plus tôt, en septembre 1928, et divorceront en 1940). Elle avait laissé une impression favorable auprès des critiques et du public dans ses quatre apparitions antérieures à Broadway dans les chœurs ou même en vedette, et souvent en tant que danseuse principale («The Rise of Rosie O’Reilly», «Bye Bye», «Bonnie», «Lucky», et «Sidewalks of New York»), et Ziegfeld a voulu avec ce musical faire d’elle la prochaine reine de la comédie musicale à Broadway. Mais cela n’a pas tout à fait fonctionné de cette façon: les avis étaient mitigés à froids et elle a quitté le spectacle trois semaines après son ouverture (pour des raisons médicales non précisées…). Elle n’est revenue à Broadway que quarante-deux ans plus tard quand elle a triomphé en 1971 dans le revival à succès de No, No, Nanette de Vincent Youmans.
Le cast de Show Girl comprenait également les populaires Lou Clayton, Eddie Jackson, et Jimmie Durante – ils triomphaient avec leurs numéros comiques dans les night-clubs – mais on tretoruvait aussi dans la distribution Nick Lucas, Eddie Foy Jr., Frank McHugh, Harriet Hoctor, Barbara Newberry, Joseph Macaulay et Doris Carson. Outre l’orchestre dans la fosse, on retrouvait sur scène rien de moins que Duke Ellington et son Cotton Club Orchestra. Et pour couronner le tout, la pièce orchestrale de Gershwin An American in Paris a été transformée en un somptueux ballet (ici intitulé American in Paris—Blues Ballet).
Mais tout cet amoncellement très impressionnant n’a jamais décollé et a disparu en trois mois. Il a ouvert le 2 juillet, et quand Keeler s’est retirée de la production le 27 juillet, le musical a perdu la vedette sur lequel toute la publicité du show avait été construite. Le New York Times avait rapporté qu’en raison de problèmes de santé, Keeler serait remplacé par Dorothy Stone (qui avait assisté au show depuis le public pour la soirée d’ouverture quelques semaines plus tôt), mais resterait dans la production jusqu’à ce que Stone soit prête à assumer le rôle. Cependant, un article du 30 juillet dans le New York Daily News indiquait que Keeler s’était effondrée dans sa loge avant le spectacle du samedi soir, le 27 juillet, et qu’elle avait été admise à l’hôpital pour une opération «nécessaire pour lui sauver la vie». Doris Carson, qui était aussi l’understudy de Keeler, jouerait le rôle jusqu’à ce que Stone soit prête à intervenir. Le 2 août, le Times a déclaré que l’opération de Keeler avait eu lieu le 1er août, le jour même où Stone était arrivée à New York pour commencer les répétitions.
Les critiques étaient assez bonnes, mais les lecteurs exigeants pouvaient lire entre les lignes et déduire que Show Girl n’était pas le spectacle de l’année et n’allait pas rejoindre les blockbusters appréciés de Ziegfeld: Sally (), Kid Boots (), Rio Rita (), Show Boat (), Rosalie (), The Three Musketeers () et Whoopee! (). Les critiques ont été particulièrement déçus par la partition la moins impressionnante de Gershwin, bien que les morceaux Liza et Do What You Do! aient été mentionnés favorablement. Mais aucune des chansons n’a jamais été un succès, et il était révélateur que les cinq chansons du spectacle pour Durante, Clayton et Jackson n’étaient pas de Gershwin mais de … Durante. En outre, Time a rapporté que la partition comprenait en plus deux autres chansons de Durante, qui n’étaient même pas répertoriées dans les programmes de Show Girl: Shades, Yellow Shades for the Window et Who Will Be with You When I’m Far Away?.
Le spectacle a subi une révision drastique après l’ouverture. Cinq numéros ont été supprimés: le numéro des Albertina Rasch Dancers, How Could I Forget? (tous deux faisant partie du segment Magnolias), Lolita, My Love, Spain et Follow the Minstrel Band et quand Lucas a quitté le spectacle, son numéro a été coupé. Mississippi Dry a été ajouté pour la scène Magnolias où il a été interprété par Duke Ellington et Son Cotton Club Orchestra et les Jubilee Singers (qui a rejoint la distribution lorsque la chanson a été rajoutée). Comme indiqué, Keeler a quitté la série après environ trois semaines, tout comme Lucas.
Acte I
The Magnolias Sequence: (a) “Happy Birthday” (Girls) / (b) “My Sunday Fella” (Barbara Newberry, Girls) / (c) Specialty Dance (The Albertina Rasch Dancers) et (d) Finaletto: “How Could I Forget?” (The Entire Magnolia Company)
“I Can Do without Broadway (but Can Broadway Do without Me?)” (lyric and music by Jimmie Durante) (Jimmie Durante, Lou Clayton, Eddie Jackson)
“Lolita, My Love” (Joseph Macaulay)
“Do What You Do!” (Ruby Keeler, Joseph Macaulay)
“Spain” (lyric and music by Jimmie Durante) (Jimmie Durante, Lou Clayton, Eddie Jackson)
“One Man” (Barbara Newberry, Girls)
“So Are You!” (Eddie Foy Jr., Kathryn Hereford, Girls)
“I Must Be Home by Twelve O’Clock” (Ruby Keeler, Girls)
Specialty: Songs (including “Because They All Love You,” lyric by Thomas Malie and music by J. Little
“Who Will Be with You When I Am Far Away?,” lyric and music by W. H. Farrell
Variety reported that during a stage “wait,” Lucas also sang “Singin’ in the Rain,” lyric by Arthur Freed and music by Nacio Herb Brown, from the film Hollywood Revue of 1929)
Dance: “Black and White” (Dancers)
Dance: “African Daisies” (The Albertina Rasch Dancers)
“Jimmie, the Well-Dressed Man” (lyric and music by Jimmie Durante) (Jimmie Durante, Lou Clayton, and Eddie Jackson)
“Harlem Serenade” (Ruby Keeler, Girls)
Acte II
Blues Ballet: “An American in Paris” (Harriet Hoctor, The Albertina Rasch Dancers) and “Home Blues” (Joseph Macaulay)
“Broadway, My Street” (lyric by Sidney Skolsky, music by Jimmie Durante) (Jimmie Durante, Lou Clayton, Eddie Jackson)
“So I Ups to Him” (lyric and music by Jimmie Durante) (Jimmie Durante)
“Follow the Minstrel Band” (Eddie Jackson, Duke Ellington and His Cotton Club Orchestra)
“Liza (All the Clouds’ll Roll Away)” (Nick Lucas, Ruby Keeler, Girls)
Finale
Aucun dossier informatif complémentaire concernant Show Girl
Version 1
Show Girl (1929-07-Ziegfield Theatre-Broadway)
Type de série: OriginalThéâtre: Ziegfield Theatre (Broadway - Etats-Unis) Durée : 3 mois Nombre : 111 représentationsPremière Preview : mardi 02 juillet 1929Première : mardi 02 juillet 1929Dernière : samedi 05 octobre 1929Mise en scène : William Anthony McGuire • Chorégraphie : Producteur : Avec : Jimmie (later known as Jimmy) Durante (Sombre Eyes, Snozzle), Calvin Thomas (Colonel Witherby, Stage Manager), Althea Heinly (Aunt Jennie, Estelle), Barbara Newberry (Virginia Witherby, Sunshine), Matthew Smith (Robert Adams), Blaien Cordner (Steve), Andy Jochim (Frank, Mr. Wright), Wanda Stevenson (Bessie), Noel Francis (Peggy Ritz), Lou Clayton (Gypsy), Eddie Jackson (Deacon, Tony Morato), Joseph Macaulay (Alvarez Romano), Doris Carson (Raquel), Frank McHugh (Jimmy Doyle), Howard Morgan (Matt Brown), Ruby Keeler (also billed as Ruby Keeler Jolson) (Dixie Dugan), Caryl Bergman (Anna, Sylvia), Eddie Foy Jr. (Denny Kerrigan), Kathryn Hereford (Bobby), Nick Lucas (Rudy), Austin Fairman (John Milton), Sadie Duff (Mrs. Dugan); Duke Ellington and His Cotton Club Orchestra; The Albertina Rasch Dancers: Mildred Turner, Vera Frederick, Virginia Whitmore, Lucille O’Connor, Agatha Johann, Virginia Allen, Ruth Hayden, Dorothy Morgan, Evelyn Nichols, Dona Dene Curry, Sunny Van, Ruth Love, Viola Hage, Eddie Belmont, Dorothy Ryan, Louise Raymond; Show Girls: Althea Heinly, Blanche Satchel, Gertrude Dahl, Mary MacDonald, Ada Landis, Edna Bunte, Betty Bassett, Mildred Schwenke, Moreen Holmes, Dorothy Carrigan, Dolores De Fina, Doris Downes, Caja Eric, Georgia Payne, Camilla Lanier, Mildred Klaw, Leonia Pennington; Dancers: Pat O’Keefe, Virginia Frank, Cleo Cullen, Bobby Brodsley, Jean Althan, Selma Althan, Jane Barry, Peggy Carthew, Beatrice Powers, Dolores Grant, Pamela Bryant, Janet Gibbard, Dorothy Bow, Lois Peck, Vivian Porter, Florence Allen, Virginia Case, Katherine Downer, Juliette Jones, Doris May, Patricia McGrath, Orine Bryne, Rena Landeau, Claire Wayne, Jean Wayne, Alma Drange, Mildred De Fina, Lottie Marcy, Dolores Ray, Hazel Bofinger, Kae English, Marcia Bell, Emily Burton, Billie Cortez, Wanda Stevenson, Violet Dell, Dore NodinePresse : J. Brooks Atkinson in the Times noted that Ziegfeld had given the show a “lustrous splendor,” but the “task of blending materials that are episodic and individual” made the new musical “the least notable” of Ziegfeld’s recent shows. Throughout the evening you were “constantly aware of banalities and awkward transitions” and you missed “the stately flow of the best Ziegfeld pageants.” Keeler was now “on her way to fame on Broadway” and was an “enjoyable” performer “without pretentions and affectations,” and while Durante’s “personality” managed to batter “through all barriers,” his “sizzling energy” and “spluttering, insane material” didn’t “melt gracefully into a musical comedy book.” Gershwin’s contributions had “moments of vividness or melody,” but he hadn’t composed “a first-rate score.”
Charles Brackett in the New Yorker found the adaptation “soggily” written, and noted it was Gershwin’s “weakest” score, and Burns Mantle in the Tampa Tribune said the “elaborate and bountifully decorated” show was “the nearest thing” to a financial “miss” that Ziegfeld had produced during the past five years (perhaps he’d forgotten about Betsy).
But Percy Hammond in the Oakland (CA) Tribune said Show Girl was “as satisfactory a musical show as I have ever seen,” and while he noted that Jolson’s “Liza” was a “priceless moment,” it nonetheless “detracted a little” from Keeler’s “brilliant success.” Grace Cutler in the Brooklyn Daily Eagle said that for the “entertaining” show Urban had “outdone himself in scenic effects” and Keeler excelled “in voice, in gesture, [and] routine tap-dancing.” But Gershwin’s music was (with the exception of “Do What You Do!”) a “little disappointing,” Durante was “hampered” by his fellow comics, and Foy “by no means” made the most of his part.
Frederick F. Schrader in the Cincinnati Enquirer said “the most pleasing feature” of the musical was Urban’s décor; otherwise, Gershwin’s score was “breezy” and “sometimes original.” Variety decided the show’s “main trouble” was the “music and the lack of it in a popular way,” but noted Durante got a “peach spot” for two of his specialties, including the “bear” of a song “So I Ups to Him” (the critic reported that the “house rocked” with Durante’s “snapper” line that someone was a “fairy”).
Ward Greene in the Indianapolis Star noted that Whoopee made Keeler famous, “especially when she walked out on the show,” that her marriage to Jolson “hit the front pages of a hundred cities,” and “as a dancer not even Marilyn Miller in her gayest days excels Ruby.” But in regard to Jolson’s “Liza” moment, Greene suspected Jolson might not “continue to give this little surprise party to his darling wife,” who “in time” might “appreciate it less and less.”
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