Le dernier jour de sa vie, le roi Louis II se souvient de la vie passée du roi des contes de fées avec son psychiatre Gudden sur les rives du lac Starnberg .
Flashback: Ludwig grandit dans une maison heureuse et insouciante. Alors que son tuteur le tyrannise, il s'échappe dans les bras de sa nourrice Sybille Meilhaus, qui le familiarise avec le monde de Richard Wagner. Il est particulièrement attiré par Lohengrin et veut imiter son héros.
En tant que roi Louis II, il veut faire de sa chère Bavière un "temple de la paix et des beaux-arts", mais tout le monde n’est pas d’accord. Seule sa cousine bien-aimée, l'impératrice Elisabeth d'Autriche , et son fidèle adjudant, le comte Dürckheim, sont à ses côtés. Parce que l'amour pour Élisabeth échoue, il tombe dans une grande tristesse, dont seul "l'ange" peut le libérer. Il explique que son chemin n'est pas encore terminé, car il doit encore trouver le Saint Graal et que le deuil n'est d'aucune aide.
Lorsque la Prusse déclare la guerre à la France, Ludwig doit décider et, à contrecœur accepte de fournir une aide en armement. Au cours de cette guerre, son frère Otto tombe en dépression après avoir été enterré et sauvé par l'adjudant du roi. Encore une fois, Ludwig tombe dans le deuil, et là aussi, "l'ange" lui rappelle de suivre sa propre voie pour remplir sa mission. Louis décide que la guerre ne doit plus jamais prévaloir. Il veut créer plutôt que détruire.
Pendant ce temps, Gudden est sous la pression de la résistance et déclare le roi fou. Il est capturé sur le chantier de construction du château de Neuschwanstein. Dürckheim veut se précipiter à son aide, mais Louis II lui dit que suffisamment de sang a coulé et accepte d'être emmené.
Sur la promenade, le roi se tourne vers le public et déclare que tout le monde a le Saint Graal en soi. Il raconte l'histoire d'un homme qui renonce à tout pour mener son enfant hors de la cécité: c'est le Saint Graal.