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Compositeur Musique additionelle Librettiste Parolier Metteur en scène Chorégraphe Producteur création Producteur version
Musical
Musique: Karl Millöcker • Paroles: Paul Knepler • Livret: Paul Knepler • Rowland Leigh • Production originale: 4 versions mentionnées
Dispo: Résumé Commentaire
Genèse:
Résumé: The young milliner, Jeanne, quarrels with the hat-shop owner, Madame Labille, and, unemployed, has to rely on her poet-lover, René Lavallery, for financial support. However, the Comte Dubarry entices her away from the poet’s garret to the Maison Dubarry. Even higher “honours” are on offer, for the Maréchale de France, makes it clear the King is very interested in Jeanne, the “Madame Dubarry”, and is willing to pay the Comte’s debts for a consideration. The Comte is only too ready to make a deal - it seems there are many pimps and procurers at the court of Louis Quinze - and the upshot of it all is, of course, that Madame Dubarry becomes the uncrowned Queen of France.
Création: 14/8/1931 - Admiralspalast (Berlin) - représ.
Musical
Musique: Oscar Straus • Paroles: Livret: Armin L. Robinson • Paul Knepler • Production originale: 3 versions mentionnées
Dispo: Résumé Synopsis Commentaire Génèse Liste chansons
Genèse: “Drei Wälzer” was first produced in Zurich on October 5th 1935, but it was the Paris Exposition production in 1937 starring Yvonne Printemps and Pierre Fresnay that brought the work great fame. The libretto by Paul Knepler and Armin Robinson set the show in three separate eras, with the music for each of the three acts respectively by Johan Strauss I, Johann Strauss II and Oscar Straus - all adapted by Oscar Straus and with lyrics by Clare Kummer. The New York production opened on Christmas Day 1937 with Kitty Carlisle and Michael Bartlett, but managed just a four month run and 122 performances. The London production had been newly adapted with a new book and new lyrics. Most of the character names had been changed: romantic Viennese Guardsmen and noblemen had become minor English aristocracy, and the “Von Hohenbrunn” dynasty had become the descendants of “Lord Wessex”. Thanks to the drawing power of Evelyn Laye, it did manage a slightly longer run than Broadway. This work is generally regarded as the last worthwhile Viennese operetta to achieve worldwide production. The rest of Oscar Straus’s output was mainly for the cinema, and it was said at the time of his death in 1951 “obituaries for Oscar Straus are also obituaries for the Viennese operetta”. L’opérette Trois Valses, populaire en France grâce à l’adaptation qui en a été faite pour le couple Yvonne Printemps-Pierre Fresnay n’a pas eu grand succès lors de sa création à Zürich (1935) puis à Vienne quelques mois plus tard. À Londres, en tournée avec Pierre Fresnay, Yvonne Printemps rencontre Oscar Straus qui lui suggère d’aller à Bruxelles où l’on donne la version française de l’ouvrage (1936). Pierre Fresnay et Yvonne Printemps suivent son conseil et, accompagnés d’Albert Willemetz et de son épouse, se rendent au théâtre de la Monnaie de Bruxelles écouter l’opérette : " À la sortie du théâtre, les deux couples sont consternés. Cet opéra-comique, plus qu’une opérette, est long, sans grand charme et chanté de bout en bout par un ténor " Albert Willemetz, malgré tout, pense que le thème général et la musique ne sont pas sans intérêt. " Je reconstruisis entièrement les 3 actes, raconte-t-il, en axant l’action sur le couple d’amoureux et en arrangeant, naturellement, la partition de telle sorte que les airs les plus importants soient confiés à la voix exquise de la merveilleuse et unique Yvonne Printemps ". Le triple rôle de Chalencey devient entièrement parlé. Les auteurs transportent le cadre de leur ouvrage à Paris. Les dates choisies pour les trois actes correspondent à trois grandes expositions internationales. Le 21 avril 1937, le théâtre des Bouffes-Parisiens présente ainsi une opérette tout à fait originale dans sa conception : trois valses, trois générations, trois époques. Un imprésario passe et sert de lien commun entre les trois actes. L'opérette et ses créateurs eurent un immense succès. Robert de Beauplan écrivait dans "L'Illustration" : " Sur un thème viennois, MM Albert Willemetz et Léopold Marchand ont écrit un ouvrage qui fait honneur à l'esprit français ". En province, avant la deuxième guerre mondiale, l'ouvrage fut brillamment repris par Gabrielle Ristori et Robert Vidalin. Qui se souvent aujourd’hui de ces deux artistes ? Un film fut tiré de l'opérette en 1938. Aux côtés de Pierre Fresnay et Yvonne Printemps, on remarquait Henri Guisol (Brunner fils), Boucot (Brunner père). Ce film, l’un des rares films musicaux de qualité sorti au cours des années trente, contribua sans nul doute à populariser l’ouvrage. Après la guerre, on notera deux reprises parisiennes à la Gaîté-Lyrique avec Germaine Roger dans le triple rôle de Fanny, Yvette, Irène. Pierre Jourdan était son partenaire en 1952 et Jean Weber en 1959. En province, l’ouvrage se maintint longtemps au répertoire. On fit appel parfois à des comédiens connus comme Michel Le Royer.
Résumé: Originally produced as Les Trois Valses for the Paris Exposition of 1937, the show consists of three acts which follows the lives and loves of three successive generations, the first two unfortunate and the third happily paying for all past sorrows. The first act is set in the Exposition of 1867 and uses the music of Johann Strauss Snr; the second act at the 1900 fair uses the music of Johann Strauss Jnr. The final act uses original music by Oscar Strauss
Création: 5/10/1935 - Stadttheater (Zurich) - représ.