Le 11 septembre, le monde s’est arrêté.
Le 12 septembre, leur histoire nous a redonné foi en la vie.

«Come From Away» vous transporte au cœur de la magnifique histoire vraie de 7.000 passagers de 38 avions de ligne qui ont atterri d'urgence le 11 septembre 2001 dans la petite ville de Gander à Terre-Neuve dont les habitants vont tout mettre en œuvre pour accueillier au mieux ces femmes et ces hommes venus des cinq continents.
Au milieu des cultures qui s’entrechoquent et de la panique ambiante, l’inquiétude laisse place à la confiance, la musique s’élève dans la nuit et la gratitude se transforme en une amitié qui durera toute la vie.
«Come from Away» montre ce petit monde temporaire où tout le monde est forcé, par des événements bouleversants survenus à des centaines de kilomètres de là, de se réunir et de construire une communauté basée sur des principes de générosité et de bienveillance.


Le matin du 11 septembre 2001, les habitants de Gander (Terre-Neuve) apprennent que des attentats terroristes ont eu lieu à New York. Les attaques entraînent la fermeture de l’espace aérien américain, détournant 38 avions internationaux vers l’aéroport de Gander. Le nombre de passagers à bord de ces avions double la population de la petite ville qui n’est pas équipée pour faire face à l’afflux de voyageurs bloqués. Malgré tout, les habitants de Gander se préparent à loger, nourrir, vêtir et réconforter les quelque 7 000 passagers mais aussi les 19 animaux des soutes à bagages.
Dans un premier temps, les équipages et les passagers ne peuvent quitter les avions. Ils n’ont que des informations confuses et contradictoires sur ce qui s’est passé à New York. Une fois autorisés à descendre des avions et transférés dans des abris d’urgence à proximité, ils sont horrifiés par les images rediffusées en boucle à la télévision. Certains tentent désespérément de contacter leurs familles – nous sommes avant l’ère des GSM. Les habitants de Gander et des villes environnantes ouvrent leurs maisons aux «gens de l’avion», sans égard à la race, à la nationalité ou à l’orientation sexuelle de leurs invités. Ils travaillent toute la nuit pour les aider de toutes les manières possibles. Les voyageurs et les équipages sont d’abord décontenancés par la gentillesse peu commune de leurs hôtes, mais ils baissent lentement leur garde et commencent à se lier avec les citadins et entre eux. Par exemple, deux femmes, Beulah (de Gander) et Hanno (de New York), se lient d’amitié sur le fait que leurs deux fils sont pompiers. Mais le fils de Hanno est toujours porté disparu après les attaques. Un lieu de culte, rassemblant toutes les religions est ouvert. Des rencontres amoureuses ont lieu – mariage s’ensuivra – et d’autres couples se disloquent car leurs relations paraissent tellement artificielles en ces moments de vérité. Beverly Bass, la première femme pilote chez America Airlines, confesse sa peur que disparaisse la passion de sa vie: voler.
Quelques jours plus tard, l’espace aérien réouvre et chacun peut rentrer chez soi. Les passagers n’oublierons jamais la gentillesse et la générosité dont les habitants de Gander ont fait preuve à leur égard. Les habitants de Gander reviennent à la vie normale, mais ressentent à quel point leur ville semble vide et à quel point le monde semble différent.
Dix ans plus tard, l’équipage et les passagers se réunissent à Gander, cette fois par choix, pour célébrer les amitiés de longue date et les liens solides qu’ils ont tissés malgré les attaques terroristes. Comme le confesse le maire de Gander: «Ce soir, nous rendons hommage à ce qui a été perdu, mais nous commémorons aussi ce que nous avons trouvé.»


CREATEURS
AuteurIrene Sankoff 
AuteurDavid Hein 
CompositeurIrene Sankoff 
CompositeurDavid Hein 
ParolierIrene Sankoff 
ParolierDavid Hein 
Traduction françaiseStéphane Laporte 
Mise en scèneAnne Mie Gils 
Mise en scèneJack Cooper 
Assistante à la mise en scèneMathilde Bourguet 
Direction musicaleBo Waterschoot 
Direction polyphonie vocaleSebastien Jurczys 
ChorégraphiesKylian Campbell 
ScénographieDimitri Shumelinsky 
AccessoiresCédric Michel 
Création des costumesBéatrice Guilleaume 
LumièreLaurent Kaye 
CoiffeurOlivier Amerlinck 
Ingénieur du sonVincent Debongnies 
Ingénieur du sonSimon Defrenne 
Ingénieur du sonEric Loots 
AVEC
DianeMargaux Maillet 
HannahTerja Diava 
JaniceAaricia Dubois 
BeulahVirginie Perrier 
BonnieJolijn Antonissen 
BeverleyMarion Preite 
OzLoïc Suberville 
Kevin TDamien Locqueneux 
Kevin JLoaï Rahman 
BobJanis Palu 
ClaudeFranck Labbé 
NickArnaud Masclet 
ORCHESTRE
Direction et guitare basseBo Waterschoot 
PianoAnne Wolf 
Flûte 1Remi Decker 
Flûte 2Raphaël De Cock 
ViolonLorcan Fahy 
GuitaresTéo Crommen 
Mandoline et bouzoukiJonathan Bruyninx 
PercussionsStephan Pougin 
BatterieThierry Gutmann 
EQUIPE TECHNIQUE
Direction techniqueDenis de Bock 
Vincent Lemoine 
Nettoyage des costumesArlette de Winne 
PRODUCTION
Co-producteurOlivier Moerens 
Co-producteurJack Cooper 
Co-producteurDaniel Hanssens 
Directrice de productionLady Karidas 
Attachée de presseValérie Nederlandt 
GraphisteGaétan Bergez 
Photo ReporterAlexandre Mhiri 

UNE HISTOIRE VRAIE: «Tout le monde nous dit que nous avons fait une chose incroyable, et en fin de compte, je ne pense pas que c’était une chose incroyable. Ce que nous avons fait était normal.» - Diane Davis, 53 ans en 2001, une enseignante qui a aidé 750 personnes logées à l’école primaire de la ville.
«Ce que nous considérons comme la chose la plus simple dans la vie, c’est d’aider les gens. Vous n’êtes pas censé regarder la couleur des gens, leur religion, leur orientation sexuelle – vous les regardez en tant que personnes.» - Le maire pendant 21 ans de Gander, Claude Elliott.


Critique - Ce spectacle est un triomphe qui fait taper du pied et réchauffe le cœur! Il vous fera rire, pleurer et quitter le théâtre plein d’espoir. A la fin, il n’y avait aucun doute que tout le public bondirait debout comme un seul homme. Uni.
Venez de près, venez de loin, venez de très loin – assurez-vous simplement de venir voir ce spectacle.

Stefan Kyriazis - Daily Express

Critique - Arrêtez tout et allez voir come from away! Cinq étoiles, ça ne suffit pas! C'est une histoire extraordinaire de gens ordinaires comme vous et moi. Il faut le voir pour le croire. Tout simplement inoubliable.
Achetez un billet et je vous garantis que vous en sortirez un meilleur être humain.

Douglas Mayo - British Theatre

Critique - Il faut moins de 10 secondes pour être pris par son étreinte généreuse.
Et pendant les 100 minutes suivantes, vous allez rire, taper du pied, essuyer vos larmes, vous sentir bien dans notre humanité – quel sentiment rare et bienvenu de nos jours. Irrésistible et inspirant. C’est un musical qui fait tout ce qu’il faut. J’étais debout et j’applaudissais toujours dans le train pour rentrer chez moi.

Dominic Maxwell - The Times

Critique - Come from Away est dans une catégorie à part: un musical authentique, plein de cœur, de vérité et d’émotion vraie. C’est un spectacle dont l’impact est difficile à décrire: on a l’impression qu’il vous envahit à l’improviste, avant de vous submerger d’émotion. J’étais tout simplement submergé – et à en juger par les acclamations et les larmes lors de la soirée de première, la plupart des spectateurs semblaient l’être aussi.

Mark Shenton - London Theatre

Critique - Émouvant, édifiant et vivifiant. Il martèle ce message: d’où que nous venions, nous sommes tous humains. Il est difficile de ne pas être ému par un spectacle aussi fort, et qui prouve à quel point les bonnes intentions peuvent ouvrir la voie au Paradis, ou du moins à une forme supérieure d’humanité. Un musical canadien incroyablement émouvant et édifiant, basé sur une vraie histoire de gentillesse.

Tim Bano - The Stage

Critique - Ce musical est un bijou et un rappel de ce qui compte dans le vie. Un spectacle émouvant et irrésistible qui défend sans complexe la gentillesse.

Sarah Hemming - Financial Times

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