Par la Cie La Claque
«Plus tof que notre Bruxelles, ça n’existe pas ! Ça est une ville où on peut babbeler dans sa langue et faire la zwanze à la place de Brouckère entre deux bloempots».
Bruxelles 1935, Charel Zoetebeek ancien négociant du marché au charbon vit de ses rentes. Il est marié à Catherine depuis 33 ans.
Son fils Jefke a une « neurasthénique » et est amoureux de Marieke. Charel Zoetebeek est président de beaucoup de « sochietés ».
Ses secrétaires et amis sont Geerezat et Stikkelmans. Il a loué un de ses appartements au comte de Cabras (riche Parisien). Charel aime - un peu trop - les honneurs et les décorations ce qui va lui causer quelques ennuis.
Comédie savoureuse où l’on retrouve les expressions, les chansons et le « dikke nek » bruxellois.
Du rire ? Ah ! Non peut-être !
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En 1997, la Ville de Bruxelles rénove la salle des fêtes de l’Institut De Mot-Couvreur.
Huit professeurs féminins décident alors de faire vivre cette salle en y présentant un spectacle.
Jean-Pierre Janssens très aguerri dans le monde du théâtre d’amateurs est choisi comme premier metteur en scène.
Ensemble nous décidons de fonder une troupe « La Claque » dont Jean-Pierre Janssens devient le Président.
Notre premier spectacle fut donc « huit femmes » comédie de Robert Thomas qui ne se joua que deux fois.
En effet il fallait trouver du public…
Jean-Pierre Janssens, enseignant puis Directeur de l’école « Nos Enfants » (Forest).
Passionné de théâtre et de cinéma depuis sa plus jeune enfance, il débute comme comédien amateur
au « Mascaret » puis crée en 1997 sa propre troupe « La Claque » et se consacre entièrement à la mise en scène.
Lors de la création de « Ce Bon Monsieur Zoetebeek » en 2003, aidé par quelques amis bruxellois dont Roger Macharis alias Zoetebeek, il réactualise le texte original quelque peu désuet en insérant des expressions « encore bien vivantes ». Il remporte le « prix du meilleur spectacle d’auteur belge »
Il remporte également le « prix du meilleur metteur en scène amateur » décerné par la FNCD (Fédération Nationale des compagnies dramatiques) en 2008 pour « Pas d’Orchidées pour Miss Blandish » et en 2010 pour « Dommage qu’elle soit une Putain ».