Le premier spectacle de Jack Cooper à Bruxellons!
«Le premier truc de Jack, connu dans le civil sous le nom d'Alain Verburgh, c'est sa foi dans le music-hall. Quand le rideau se lève, entre musique qui pétarade et fumigènes, on croit comprendre pourquoi Euro Disney se vide: tout le monde court au Karreveld, c'est plus près et ça fait le même effet!» Laurent Ancion - Le Soir
Un vrai spectacle de Music-Hall où les genres alternent et s'enchaînent: des grandes illusions, des numéros interactifs, de la télépathie, du transformisme, …
Un must!!!
L'équipe du Festival Bruxellons! proposa à Jack Cooper de créer un nouveau spectacle dans leur festival, au milieu d'une programmation théâtrale de prestige (entre autre Romeo et Juliette)... Le spectacle s'appellera To dream or not to dream et Jack Cooper sera encadré par deux comédiens: Antoine Guillaume et Christel Pedrinelli.
Cinq représentations sont programmées mais vu le triomphe, Jack Cooper présentera son spectacle à dix reprises!!! Celui qui allait quelques temps plus tard co-diriger le Festival venait d'entrer en force dans l'histoire du Festival.
Mais la plus grande victoire dans ce triomphe est sans doute de prouver qu'un spectacle complet de magie, durant près de deux heures, peut trouver sa place au sein d'une programmation théâtrale de prestige. La presse sera dithyrambique, les professionnels de la scène belges seront élogieux et un véritable fan-club se créera. Depuis lors, chaque année, le Festival Bruxellons! présentera des représentations de magie.
Homme aux mille mains, ce que vous nous faites croire
Est plus réel que le réel qui est un rêve.
Car dans cette partie, vous tenez le rôle du sort
Et du mystère.
Vos mensonges nous émerveillent davantage
Que notre pauvre vérité.
(Jean Cocteau)
Une bonne technique, un effort dynamique pour théâtraliser la magie, une humeur sympathique : Jack Cooper, 23 ans au compteur, a de quoi mettre le public dans sa poche de prestidigitateur. (…) En deux coups de cuiller à pot, Jack va faire apparaître une jeune fille dans une cage qui semblait vide, se délier de cerceaux qui l'incarcéraient puis enfiler des anneaux chinois en une ribambelle impossible à dessouder - y compris par l'un ou l'autre spectateur bien embêté. Car le second truc de Jack, c'est de ne pas être gêné : il fait appel à la bonne vieille ficelle de la participation du public.
Consulter article completLe Soir - 7/8/2003 - Laurent Ancion
Au centre de son spectacle - et ponctuellement lors de la représentation - Jack Cooper s'y essaie. Avec humilité, rappelant au passage qu'Arturo Brachetti a 20 ans d'expérience. Le novice réussit pourtant à époustoufler l'assistance, bondissant très vite d'un costume à l'autre - 16 changements en 8 minutes. En résulte une petite pièce à lui tout seul (ou presque...).
L'équipe signera également un moment de télépathie tout aussi impressionnant. Ainsi qu'un numéro de lévitation, dont la musique de Jean-Louis Deaulne viendra en renforcer la poésie. À propos de poésie, l'on devine l'artiste tendre sensiblement vers la forme. Ce désir de mêler théâtre et magie n'en est d'ailleurs que salutaire.
La Libre Belgique - 14/8/2003 - Sarah Colasse
Dans la salle du Karreveld, le jeune magicien accomplit un double exploit, celui de faire décoller une salle écrasée de chaleur et de réaliser des numéros qui exigent rapidité, concentration et… mains sèches. Une énergie à toute épreuve, un capital de sympathie et un vrai talent permettent à Jack Cooper d'exécuter sans faillir des classiques du genre empruntant à quelques maîtres. Fregoli, Houdini, Brachetti qu'il salue au passage sous forme d'un clin d'œil nous donnant l'intervention sonore magnifique d'un grand. Disparitions, transformations, manipulations de cartes et de cordes, prédictions dans le genre Pierre Dac et Francis Blanche avec la complicité aussi flegmatique que débonnaire d'Antoine Guillaume et la pétulance souriante et drôle de Christel Pedrinelli (Juliette d'autres soirs)amusent un public sollicité pour sa plus grande joie. Magicien et comédiens mêlent leur domaine, avec un ton qui reste à affiner entre le théâtre, le merveilleux, le cabaret et le rapport de proximité. Côté technique, la magie est complète et soufflante, Jack Cooper a une souplesse manuelle qui pourrait lui inspirer la même détente verbale et le tour sera joué.
SOPHIE CREUZ
Sophie Creuz - 7/8/2003 - L'Echo
C'est du cabaret et du music-hall, car il n'y a pas que des numéros de magie, il y a des sketchs humoristiques, des chorégraphies, le tout réalisé par Jack mais aussi avec la collaboration de deux acteurs, Christel déjà mentionnée et Antoine Guillaume , tout à fait extraordinaire (lui aussi joue dans " Roméo… " le personnage de Paris , le jeune noble , et qui plus est, en a conçu la chorégraphie). Un travail collectif de mise au point, d'écriture, de gags et de " trucs " de plus d'une année!
Et l'on s'amuse, l'on rit à gorge déployée durant les deux heures du spectacle, dès le tout début déjà où Jack apparaît et disparaît magiquement. Comment fait-il ? Doit-on vraiment se poser des questions. Je ne le crois pas. Il faut se laisser séduire par les trucs, les gags, les mots, les gestes .
Cette soirée vous réserve énormément de surprises que je n'ai garde de vous dévoiler. Allez voir le spectacle, mais un conseil : réservez vos places dans le plus bref délai possible car la " grange " est pleine à craquer…
Cinemaniacs - 8/2003 - Roger Simons
Le troisième spectacle est un accueil de Bulles Productions emballé par le magicien Jack Cooper, poète, comédien, illusionniste, télépathe, lévite, drôle et joli garçon. Tous les talents en un seul pour une prestation complète, comme les crêpes bretonnes. De quoi vous faire regretter de partir en vacances…
L'Echo - Sophie Creuz
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