Une comédie brillante et acide irriguée
par une belle joie de vivre et d’aimer librement

«Un mari idéal» est considéré comme l’un des chefs d’œuvre du théâtre anglais. Mais attention, dans cette comédie brillante, rien n’est jamais tout à fait comme l’on pense. L’homme parfait porte son secret. Son épouse parfaite, évidemment bonne chrétienne, s’avère tout à coup incapable de comprendre et de pardonner. L’aventurière sans scrupule se révèle sincèrement éprise du dandy et celui-ci est en fait l’homme le plus honnête de tout ce petit monde, ayant pour principal défaut l’habitude de toujours dire exactement ce qu’il pense.
Jubilatoire et drôle

"Un mari idéal" (An ideal Husband) fut représenté pour la première fois en janvier 1895, deux mois avant qu'Oscar Wilde ne se décide à intenter au Marquis de Queensberry le procès qui le contraindra à l'exil. Wilde est alors au sommet de son talent et de sa gloire.

Et c’est avec humour et poésie qu’Oscar Wilde s’en prend, avec cette comédie, aux vices de la société victorienne du tournant du siècle, cynique et décadente. Il tend à l’aristocratie et à la bourgeoisie britannique un miroir dénué à la fois de complaisance et de cruauté.


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