Evénement: le Théâtre Royal de Toone à Bruxellons!
Le Théâtre Royal de Toone est le seul théâtre de marionnettes traditionnelles bruxelloises encore en activité. Un théâtre de marionnettes pour adultes, unique en Europe, qui poursuit la tradition séculaire du théâtre populaire de marionnettes depuis 1830.
EGALEMENT DEUX REPRESENTATIONS EN APRES-MIDI POUR VENIR EN FAMILLE!
"Les Trois Mousquetaires" ont pour nom Athos, Pothos et Aramis et sont au service de Louis XIII. Arrivé à Paris depuis sa Gascogne natale, d’Artagnan doit gagner sa belle casaque de mousquetaire. Il commencera par se battre en duel avec ceux qui deviendront ses inséparables amis.
L’amour que d’Artagnan porte à Constance Bonacieux (Constanske chez Toone), fidèle femme de chambre d’Anne d’Autriche, le lance dans l’aventure dite des "Ferrets de la Reine": douze ferrets de diamants, présents du roi, que la reine a offerts à Buckingham. A l’instigation du cardinal de Richelieu qui veut perdre la reine, Louis XIII somme son épouse de les porter au prochain bal de la cour.
CREATEURS | |
AVEC | |
TOONE VIII | Nicolas Géal |
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Le Théâtre Royal de Toone est le seul théâtre de marionnettes traditionnelles bruxelloises encore en activité.
C’est vers 1830 qu’Antoine Genty dit « Toone », ouvrit son « poechenellekelder ».
Loin de se cloisonner dans le passé, José Géal – Toone VII à ouvert le Théâtre Royal de Toone à l’Europe en adaptant ses spectacles en anglais…mais également en espagnol, en italien et en allemand.
Cette ouverture d’esprit a projeté le Théâtre de Toone sur la scène Européenne…et mondiale.
Le plus ancien Toone remonte à 1830. Il était né en 1804 et s’appelait Antoine Genty. Il eut un "règne" exceptionnel de quarante-cinq ans. Toone, diminutif bruxellois d’Antoine, a mené de 1830 à 1890 le jeu d’ "Ourson et de Valentin", de "Vivier et Malgase", des "Quatre Fils Aymon" et de quelques œuvres d’inspiration religieuse. On le signale tour à tour rue des Sabots (actuellement rue de Wynants), rue du Miroir, rue des Vers (rue Pieremans), rue Christine et Impasse des Liserons, avant d’aller finir ses jours dans un hospice.
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