L’histoire du souffleur de la première représentation mondiale de Cyrano de Bergerac

Paris, le 28 décembre 1897. Ildebrando Biribo’ est souffleur à la première mondiale de Cyrano de Bergerac. Pour nous raconter l’histoire de ce personnage qui a vécu sa passion du théâtre à l’ombre des grands acteurs, Emmanuel Vacca se fait bouffon et clown, de ceux qu’on aime avec tendresse. Génial bateleur, il mime, interpelle le public, s’enflamme… et rend un bel hommage à un métier oublié.


Ecrite et interprétée par Emmanuel Vacca, « Ildebrando Biribo ou un souffle à l’âme » a été jouée pour la première fois en 1998. L’histoire du souffleur de la première représentation mondiale de Cyrano de Bergerac (que l’on trouva mort à la fin de la représentation) qui revient sur terre pour donner un récital, hymne au bonheur et au théâtre, compte aujourd’hui plus de quatre cent dates de tournée à travers la France et l’Europe…


CREATEURS
AuteurEmmanuel Vacca 
Mise en scèneEmmanuel Vacca 
Assistanat mise en scèneSophie Lassalvary 
ScénographieStefano Perocco 
CostumesMonica Musha 
LumièreCésar Palace 
AVEC
Emmanuel Vacca 
Une production d'Emmanuel Vacca

« Du rire, de l’émotion pour une prestation à couper le souffle. » TELERAMA - Michel Bourcet
« Emmanuel Vacca, virtuose... inoubliable... » LIBERATION - A. Dreyfus
« Ne pas rater cette pièce. » LE POINT - Sophie Janvier
« Un souffle de bonheur qu’il ne faut pas bouder. » PARISCOPE
« On a rarement vu un comédien aussi expressif... » FRANCE INTER - V. Josse
« Un hommage au théâtre tourbillonnant d’allégresse. » LA TERRASSE
« La leçon de théâtre vaut toutes les chandelles. » L’AVANT-SCENE
« Ildebrando est un mirage qui rend les hommes meilleurs. » LA PROVENCE

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Ildebrando Biribo fut le souffleur de la première représentation mondiale de Cyrano de Bergerac, le 28 décembre 1897; ce spectacle est une sorte de revanche pour tous les invisibles qui contribuent à faire un spectacle et qui, pour une fois, sont sur le devant de la scène?
Ce n’est pas à proprement parler une revanche. Pas d’idée de revendication particulière derrière ce personnage. Mais plutôt un forme d’hommage, un remerciement à ces hommes et femmes de l’ombre dans un métier de lumière. Ildebrando Biribo’ est un souffleur qui aime son métier. Pour rien au monde, il n’échangerait sa place pour être comédien. Cet amour qu’il porte aux comédiens, à ce qu’ils ne se perdent pas dans leurs trous de mémoire, est un geste d’humilité et de sensibilité. C’est un métier de « l’ombre » oui, mais qui nécessite des qualités de lumière.

Quelles sont vos influences théâtrales? Quels enseignements avez-vous suivi?
J’ai commencé par le Mime, avec le grand maître Marcel Marceau. Une longue et belle histoire qui a duré une vingtaine d’années et dans laquelle j’ai eu tous les rôles. Assistant, interprète, auteur, metteur en scène, enseignant. Mais je suis également en amour avec le verbe; nécessiteux d’écriture, de parole. Mes influences sont diverses et variées. Elles ont en commun le souci de l’émotion et de l’universalité.

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