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Musical
Musique: Ivan Caryll • Paroles: Percy Greenbank • Livret: Seymour Hicks • Production originale: 2 versions mentionnées
Dispo: Synopsis Génèse Liste chansons
Genèse: The Earl and the Girl is a musical comedy in two acts produced by William Greet and opened at the Adelphi Theatre in London on 10 December 1903. It transferred to the Lyric Theatre on 12 September 1904, running for a total of 371 performances. It also ran at the Casino Theatre in New York beginning on 4 November 1905 for 148 performances (with some added music and lyrics by Jerome Kern and others), starring Eddie Foy and W. H. Denny. A production toured Australia in 1906 and 1907. A revival in London in 1914 ran for a total of 107 performances, and there were later revivals and tours. The original London cast included a number of performers who had recently appeared in productions of the D'Oyly Carte Opera Company, which was no longer performing at the Savoy Theatre at the time of the premiere of The Earl and the Girl, including Walter Passmore, Henry Lytton, Robert Evett, M. R. Morand, Reginald Crompton, Powis Pinder, Charles Childerstone, Alec Fraser, Ernest Torrence, Rudolph Lewis, Agnes Fraser, and Louie Pounds. Lytton later used the song "My Cosy Corner" from the show in his music hall acts with much success, and made a recording of it. Kern's song interpolated into the New York production, "How'd You Like to Spoon with Me?" also became a hit.
Résumé:
Création: 10/12/1903 - Adelphi Theatre (Londres) - représ.
Musical
Musique: Ivan Caryll • Lionel Monckton • Paroles: Adrian Ross • Percy Greenbank • Livret: James T. Tanner • Production originale: 2 versions mentionnées
Dispo: Résumé Synopsis Commentaire Génèse Liste chansons
Genèse: Produced by George Edwardes, it opened at the Gaiety Theatre in London on 23 January 1909 and ran for an extremely successful 636 performances. It starred Gertie Millar, Edmund Payne and George Grossmith, Jr. The young Gladys Cooper played the small role of Lady Connie. The show also had a short Broadway run in 1910. It was revived at the Finborough Theatre, London, in May 2006. This was the first professional London production since 1910. The piece was regularly revived by amateur theatre groups, particularly in Britain, from the 1920s into the 1950s but it has been produced only rarely since then. Our Miss Gibbs was revived by Lyric Theatre in July and August 2011 at the Mountain View Center for the Performing Arts and the Lesher Center for the Arts in Walnut Creek, California. The revival featured a cast of 22 and a 9-piece orchestra.
Résumé: Mary Gibbs, a Yorkshire Lass, works in the flower department of Garrod’s Department Store. Her heart belongs to the bank clerk Harry Lancaster (who is really Lord Eynsford in disguise). Lord Eynsford is engaged to Lady Elizabeth Thanet, but she much prefers Hughie Pierrepoint, an amateur criminal. When Mary discovers Lord Eynsford’s deception, she leaves her job and goes off to the Franco-British Exhibition at White City. Lord Eynsford follows her, proves his honourable intentions, and all gets sorted out happily.
Création: 23/1/1909 - Gaiety Theatre (Londres) - 636 représ.
Musical
Musique: Ivan Caryll • Paroles: C.M.S. McLellan • Livret: C.M.S. McLellan • Production originale: 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Synopsis Génèse Liste chansons
Genèse: "The Pink Lady" est le plus gros succès de la saison 1910-1911 à Broadway. Et après ses 312 représentations à New York, il a enchaîné avec un long US Tour et de nombreuses productions internationales (l'US Tour est repassé au New Amsterdam Theatre le 26 août 1912, pour une série de 24 représentations). Le compositeur, Ivan Caryll, était britannique et le librettiste et parolier américain C. M. S. McLellan (alias Hugh Morton) vivait en Grande-Bretagne. En plus, l’histoire était basée sur une farce française "Le satyre" de Georges Barr et Marcel Guillemaud. De ce fait, un ou deux critiques ont donné l’impression erronée que la comédie musicale était une importation.
Résumé: L’histoire se déroule dans la France contemporaine, d’abord au Joli Coucou, un restaurant de campagne situé dans la forêt de Compiègne (au nord de Paris), puis à Paris dans une boutique d’antiquités dans la rue St, Honoré et plus tard au Café Les Satyres. Tout le monde est en émoi parce qu’un homme mystérieux connu sous le nom de Satyr apparaît dans la forêt près du restaurant, vole des baisers à des femmes sans méfiance, puis disparaît. Un après-midi, Lucien Garidel (William Elliott), qui s’apprête à épouser Angele (Alice Dovey), décide d’avoir un dernier rendez-vous avec son amour de longue date, la cocotte Claudine aka the Pink Lady (Hazel Dawn), et ils organisent une rencontre au Joli Coucou. Le suspect Maurice (Craufurd aka Crawford Kent), amoureux d'Angele, l’emmène au restaurant Le Joli Coucou afin qu’elle puisse voir par elle-même que Lucien n’est pas digne de confiance. Mais quand elle confronte Lucien, il présente Claudine comme la femme de son bon ami, le marchand d’antiquités parisien Dondidier (Frank Lalor). Lucien et Claudine se précipitent à Paris pour demander à Dondidier d’accepter le subterfuge. Pendant ce temps, une comtesse accuse à tort Dondidier d’être le Satyre, et bien qu’il soit disculpé, il décide d'accepter d'avoir une réputation coquine parce que sa femme (Alice Hegeman) se plaint toujours qu’il est une pomme de terre « trop froide pour être réchauffée ». Lucien et Angele sont finalement réunis, et Claudine continue son propre chemin.
Création: 13/3/1911 - New Amsterdam Roof (Broadway) - 312 représ.
Musical
Musique: Ivan Caryll • Paroles: Anne Caldwell • James O'Dea • Livret: Anne Caldwell • R.H. Burnside • Production originale: 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Génèse Liste chansons
Genèse: Les artistes Dave Montgomery et Fred Stone ont triomphé dans "Chin-Chin, ou un Aladdin moderne" qui avec 295 représentations, a été le musical ayant la plus longue série de représentations de toute la saison (avant de partir pour un exceptionnel US-Tour de plus de 600 représentations). Ce musical est le premier des deux compositions de la saison d'Ivan Caryll (il précède de deux semaines "Papa’s Darling"). Avant l’ouverture à New York, le parolier James O’Dea est décédé (sa femme Anne Caldwell était co-librettiste et co-parolier). Comme beaucoup de musicals de l’époque, l’intrigue était mince et servait d’excuse pour la comédie, la chanson et la danse. Dans ce cas, le fil rouge très mobile a permis à Montgomery et Stone d'imaginer de nombreuses manigances, permettant à des personnages occasionnels de s'intégrer facilement dans l'intrigue pour y faire leur numéro. Dietz, Dan. The Complete Book of 1910s Broadway Musicals (p. 287). Rowman & Littlefield Publishers. Édition du Kindle.
Résumé: A la création, Douglas Stevenson était Aladdin, et il tombe amoureux de Violet Bond (Helen Falconer) qui avec son père millionnaire Cornelius (R. E. Graham) est en vacances en Chine. Papa est à la recherche de la lampe d’Aladdin parce qu’il veut l’ajouter à sa collection privée!!! Montgomery et Stone sont aussi à sa recherche après être devenus esclaves de la lampe et ne pouvant se libérer de ce sort qu'en la restituant à Aladdin.
Création: 20/10/1914 - Lunt-Fontanne Theatre (Broadway) - 295 représ.