L'un des premiers triomphes de Musset au théâtre

Lorsqu'un jeune dandy manipulateur entreprend de séduire par jeu une jeune femme, cela n'augure rien de très bon ! Mais que se passe-t-il si la demoiselle est déjà amoureuse ?


Doutant des femmes pour avoir si souvent usé de leurs faveurs, le jeune et léger Valentin se refuse au mariage, au grand désespoir de son oncle, le négociant Van Buck, qui, tout en le morigénant, paie ses dettes au jeu. Il menace donc son neveu de le déshériter s'il refuse d'épouser la jeune Cécile de Mantes. Valentin parie alors qu'il réussira à séduire la belle en trois jours - ce qui lui permettrait de refuser qu'une jeune fille aussi facilement conquise puisse devenir sa femme. En 1836, Il ne faut jurer de rien, que Musset fait paraître avec le sous-titre de " proverbe ", est la pièce la plus représentative de sa seconde manière, assagie. C'en est fini des passions brûlantes, des innocentes fatales et des beaux ténébreux, et ce ton nouveau est celui de la drôlerie et de l'humour, même si cette légèreté n'empêche pas qu'on puisse frôler le drame.


CREATEURS
AuteurAlfred de Musset 
Mise en scèneFabrice Gardin 
CostumesFrançoise Van Thienen 
ScénographieLéa Gardin 
LumièreLaurent Comiant 
Coiffure et maquillageMarianne Braconnier 
AVEC
Van BuckMichel Poncelet 
Valentin Van BuckDenis Carpentier 
La baronneCatherine Claeys 
Cécile, sa filleJuliette Manneback  
L'abbéDavid Leclercq 
Le maître de danseRomain Mathelart 
Une production du Théâtre Royale des Galeries - Tournée des Châteaux

Je t'aime, je t'épouse; il n'y a de vrai au monde que de déraisonner d'amour.


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Il ne faut jamais être trop sûr de soi et du lendemain 



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