
" Michel Kacenelenbogen fait palpiter cette histoire simple et belle "
La libre Belgique - Philip Tirard
Ce spectacle est l'un de nos plus beaux coups de cœur. Il s'agit bien sûr de l'un des textes les plus poignants d'Eric-Emmanuel Schmitt mais ce qui nous semble fantastique, c'est que, malgré l'émotion omniprésente, l'on passe son temps à rire. On doit cette alchimie réussie à deux artistes: Michel Kacenelenbogen, le comédien, et Olivier Massart, le metteur en scène.
Mis en scène par Olivier Massart, dans une scénographie dépouillée mais puissamment allusive d'Olivier Waterkeyn - un plateau circulaire agrémenté d'une colonne Morris et d'un banc en forme de croissant de lune -, Michel Kacenelenbogen fait palpiter cette histoire simple et belle avec un don d'enfance qu'on ne lui avait pas encore vu en scène. Capté dès les premières syllabes, le public ne décroche plus pendant cette heure et demie au cours de laquelle Momo entre dans sa vie d'homme et Monsieur Ibrahim arrive au terme de la sienne.
Consulter article completLa Libre Belgique - 12/5/2006 - Philip Tirard
Raconté sur le mode du conte philosophique, avec zeste d'humour et pincée d'esprit, ce solo joliment peuplé par Michel Kacenelenbogen nous emmène d'une petite rue Bleue de Paris aux virevoltants derviches du Croissant d'Or, de la naissance d'une complicité improbable à la consolidation d'une relation espiègle et tendre entre un musulman soufi et un jeune Juif.
Consulter article completLe Soir - 4 avril 2006 - Catherine Makereel
Autant l'adaptation cinématographique avec Omar Sharif m'avait faiblement séduit autant la performance de Michel Kacenelenbogen, mis en scène par Olivier Massart, donne une évidence à ce dialogue intériorisé. Kacenelenbogen joue l'homme, l'enfant et quelques autres personnages, comme s'il se racontait sa propre histoire. Curieuse supériorité du théâtre sur le cinéma, quand une conversation intime dépasse l'image réaliste du film.
RTBF - Christian Jade
Michel Kacenelenbogen triomphe avec Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran. Justesse et émotion.
Le Vif/L’Express - Michèle Friche