CREATEURS | |
Auteur | Samuel Benchetrit |
Mise en scène | Monique Dolby |
Réalisation | Mathieu Robertz |
AVEC | |
Emmanuel Angeli | |
Catherine Bartholomé | |
Philippe Garcia | |
Une production de la Cie La Didascalie |
Monique Dobly a réalisé une mise en scène très vivante qui donne le ton vrai de la pièce, et qui s’est attribué le rôle de l’hôtesse de cette gare abandonnée quelque part. Elle s’est chargée également de la scénographie qu’elle a voulue toute simple, seul un banc en scène. Et cela suffit!
L’intelligence et le charme de ce Théâtre, c’est de faire croire et d’imaginer ces rencontres plus qu’improbables. C’est incontestablement le Théâtre d’un écrivain qui maîtrise avec une précoce assurance les procédés techniques de l’écriture scénique.
Roger Simons - Les Feux de la Rampe
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Ce mot magique, qui intrigue les non-initiés, je m'étais jurée qu'un jour, j'en ferais bon usage… et ce jour est arrivé!! La musicalité du mot, sa difficulté de prononciation et d'orthographe, tout cela m'a séduite depuis belle lurette et voilà que l'occasion s'offre à moi de faire partager mon enthousiasme …
C'est donc tout naturellement que ce nom s'est imposé à moi lorsque j'ai décidé de créer ma troupe théâtrale !
Monique Dobly débute très jeune sur les planches, à l’âge de 10 ans, comme « petit rat » au Théâtre de la Monnaie ! Elle abandonne, à regrets, ce dur apprentissage de danseuse classique au bénéfice de ses études…mais le virus des planches l’a atteinte définitivement et elle prend des cours de diction pour aborder le « théâtre parlé »…à l’école d’abord, dans des troupes de théâtre amateur ensuite.
Elle débute au LIERRE de Forest et rejoint ensuite LA JOIE où elle reste pendant 15 ans ; elle se frotte à l’assistanat de metteurs en scène professionnels, déjà hantée par la mise en scène.
• en octobre 2004 : « C'était comment déjà » de Jean Bouchaud.
• en avril 2005 : « La Salle de Bain » d'Astrid Veillon
• en octobre 2005 : « Agnès Belladone » de Jean-Paul Alègre.
Si les médias aiment l'inviter pour son image d'artiste ténébreux, Samuel Benchetrit construit sur divers supports un travail singulier, proche de la littérature « beat », du cinéma indépendant américain voire de la photographie.
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