Oklahoma! n'est pas un musical comme un autre. Il est par beaucoup considéré comme le premier vrai musical de tous les temps…
Version 18
Oklahoma! (2019-04-Circle in the Square Theatre-Broadway)
Type de série: RevivalThéâtre: Circle in the Square Theatre (Broadway - Etats-Unis) Durée : 9 mois 2 semaines Nombre : 22 previews - 328 représentationsPremière Preview : mardi 19 mars 2019Première : dimanche 07 avril 2019Dernière : dimanche 19 janvier 2020Mise en scène : Daniel Fish • Chorégraphie : John Heginbotham • Producteur : Avec : Damon Daunno (Curly McLain), Mary Testa (Aunt Eller), Rebecca Naomi Jones (Laurey Williams), James Davis (Will Parker), Anthony Cason (Cord Elam), Patrick Vaill (Jud Fry), Ali Stroker (Ado Annie), Will Brill (Ali Hakim), Mallory Portnoy (Gertie Cummings), Mitch Tebo (Andrew Carnes), Will Mann (Mike), Gabrielle Hamilton (Lead Dancer)Commentaires : Une vision radicalement modernisée du lusicalPresse : Il n’y a presque pas eu de juste milieu en ce qui concerne les critiques de ce revival. Certains l’ont trouvé prétentieux et d’autres se sont presque évanouis de joie.
Judith Miller dans le City Journal a offert une analyse réfléchie de cette production. De toute évidence, le metteur en scène voulait souligner une certaine noirceur inhérente au classique de Rodgers et Hammerstein, mais au lieu de cela, il a transformé la «célébration de l’esprit américain» du musical en une «condamnation sanglante» de cet esprit. Le revival s’est penché sur «la politique sexuelle, la discrimination de classe et un système de justice corrompu», et le metteur en scène a concentré sa «colère» sur la «culture des armes à feu» aux Etats-Unis en exhibant des racks de fusils accrochés aux murs en contreplaqué du plateau. Cette «critique» des armes à feu a conduit à une «réécriture» qui a modifié la scène de confrontation entre Curly (Damon Daunno) et Jud (Patrick Vaill). Jud tend un pistolet à Curly, Curly tire à bout portant sur lui, et du sang éclabousse sur les visages et les tenues de mariage de Curly et Laurey (Rebecca Naomi Jones). Cet «artifice» avait peut-être «un but ouvertement politique» mais, selon Judith Miller, il était dramatiquement peu convaincant. (Johnny Oleksinski dans le New York Post a trouvé la scène «stupide», et Frank Scheck dans le Hollywood Reporter a dit qu’elle était «ridiculement dépassée».)
De plus, le révolutionnaire Dream Ballet d’Agnes de Mille «Laurey Makes Up Her Mind» (qui clôturait à l’origine le premier acte et ouvre ici le second) esy ici transformé en une danse solo «interminable» de Gabrielle Hamilton, qui arbore un crâne rasé et porte un t-shirt à paillettes arborant les mots «Dream Baby Dream». Judith Miller a rapporté que Gabriele Hamilton «saute, fonce et rebondit sans but» tandis que ses bottes de cow-boy tombent «avec un bruit sourd» La critique a noté avec ironie que la séquence appartenait «à un autre musical – Rent, par exemple». Rex Reed dans l’Observer décida que Hamilton «imitait un cheval»; Oleksinski a déclaré que tout cela était «un exercice de gymnastique trop long»; Marilyn Stasio dans Variety a déclaré que la danse «se prolongeait ad nauseam»; et Scheck a déclaré que «le pire de tout» était que cette «horrible» danse qui a duré «apparemment une éternité», est apparue «comme un rejet de Twyla Tharp» et a été accompagnée d’une «version stridente de style punk rock» de la musique de Rodgers.
Oleksinski a également noté que pendant pratiquement toute la représentation, la salle du théâtre était très éclairée et que les scènes ne semblaient pas «différentes les unes des autres». Cependant, deux scènes ont été jouées dans l’obscurité. L’une était celle entre Curly et Jud, et selon Rooney (qui a trouvé le revival «audacieux» et une vraie «révélation»), les deux hommes sont ensemble dans une «intimité homo-érotique» tandis qu’une caméra vidéo les enregistre et projette leurs images sur un écran noir et blanc (Scheck a commenté que les projections vidéo des deux hommes étaient «en si gros plan qu’Ingmar Bergman serait gêné»). Une deuxième scène de black-out entre Laurey et Jud a conduit certains à déduire que les deux avaient des relations sexuelles. Stasio (qui a trouvé le revival «ambitieux» et «gagnant») a déclaré que la mise en scène des deux scènes dans l’obscurité était «un coup inventif gagnant du metteur en scène», et Greg Evans dans Deadline Hollywood a déclaré que ce revival était «stupéfiant» et «explosif» et qu’il était une «réimagination étonnante» d’Oklahoma!, et parce que les lumières de la salle étaient généralement allumées, le public était «complice» de l’action.
Reed a noté que des «misérables imbéciles» étaient «déterminés à détruire» les classiques du théâtre musical en essayant de les rendre «pertinents, à la mode et politiquement corrects», et la Rodgers et Hammerstein Orhanisation «devrait avoir honte d’avoir donné la permission de produire cette parodie gadget» parce qu’Oklahoma! était maintenant «dévalorisé et vulgarisé» par cette production «imbécile» et «peu judicieuse».
Scheck a déclaré que le revival ressemblait plus à «une thèse de doctorat qu’à un spectacle théâtral», et bien qu’il n’y ait rien de mal à souligner les aspects les plus sombres de l’intrigue, la production l’a fait de «manière pénible». Les interprètes marmonnent souvent leurs dialogues au «point d’être inintelligibles», le rythme est «mortellement lent», et quand le metteur en scène s’impose à l'œuvre, vous voudriez pouvoir «courir en hurlant vers les sorties».
Oleksinski a déclaré que le «prétentieux» revival était un «sac à brol avec une thèorie sur le contrôle des armes à feu et l’expansion vers l’ouest», sans oublier une critique d’une «culture de la violence et de la masculinité toxique » (Rooney, en passant, a déclaré que Curly faisait une «prestation masculine agressive»). Oleksinski a décidé que le message de la soirée était de «passer un mauvais moment», et que tout le spectacle était une «corvée presque sans joie» qui vous a donné envie de mettre ce revival «au rebut».
Miller a déclaré que Rebecca Naomi Jones (Laurey) manquait d’une «forte» voix chantée, Chris Jones dans le New York Daily News a mentionné qu’elle avait joué son rôle comme si elle était «malheureuse» tout au long de la soirée, et Charles Isherwood dans Broadway News a déclaré qu’elle «reste en surface de son personnage». Mais Rooney a dit qu’elle chantait «avec un sentiment formidable» et Scheck a noté qu’elle chantait «magnifiquement» et agissait «avec émotion». Isherwood rapporta que le rapport entre Rebecca Naomi Jones (Laurey) et Damon Daunno (Curly McLain) était très faible; Miller a déclaré que Patrick Vaill (Jud Fry) ressemblait à un «paumé de Haight-Ashbury vers 1968» et que Reed estimait que Jud appartenait maintenant à un «gang de motards». Pour Miller, «Ali Stroker (Ado Annie) en fauteuil roulant n’était ni «drôle» ni «subtile», et Reed a déclaré que le «soulagement comique» du personnage trouvé dans d’autres productions était ici «malheureusement manquant». Reed a également commenté que la tante Eller de Mary Testa était la «exempte de tout charme» qu’il ait jamais vue (mais Evans aimait son attitude de «bikeuse»).
Jones a déclaré que le revival était «scandaleusement brillant» mais était aussi «une dissection profondément déprimante» des «idéaux» américains, et qu’il était «profondément attristé» du «désaveu du pouvoir de l’amour» dans cette production (il semble que le mariage de Curly et Laurey ne «sauvera pas l’Amérique de ses péchés») et de la «dégradation cynique de l’optimisme américain».
La production mettait l’accent sur la nourriture comme métaphore, et Isherwood a noté que des «épis phalliques» de maïs étaient écaillés pendant la soirée, et à l’entracte, le public était invité sur scène à manger du pain au chili et du maïs (Scheck a dit que le chili aurait été une « bonne idée» s'il n’avait pas été «si fade et insipide»). Quant à la scène sociale des paniers de pique-nique (où les hommes enchérissent pour les paniers de pique-nique des femmes, dont les recettes vont à des œuvres de bienfaisance), certains membres du public désemparés y ont vu un examen de la masculinité toxique dans lequel l’enchérisseur masculin gagnant «possède» ainsi la femme, qui devient en fait son «esclave».
Ben Brantley dans le New York Times a trouvé que cet «étonnant» revival était à la fois «secouant et tout à fait merveilleux». Le Will Parker incarné par James Davis était «délicieusement stupide», Ali Stroker (Ado Annie) se déplaçait en fauteuil roulant comme un «cheval de rodéo primé», le Ali Hakim de Will Brill était «rafraîchissant», Mary Testa (Aunt Eller) était «splendide» et toutes les représentations étaient «du niveau de Broadway» avec en plus une «exubérance contagieuse». Pour Brantley, la fin controversée était «troublante» pour toutes les «bonnes» raisons, le Dream Ballet était «varié et rythmé» et Gabrielle Hamilton (Lead Dancer) n’était rien de moins qu’un «identité non diluée» qui était «stimulante et effrayante». Pour Brantley, le revival n’était pas «un acte de saccage», mais un acte de «remise en état». Mais il est clair que d’autres ont estimé que la production était un acte de profanation.
Recueillir des avis à ce point diversifiés est souvent bon signe…
Dans une petite bourgade de l’Etat d’Oklahoma nouvellement créé, entourée d’une immensité de champs de maïs, un drame passionnel va perturber la vie bien tranquille de gens bien sympathiques. La jolie Laurey, dans un moment d’égarement, s’est promise à Jud, le méchant du village qui collectionne, accrochées sur son mur, les photos de danseuses de cancan ! Curly, le beau cow-boy un peu bohême, est amoureux d’elle, mais elle est une jeune fille convenable et refuse de lui céder. Aussi, Curly, se tourne vers l’idiote du village tandis que Jud s’avère être de plus en plus violent. Bien qu’elle aime vraiment Curly, la têtue Laurey, le contrarie en allant au bal avec Jud. Là, Curly prouve son amour en offrant tout ce qu’il possède pour acheter le panier-repas de Laurey, tradition de ce bal de charité. Ils se marient, et après la cérémonie, Jud se bat avec Curly et est tué par son propre couteau. Après l’acquittement de Curly, les jeunes mariés partent célébrer leur lune de miel.
Une quinzaine d'années sépare la première tentative d'opérette à l'américaine (Show Boat en 1927, de Jerome Kern et - déjà - Oscar Hammerstein II), de la suivante, Oklahoma ! en 1943. Si la forme de la première restait trop proche des opérettes européennes du début du siècle, la seconde arborait une modernité dans la forme et dans le fond qui révolutionna le monde du théâtre musical. Le talent principal des auteurs fut de mettre au point un subtil cocktail d'opérette, de comédie musicale, de ballet et de théâtre pour inventer une véritable forme d'opérette américaine, créant un genre parallèle au musical traditionnel de Broadway dans lequel s'engouffrèrent nombre d'auteurs au cours des décennies suivantes.
1 Oklahoma! peut-être considéré comme un Top musical
2 Oklahoma! peut-être considéré comme un musical fondateur, c'est-à-dire ayant marqué l'histoire des musicals. Le premier vrai musical
By the early 1940s, Rodgers and Hammerstein were each well known for creating Broadway hits with other collaborators. Rodgers, with Lorenz Hart, had produced over two dozen musicals since the 1920s, including such popular successes as Babes in Arms (1937), The Boys from Syracuse (1938) and Pal Joey (1940). Among other successes, Hammerstein had written the words for Rose-Marie (1924), The Desert Song (1926), The New Moon (1927) and Show Boat (1927). Though less productive in the 1930s, he wrote musicals, songs and films, sharing an Academy Award for his song with Jerome Kern, "The Last Time I Saw Paris", which was included in the 1941 film Lady Be Good. By the early 1940s, Hart had sunk into alcoholism and emotional turmoil, and he became unreliable, prompting Rodgers to approach Hammerstein to ask if he would consider working with him.
In 1931, the Theatre Guild produced Lynn Riggs's Green Grow the Lilacs, a play about settlers in Oklahoma's Indian Territory. Though the play was not successful, ten years later in 1941, Theresa Helburn, one of the Guild's producers, saw a summer-stock production supplemented with traditional folk songs and square dances and decided the play could be the basis of a musical that might revive the struggling Guild. She contacted Richard Rodgers and Lorenz Hart, whose first successful collaboration, The Garrick Gaieties, had been produced by the Theatre Guild in 1925. Rodgers wanted to work on the project and obtained the rights for himself and Hart. Rodgers had asked Oscar Hammerstein II to collaborate with him and Hart. During the tryouts of Rodgers and Hart's Best Foot Forward in 1941, Hammerstein had assured Rodgers that if Hart was ever unable to work, he would be willing to take his place. Coincidentally in 1942, Hammerstein had thought of musicalizing Green Grow the Lilacs, but when he had approached Jerome Kern about it, the latter declined. Hammerstein found out that Rodgers was seeking someone to write the book, and he eagerly took the opportunity. Hart lost interest in the musical; he preferred contemporary, urbane shows that would showcase his witty lyric-writing, and he found the farmers and cowhands in Green Grow the Lilacs corny and uninspiring. Moreover, spiraling downward, consumed by his longstanding alcoholism, Hart no longer felt like writing. He embarked on a vacation to Mexico, advising Rodgers that Hammerstein would be a good choice of a new collaborator.
This partnership allowed both Rodgers and Hammerstein to follow their preferred writing methods: Hammerstein preferred to write a complete lyric before it was set to music, and Rodgers preferred to set completed lyrics to music. In Rodgers's previous collaborations with Hart, Rodgers had always written the music first, since the unfocused Hart needed something on which to base his lyrics. Hammerstein's previous collaborators included composers Rudolf Friml, Herbert Stothart, Vincent Youmans, and Kern, who all wrote music first, for which Hammerstein then wrote lyrics. The role reversal in the Rodgers and Hammerstein partnership permitted Hammerstein to craft the lyrics into a fundamental part of the story so that the songs could amplify and intensify the story instead of diverting it. As Rodgers and Hammerstein began developing the new musical, they agreed that their musical and dramatic choices would be dictated by the source material, Green Grow the Lilacs, not by musical comedy conventions. Musicals of that era featured big production numbers, novelty acts, and show-stopping specialty dances; the libretti typically focused on humor, with little dramatic development, punctuated with songs that effectively halted the story for their duration.
Between the world wars, roles in musicals were usually filled by actors who could sing, but Rodgers and Hammerstein chose the reverse, casting singers who could act. Though Theresa Helburn, codirector of the Theatre Guild, suggested Shirley Temple as Laurey and Groucho Marx as Ali Hakim, Rodgers and Hammerstein, with director Rouben Mammoulian's support, insisted that performers more dramatically appropriate for the roles be cast. As a result of this decision, there were no stars in the production, another unusual step. The production was choreographed by Agnes de Mille (her first time choreographing a musical on Broadway), who provided one of the show's most notable and enduring features: a 15-minute first-act ballet finale (often referred to as the dream ballet) depicting Laurey's struggle to evaluate her suitors, Jud and Curly.
The first title given to the work was Away We Go! which opened for out-of-town-tryouts in New Haven's Shubert Theatre on March 11, 1943. Expectations for the show were low; Hammerstein had written six flops in a row, and the show had no star power. Producer Mike Todd walked out after the first act during the tryout and wisecracked “No legs, no jokes, no chance.” But Rodgers and Hammerstein were confident. The New Haven audiences and then Boston critics were enthusiastic. Only a few changes were made before it opened on Broadway, but two would prove significant: the addition of the show-stopping musical number, Oklahoma! and the decision to retitle the musical after that number.
Todd had been wrong, the show opened to raves from the critics, sold out and won a special Pulitzer Prize. Brooks Atkinson wrote in The New York Times that the show's opening number, "Oh, What a Beautiful Morning" changed the history of musical theater: “After a verse like that, sung to a buoyant melody, the banalities of the old musical stage became intolerable." The New York Post was the only major paper to give Oklahoma! a mixed review. Its critic felt that while the songs were pleasant enough, they sounded much alike. The show's creativity stimulated Rodgers and Hammerstein's contemporaries and ushered in the "Golden Age" of American musical theatre.
Original Broadway
The original Broadway production opened on March 31, 1943 at the St. James Theatre in New York City. It was directed by Rouben Mamoulian and choreographed by Agnes de Mille. It starred Alfred Drake (Curly), Joan Roberts (Laurey), Celeste Holm (Ado Annie), Howard Da Silva (Jud Fry), Betty Garde (Aunt Eller), Lee Dixon (Will Parker), Joseph Bulloff (Ali Hakim), Jane Lawrence (Gertie) and Barry Kelley (Ike). Marc Platt danced the role of "Dream Curly", Katharine Sergava danced the part of "Dream Laurey" and the small dancing part of Aggie was played by Bambi Linn. George Church danced the part of "Dream Jud" but was replaced by Vladimir Kostenko only two months after the premiere.
The production ran for 2,212 performances, finally closing on May 29, 1948. "The demand for tickets was unprecedented as the show became more popular in the months that followed" the opening. Oklahoma! ran for over five years, a Broadway record that "would not be bested until My Fair Lady (1956)." A year and a half after the Broadway opening, the "first of several" national tours began in New Haven, Connecticut. "Productions of 'Oklahoma!' would remain on the road in the United States and Canada" through 1954. A 1953 article in The New York Times reported that the show "not only holds the record for the longest run of a musical on Broadway but is believed to be the only musical to have enjoyed a consecutive run of ten years. It ran on Broadway for five years and two months, grossing $7,000,000. The tour of the national company, which started late in 1943, has grossed $15,000,000." The Tony Awards and other awards now given for achievement in musical theatre were not in existence in 1943, and therefore the original production of Oklahoma! received no theatrical awards.
The United Service Organizations sponsored a tour to U.S. military bases in 1945 that lasted for many years. The New York Times reported: "The tenth anniversary of the Broadway opening of Oklahoma! will be celebrated in Washington, where the Theatre Guild's touring company of the phenomenal musical will be playing at that time. ... According to a Guild estimate, 'upwards of 20,000,000 people thus far have seen the show in the United States, England, Sweden, Denmark, South Africa, Australia and through a special company that toured the U.S.O. Camp Shows circuit during the war'."
Original West End
Oklahoma! was the first of a post-war wave of Broadway musicals to reach London's West End. It starred Howard Keel (then known as Harold Keel) and Betty Jane Watson, opening at the Theatre Royal, Drury Lane on April 30, 1947 to rave press reviews and sellout houses, running for 1,543 performances. A pre-London run opened a day late at the Manchester Opera House on April 18, 1947, after the ship carrying the cast, scenery, and costumes ran aground on a sandbank off Southampton.
1951 Broadway revival
A 1951 revival produced by the Theatre Guild opened at The Broadway Theatre on May 9, 1951, and ran for 100 performances. Ridge Bond played Curly, Patricia Northrop played Laurey, Henry Clarke was Jud, and Jacqueline Sundt played Ado Annie. Mamoulian and de Mille returned to direct and choreograph, and the production was restaged by Jerome Whyte.[24] In 1953, a 10th anniversary revival opened on August 31 at the New York City Center Theatre. It ran for a limited engagement of 40 performances before going on tour. The cast included Florence Henderson as Laurey, Ridge Bond as Curly and Barbara Cook as Annie. Mamoulian and De Mille directed and choreographed.
1979 Broadway revival
A 1979 revival opened at the Palace Theatre on Broadway on December 13, 1979 and closed on August 24, 1980, running for 293 performances and nine previews. William Hammerstein (Oscar's son) directed, and Gemze de Lappe recreated Agnes De Mille's choreography. The show starred Christine Andreas as Laurey, Laurence Guittard as Curly, Mary Wickes as Aunt Eller, Christine Ebersole as Ado Annie, Martin Vidnovic as Jud Fry, Harry Groener as Will Parker and Bruce Adler as Ali Hakim.[27] Andreas and Groener both received Tony Award nominations for their performances, and Vidnovic won a Drama Desk Award. This production started as a cross-country national tour, beginning at the Pantages Theater in Los Angeles on May 1, 1979.
1980 West End revival
The following year, William Hammerstein revived his 1979 Broadway staging in England with a new production at the Haymarket Theatre, Leicester, in 1980. A UK tour followed, produced by Emile Littler and Cameron Mackintosh. It eventually settled in the West End, opening at the Palace Theatre, London, on September 17, 1980, and running until September 19, 1981. This production starred John Diedrich as Curly and Alfred Molina as Jud Fry. John Owen Edwards acted as Musical Director/Supervisor for this production. He would later reprise his work for Mackintosh's 1998 London revival. A cast recording of this production was issued by JAY Records and on the Showtime! label. Both Diedrich and Molina received Olivier Award nominations.
1998 West End revival
A new production of the musical was presented by the National Theatre in London at the Olivier Theatre, opening on July 15, 1998. The production team included Trevor Nunn (director), Susan Stroman (choreographer), John Owen Edwards (musical director) and William David Brohn (orchestrator). This production received numerous Olivier Award nominations, with Hensley winning the award for Best Supporting Actor in a Musical. According to the Rodgers & Hammerstein Organization, the limited engagement was a sell-out and broke all previous box office records, and so the show was transferred to the Lyceum Theatre in the West End for a six-month run. Plans to transfer to Broadway with the London cast were thwarted by Actors' Equity, which insisted that American actors must be cast. Eventually a U.S. cast was selected.
Music supervisor John Owen Edwards, orchestrator William David Brohn and dance arranger David Krane adapted Robert Russell Bennett's original orchestrations and extended some of the dance sequences. A brand new Dream Ballet was composed for Susan Stroman's new choreography and the dances to "Kansas City", "Many a New Day" and "The Farmer and the Cowman" were all radically redesigned. The overture to the show was also altered, at the request of director Trevor Nunn. The international cast included Hugh Jackman as Curly, Maureen Lipman as Aunt Eller, Josefina Gabrielle as Laurey, Shuler Hensley as Jud Fry, Vicki Simon as Ado Annie, Peter Polycarpou as Ali Hakim and Jimmy Johnston as Will Parker. This production was filmed and issued on DVD, as well as being broadcast on U.S. Public Television in November 2003.
2002 Broadway revival
The London production was repeated on Broadway at the George Gershwin Theatre on March 21, 2002, with direction by Nunn. The production closed on February 23, 2003 after 388 performances. Only two of the London cast, Josefina Gabrielle as Laurey and Shuler Hensley as Jud, were in the production, which also featured Patrick Wilson as Curly and Andrea Martin as Aunt Eller. It was nominated for seven Tony Awards, including Best Revival of a Musical, Best Featured Actress in a Musical and Best Featured Actor in a Musical (which was awarded to Hensley). The musical was also nominated for nine Drama Desk Awards, with Hensley winning as Outstanding Featured Actor in a Musical and Susan Stroman winning for choreography.
Ben Brantley wrote in The New York Times: "At its best, which is usually when it's dancing, this resurrection of Rodgers and Hammerstein's epochal show is dewy with an adolescent lustiness, both carnal and naive, exuberant and confused." The review stated that "Anthony Ward's harmoniously curved set, in which the sky seems to stretch into eternity, again pulses with the promise of a land on the verge of transformation." The New York Daily News review commented that "Visually, this one is stunning – at times, Anthony Ward's sets have a pastoral, idyllic quality, like Thomas Hart Benton's paintings. At other times, especially in lighting designer David Hersey's lustrous palette, they convey the bleakness of the frontier." The review also stated that the Royal National Theatre "brought it back to us in a way that makes it seem fresh and vital." However, USA Today gave the production a tepid assessment, its reviewer writing that "A cold breeze blows through this beautiful mornin', and that golden haze is never quite bright enough." The production went on to tour nationally from 2003–2006.
Act I
Overture – Orchestra
"Oh What a Beautiful Mornin'" – Curly
Laurey's Entrance – Laurey & Curly
"The Surrey with the Fringe on Top" – Curly, Laurey, & Aunt Eller
"Kansas City" – Will Parker, Aunt Eller, Male Ensemble
"I Cain't Say No" – Ado Annie
Entrance of Ensemble ("I Cain't Say No" and "Oh What a Beautiful Mornin'") – Will, Ado Annie, Curly, Aunt Eller & Ensemble
"Many a New Day" – Laurey and Female Ensemble
"It's a Scandal! It's a Outrage!" – Ali Hakim & Ensemble
"People Will Say We're in Love" – Curly & Laurey
"Pore Jud Is Daid" – Curly & Jud
"Lonely Room" – Jud
"Out of My Dreams"/"Dream Ballet" – Laurey & Dream Figures
Act II
Entr'acte – Orchestra
"The Farmer and the Cowman" – Andrew Carnes, Aunt Eller, Curly, Gertie Cummings, Will, Ado Annie, Laurey, Ike Skidmore, Cord Elam & Ensemble
"All Er Nuthin'" – Will & Ado Annie
"People Will Say We're in Love" (Reprise) – Curly & Laurey
"Oklahoma!" – Curly, Laurey, Aunt Eller, Ike Skidmore, Cord Elam, Fred, Andrew Carnes & Ensemble
Finale Ultimo ("Oh What a Beautiful Mornin'" and "People Will Say We're in Love") – Company
Aucun dossier informatif complémentaire concernant Oklahoma!
Version 1
Oklahoma! (1943-03-St James Theatre-Broadway)
Type de série: OriginalThéâtre: St. James Theatre (Broadway - Etats-Unis)
Durée : 5 ans 2 mois Nombre : 2212 représentationsPremière Preview : mercredi 31 mars 1943Première : mercredi 31 mars 1943Dernière : samedi 29 mai 1948Mise en scène : Rouben Mamoulian • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Betty Garde (Aunt Eller), Alfred Drake (Curly), Joan Roberts (Laurey), Barry Kelley (Ike Skidmore), Edwin Clay (Fred), Herbert Rissman (Slim), Lee Dixon (Will Parker), Howard da Silva (Jud Fry), Celeste Holm (Ado Annie Carnes), Joseph Buloff (Ali Hakim), Jane Lawrence (Gertie Cummings), Katharine Sergava (Ellen), Ellen Love (Kaye), Joan McCracken (Sylvie), Kate Friedlich (Armina), Bambi Linn (Aggie), Ralph Riggs (Andrew Carnes), Owen Martin (Cord Elam), George Church (Jess), Marc Platt (Chalmers), Paul Shiers (Mike), George (S.) Irving (Joe), Hayes Gordon (Sam); Singers: Elsie Arnold, Harvey Brown, Suzanne Lloyd, Ellen Love, Dorothea MacFarland, Virginia Oswald, Faye Smith, Vivienne Simon, John Baum, Edwin Clay, Hayes Gordon, George Irving, Arthur Ulisse, Herbert Rissman, Paul Shiers, Robert Penn; Dancers: Diana Adams, Mar- git DeKova, Bobby Barrentine, Nona Fied, Rhoda Hoffman, Maria Harriton, Kate Friedlich, Bambi Linn, Joan McCracken, Vivian Smith, Billie Zay, Rosemary Schaeffer, Kenneth Buffet, Jack Dunphy, Gary Fleming, Eddie Howland, Ray Harrison, Erik Kristen, Kenneth LeRoyCommentaires : Il est probable que même Richard Rodgers et Oscar Hammerstein II ont été surpris par l’accueil enthousiaste réservé à l’Oklahoma!. Hammerstein était dans une creux de sa carrière avec une série de musicals ratés (Gentlemen Unafraid [1938], Very Warm for May [1939] et Sunny River) et Rodgers composait de la musique pour la première fois sans son collaborateur de longue date, le parolier Lorenz Hart. Et au lieu d’un musical chic en temps de guerre traitant de sujets d’actualité tels que le rationnement, les priorités et les numéros de carnaval sud-américains, ils ont sorti une tranche d’Americana basée sur une pièce presque oubliée du début des années ‘30. De plus, le musical n’avait aucune star dans sa distribution: il n’y avait pas de Merman, de Jolson ou de Cantor, et à la place le musical proposait des interprètes relativement inconnus tels que Alfred Drake, Joan Roberts et Celeste Holm. Et l’intrigue? Légère, réduite à l’essentiel: le premier acte traitait du dilemme de l’héroïne de choisir un garçon pour l’accompagner à un pique-nique. Et le deuxième acte a eu la témérité de tuer l’un des personnages majeurs et, en plus, le tueur est le héros du musical. Mais tous ces éléments se sont unifiés pour le plus grand plaisir du public et Oklahoma! est non seulement devenu le musical ayant la plus longue série de la saison, mais aussi la plus longue de la décennie; et quand Oklahoma! a fermé en 1948, il a était devenu le musical ayant la plus longue série de l’histoire du théâtre américain, un titre qu’il a conservé jusqu’à ce que My Fair Lady (1956) le dépasse en 1961.
Version 2
Oklahoma! (1943-10-National Tour-US)
Type de série: US TourThéâtre: US Tour ( - Etats-Unis) Durée : 10 ans 6 mois 3 semaines Nombre : Première Preview : vendredi 15 octobre 1943Première : vendredi 15 octobre 1943Dernière : samedi 01 mai 1954Mise en scène : Rouben Mamoulian • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : 5 troupes se sont succédées en dix ans!Commentaires : Ce National Tour est parfois répertoriée comme plusieurs tournées différentes car, sur les dix ans de sa longévité, elle a pris plusieurs pauses de deux à trois mois, avant de repartir. Le ‘Rodgers and Hammerstein Fact Book’ la considère comme un seul et unique Tour.
En 1951 et en 1953, le National Tour repasse à New York. Nous énumérons ces engagements séparément.
Version 3
Oklahoma! (1947-04-Drury Lane Theatre-London)
Type de série: Original LondonThéâtre: Drury Lane Theatre (Londres - Angleterre) Durée : 3 ans 5 mois 3 semaines Nombre : 1544 représentationsPremière Preview : mercredi 30 avril 1947Première : mercredi 30 avril 1947Dernière : samedi 21 octobre 1950Mise en scène : Rouben Mamoulian • Jerome Whyte • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Mary Marlo (Aunt Eller), Harold Keel (Curly), Betty Jane Watson (Laurey), Walter Donahue (Will Parker), Dorothea MacFarland (Ado Annie), Henry Clarke (Jud Fry), Marek Windheim (Ali Hakim)Commentaires : Drury Lane: 30/4/1947 > 27/5/1950
Stoll Theatre: 29/5/1950 > 21/10/1950
La Try-Out à Manchester a commencé un jour plus tard que prévu lorsque le navire qui transportait la troupe, les décors et les costumes s’est échoué sur un banc de sable au large de Southampton.
La production londonienne était une recréation exacte du spectacle de Broadway.
Version 4
Oklahoma! (1951-05-Broadway Theatre-Broadway)
Type de série: Return EngagementThéâtre: Broadway Theatre (Broadway - Etats-Unis) Durée : 2 mois Nombre : 72 représentationsPremière Preview : InconnuPremière : mardi 29 mai 1951Dernière : samedi 28 juillet 1951Mise en scène : Rouben Mamoulian • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Mary Marlo (Aunt Eller), Ridge Bond (Curly), Patricia Northrop (Laurey), Owen Martin (Cord Elam), Warren Schmoll (Fred), Walter Donahue (Will Parker), Robert Early (Jess), Henry Clarke (Jud Fry), Jacqueline Sundt (Ado Annie Carnes), Jerry Mann (Ali Hakim), Patricia Johnson (Gertie Cummings), Judy Rawlings (Kate), Jeanne Parsons (Armina), Patricia Barker (“Child in Pig Tails”), Audree Wilson (“Girl Who Falls Down”), Dave Mallen (Andrew Carnes), Claire Pasch (Laurey [in ballet]), Philip Cook (Curly [in ballet]), Valentin Froman (Jud Fry [in ballet]), John Addis (Slim), Charles Scott (Mike); Dancers: Edmund Casper, Glenn Forbes, Joseph Ribeau, George Stecher, Edmund Howland, Peyton Townes, Betty Gour, Carmen Froman, Nancy Milton, Marquita Living, Jeanne Parsons, Audree Wilson, Josephine Andrews, Jean Bledsoe, Muriel Ives, Patricia Brooks; Singers: Charles Scott, Warren Schmoll, Robert Early, James Fox, Donald Swenson, John Addis, George Cayley, Beth Johnson, Dolores Kempner, Enid Little, Virginia Walker, Judy Rawlings, Eileen Coffman, Sara Jane WilsonCommentaires : Il s’agit d’un ‘return engagement’ limité d’Oklahoma! à Broadway par la troupe de l’époque du National Tour, la quatrième (il y aura au total cinq troupes : la première a commencé le National Tour le 15 octobre 1943 et la dernière représentation de la cinquième compagnie aura lieu le 1er mai 1954). Cette quatrième tournée a commencé le 4 septembre 1950 et jouera dans 92 villes jusqu’au 15 mars 1952. L’arrêt à New York a été suivi de brèves vacances pour les acteurs avant la reprise de la tournée.
Version 5
Oklahoma! (1953-08-City Center-New York)
Type de série: RevivalThéâtre: New-York City Center (New-York - Etats-Unis) Durée : 1 mois Nombre : 40 représentationsPremière Preview : lundi 31 août 1953Première : lundi 31 août 1953Dernière : samedi 03 octobre 1953Mise en scène : Rouben Mamoulian • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Mary Marlo (Aunt Eller), Ridge Bond (Curly), Florence Henderson (Laurey), Charles Hart (Cord Elam), Charles Scott (Fred), Charles Rule (Slim), Harris Hawkins (Will Parker), Alfred Cibelli Jr. (Jud Fry), Barbara Cook (Ado Annie Carnes), David Le Grant (Ali Hakim), Judy Rawlings (Gertie Cummings), Maggie Nelson (Ellen), Barbara Reisman (Kate), Patti Parsons (Silvie), Lynne Broadbent (Armina), Cathy Conklin (Aggie), Owen Martin (Andrew Carnes), George Lawrence (Chalmers), Bob Lord (Mike); Dancers: Lynne Broadbent, Bette Burton, Cathy Conklin, Betty Koerber, Gayle Parmelee, Patti Parsons, Cynthia Price, Georganne Shaw, Louellen Sibley, Marguerite Stewart, Payne Converse, Nick Dana, Jack Ketcham, Ronnie Landry, John Pero Jr., Tom Pickler, Joe Ribeau; Singers: Lenore Arnold, Lois Barrodin, Marylin Hardy, Frances Irby, Heidi Palmer, Barbara Reisman, Jeanne Shea, William Ambler, Dino Dante, James Fox, Christopher Golden, Bob Lord, Charles Rule, Charles ScottCommentaires : La version originale d’Oklahoma! s’est jouée à Broadway de 1943 à 1948. Le musical a connu, en 1951, un ‘Return Engagement’ à Broadway lorsque la compagnie du National Tour s’est arrêtée au Broadway Theatre pour un engagement limité avec Ridge Bond (Curly) et Mary Marlo (Aunt Eller). Les deux ont repris leurs rôles pour la deuxième reprise à Broadway, qui a été produite par le New York City Center of Music and Drama, et les ont rejoints par Florence Henderson (Laurey) et Barbara Cook (Ado Annie).
Le revival a ouvert pendant ce que le maire de New York, Vincent R. Impellitteri, a proclamé être «la semaine Rodgers et Hammerstein». Pas moins de quatre musicals du duo se jouaient à l’époque: outre cet Oklahoma! du City Center, les productions originales de South Pacific, The King and I et de Me and Juliet étaient toujours à l’affiche.Presse : Même si le musical avait été joué vue à New York deux ans plus tôt, les critiques étaient généralement heureux de revoir cette «vieille connaissance». Mais Brooks Atkinson dans le New York Times a estimé que le revival manquait de «crépitement et d’assurance» et ne rendait pas «pleinement justice» à l’œuvre. Il a également noté que le Dream ballet était dansé de manière «bâclée».
Mais Walter Kerr dans le New York Herald Tribune a assuré à ses lecteurs que c’était encore une belle matinée («A Beautiful mornin’»). De plus, selon lui, la Laurey jouée par Florence Henderson était magnifique et il ne s’attendait jamais à voir une meilleure Laurey que la sienne.
John McClain dans le New York Journal-American a rapporté que pendant que l’orchestre jouait l’ouverture, le public a commencé à «applaudir involontairement» et lorsque le rideau s’est levé et que Ridge Bond a commencé à chanter «Oh, What a Beautiful Mornin'», ce fut un vrai bonheur. Il pensait que Ridge Bond était l’égal de ses prédécesseurs et a déclaré que Florence Henderson était «assurée». Mais il n’a pas été conquis par les capacités de Barbara Cook dans le rôle d’Ado Annie.
Robert Coleman a conclu sa critique favorable dans le Daily Mirror en notant que le prix le plus élevé de trois dollars pour Oklahoma! était une «vraie chance de divertissement».
Version 6
Oklahoma! (1955-10-Film)
Type de série: FilmThéâtre: *** Film (*** - ***) Durée : Nombre : Première Preview : InconnuPremière : mardi 11 octobre 1955Dernière : InconnuMise en scène : Fred Zinnemann • Chorégraphie : Producteur : Avec : Gordon MacRae (Curly McLain), James Mitchell (Dream Curly (dancer)), Shirley Jones (Laurey Williams), Bambi Linn (Dream Laurey (dancer)), Gene Nelson (Will Parker), Gloria Grahame (Ado Annie Carnes), Charlotte Greenwood (Aunt Eller), Rod Steiger (Jud Fry), Eddie Albert (Ali Hakim), James Whitmore (Andrew Carnes), Barbara Lawrence (Gertie Cummings), Jay C. Flippen (Skidmore), Roy Barcroft (Marshal)
Version 7
Oklahoma! (1958-03-New York City Center-Broadway)
Type de série: RevivalThéâtre: New-York City Center (New-York - Etats-Unis) Durée : 1 semaine Nombre : 1 previews - 15 représentationsPremière Preview : mardi 18 mars 1958Première : mercredi 19 mars 1958Dernière : dimanche 30 mars 1958Mise en scène : John Fearnley • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Betty Garde (Aunt Eller), Herbert Banke (Curly), Lois O’Brien (Laurey), Gene Nelson (Will Parker), Douglas Fletcher Rodgers (Jud Fry), Helen Gallagher (Ado Annie Carnes), Harvey Lembeck (Ali Hakim), Patricia Finch (Gertie Cummings), Michael Maule (Dream Curly), Gemze de Lappe (Dream Laurey), George Church (Dream Jud Fry), Owen Martin (Andrew Carnes), Sheppard Kerman (Cord Elam); Singers: Jane Burke, Jan Canada, Naomi S. Collier, Patricia Finch, Bonnie Lawrence, Wendy Martin, Nancy Radcliffe, Barbara Saxby, Lois Van Pelt, Lynn Wendell, Kenneth Ayers, Ralph Farnworth, Jack Irwin, Barney Johnston, Sam Kirkham, Stanley Page, Edgar Powell, Casper Roos, Van Stevens, Ralph Vucci; Dancers: Patricia (Pat) Birsch (Birch), Isabelle Farrell, Ruby Herndon, Marilyn Kessler, Naomi Marritt, Ellen Matthews, Elicia Miller, Ilona Murai, Nana Predente, Evelyn Taylor, Toodie Wittmer, Jenny Workman, Richard Colacino, Marvin Gordon, Thomas W. Hasson, James Maher, Gene Neal, David Neuman, William Ross, Eddie Weston
Version 8
Oklahoma! (1963-02-New York City Center-Broadway)
Type de série: RevivalThéâtre: New-York City Center (New-York - Etats-Unis) Durée : 2 mois 4 semaines Nombre : 1 previews - 30 représentationsPremière Preview : mardi 26 février 1963Première : mercredi 27 février 1963Dernière : dimanche 26 mai 1963Mise en scène : John Fearnley • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Betty Garde (Aunt Eller), Peter Palmer (Curly), Louise O’Brien (Laurey), Richard France (Will Parker), Daniel P. Hannafin (Jud Fry), Fay De Witt (Ado Annie Carnes), Barry Newman (Aki Hakim), Marilyne Mason (Gertie Cummings), William Tierney (Andrew Carnes), Kermit Kegley (Cord Elam), Grover Dale (Dream Curley), Evelyn Taylor (Dream Laurey), George Church (Dream Jud]), Judy Thelen (Child [in ballet]), Mavis Ray (The Girl Who Falls Down [in “Many a New Day”]); Dancers: Virginia Bosler, Lucia Lambert, Loi Leabo, Beatrice Lismore, Marlene Mesavage, Susana Aschieri, Judy Thelen, Mona Jo Tritsch, Esther Villavicencio, Toodie Wittmer, Frank Andre, Paul Berne, Dennis Cole, Ben Gillespie, Loren Hightower, Vernon Lusby, Charles McGraw, Paul Olson; Singers: Faith Daltry, Penny Gaston, Helen Guile, Marilyne Mason, Hanna Owen, Julie Sargant, Sharon J. Vaughn, Christine Watson, Lynn Wendell, Robert Carle, Jerry Crawford, Harris W. Davis, James Fels, Marvin Goodis, William Kennedy, Robert Lenn, Herbert Surface, Ralph VucciCommentaires : Après une première série de 15 représentations à partir du 27 février 1963, la production revient le 15 mai pour 15 autres représentations, avec plusieurs changements de distribution. Ceux-ci incluent Fay DeWitt remplaçant Ann Fraser dans le rôle d’Ado Annie, Barry Newman remplaçant Gabriel Dell dans le rôle d’Ali Hakim et Kermit Kegley remplaçant John Carver dans le rôle de Cord Elam.
Version 9
Oklahoma! (1965-12-New York City Center-Broadway)
Type de série: RevivalThéâtre: New-York City Center (New-York - Etats-Unis) Durée : 1 mois 2 semaines Nombre : 1 previews - 24 représentationsPremière Preview : mardi 14 décembre 1965Première : mercredi 15 décembre 1965Dernière : mercredi 02 février 1966Mise en scène : John Fearnley • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Ruth Kobart (Aunt Eller), John Davidson (Curly), Susan Watson (Laurey), Richard France (Will Parker), Daniel P. Hannafin (Jud Fry), Karen Morrow (Ado Annie Carnes), Jules Munshin (Ali Hakim), Loi Leabo (Gertie Cummings), Sammy Smith (Andrew Carnes), Herbert Surface; Dancers: Girls—Cathy Conklin, Joanna Crosson, Carolyn Dyer, Carol Estey, Sharon Herr, Loi Leabo, Jane Levin, Marie Patrice, Betty Ann Rapine, Rande Rayburn, Julie Theobald, Toodie Wittmer; Boys—James Albright, Don Angelo, Dean Crane, Gerry Dalton, Jeremy Ives, Brynnar Mehl, Phillip Rice, Bud Spencer, Fabian Suart; Singers: Girls—Vicki Belmonte, Maria Bradley, Judie Elkins, Jeanne Frey, Marie Hero, Joyce Olson, Susan Sidney, Maggie Worth; Boys—Kenny Adams, Brown Bradley, Roger Alan Brown, Joseph Corby, Peter Clark, Lance Des Jardins, Konstantin Moskalenko, Stephen John Rydell, Herbert Surface, Victor HelouCommentaires : C'était le cinquième et dernier revival d'Oklahoma! au New York City Center. La production actuelle a utilisé les décors originaux de Lemuel Ayers, et Gemze de Lappe a recréé les danses d’Agnes de Mille sous la supervision de cette dernière.
Version 10
Oklahoma! (1969-09-New York State Theatre- Lincoln Center-Broadway)
Type de série: RevivalThéâtre: Lincoln Center for the Performing Arts (New-York - Etats-Unis) Durée : 2 mois 2 semaines Nombre : 88 représentationsPremière Preview : lundi 23 juin 1969Première : lundi 23 juin 1969Dernière : samedi 06 septembre 1969Mise en scène : John Kennedy • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Margaret Hamilton (Aunt Eller), Bruce Yarnell (Curly), Lee Beery (Laurey), Sam Kirkham (Ike Skidmore), Del Horstmann (Slim), Kurt Olson (Joe), Lee Roy Reams (Will Parker), Spiro Malas (Jud Fry), April Shawhan (Ado Annie Carnes), Ted Beniades (Ali Hakim), June Helmers (Gertie Cummings), Donna Monroe (Donna), Judith McCauley (Judith), Dixie Stewart (Dixie), Joyce Tomanec (Joyce), William Griffis (Andrew Carnes), John Gerstad (Cord Elam); Singers: Bobbi Lange, Judith McCauley, Donna Monroe, Eleanor Rogers, Dixie Stewart, Maggie Task, Joyce Tomanec, Maggie Worth, John Almberg, John D. Anthony, Lester Clark, Stokley Gray, Mark East, Del Horstmann, Robert Lenn, Joe McGrath, Kurt Olson, Alex Orfaly, Ken Richards, Tom Trelfa; Dancers: Sandra Balesti, Graciela Daniele, Katherine Gallagher, Mary Lynne McRae, Gilda Mullett, Sally Ransone, Audrey Ross, Lana Sloniger, Eileen Taylor, Toodie Wittmer, Jenny Workman, Mary Zahn, James Albright, Paul Berne, Andy G. Bew, Henry Boyer, Bjarne Buchtrup, Michael Ebbin, William Glassman, Michael Lane, Brynar Mehl, Ralph Nelson, Lee WilsonCommentaires : La production du Music Theatre du Lincoln Center d'Oklahoma! marquait la neuvième et dernière reprises de musicals "classiques", qui avait commencé en 1964 avec une reprise de "The King and I".
Version 11
Oklahoma! (1979-12-Palace Theatre-Broadway)
Type de série: RevivalThéâtre: Palace Theatre (Broadway - Etats-Unis) Durée : 8 mois 2 semaines Nombre : 9 previews - 293 représentationsPremière Preview : jeudi 06 décembre 1979Première : jeudi 13 décembre 1979Dernière : dimanche 24 août 1980Mise en scène : William Hammerstein • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Mary Wickes (Aunt Eller), Laurence Guittard (Curly), Christine Andreas (Laurey), Robert Ray (Ike Skidmore), Stephen Crain (Slim), Harry Groener (Will Parker), Martin Vidnovic (Jud Fry), Christine Ebersole (Ado Annie Carnes), Bruce Adler (Ali Hakim), Martha Traverse (Gertie Cummings), Philip Rash (Andrew Carnes), Nick Jolley (Cord Elam); Singers: Sydney Anderson, Stephen Crain, Lorraine Foreman, Nick Jolley, John Kildahl, Jessica Molaskey, Joel T. Myers, Philip Rash, Robert Ray, Martha Traverse, M. Lynne Wieneke; Dancers: Eric Aaron, Brian Bullard, Phillip Candler, Judy Epstein, David Evans, Tonda Hannum, Louise Hickey, Kristina Koebel, Leslie Morris, Michael Page, Patti Ross, Kevin Ryan, Anthony Santiago, Ilene Strickler, Robert Sullivan, Susan WhelanCommentaires : Il s’agit cette fois d’un véritable revival. Heureusement, il n’a pas mené à une réinterprétation radicale de Rodegrs et Hammerstein. Le maïs était encore aussi haut que l’œil d’un éléphant et le blé sentait toujours bon – comme le disent les chansons – mais il s’agissait d’un Oklahoma! légèrement plus sombre, surtout dans les interprétations de Christine Andreas (Laurey) et de Martin Vidnovic (Jud). La Laurey d’Andreas était plus sombre que d’habitude, et cette fois-ci, le ballet «Laurey Makes Up Her Mind» semblait vraiment vouloir parler de quelque chose.
Un choix entre Curly ou Jud? Normalement, il n’y a pas de concours, et clairement dans le monde réel, Jud n’aurait aucune chance avec Laurey. Mais dans le casting de Vidnovic, il y avait maintenant un Jud que nous n’avions jamais vu auparavant: un étalon romantique qui fait passer un peu Curly pour un indompté. L’interprétation frappante de Vidnovic était chargée d’énergie sexuelle frustrée, et il était clair d’après sa performance que lorsque Jud était seul dans sa cabane, il faisait plus que simplement regarder les cartes postales françaises clouées au mur au-dessus de sa couchette. Il était beau et attrayant, et il était compréhensible que Laurey envisage d’aller au pique-avec lui. Jusqu’à présent, et comme le Jigger de Carousel, Jud avait toujours semblé un dispositif d’intrigue quelque peu intrusif mais nécessaire pour les personnages secondaires. Mais ici, Jud avait une vraie présence, et « Lonely Room », magnifiquement et douloureusement interprétée par Vidnovic a fait de cette chanson généralement oubliée de la partition une déclaration puissante et mémorable du statut d’outsider de Jud.
Version 12
Oklahoma! (1980-09-Palace Theatre-London)
Type de série: RevivalThéâtre: Palace Theatre (Londres - Angleterre) Durée : 1 an Nombre : Première Preview : InconnuPremière : mercredi 17 septembre 1980Dernière : samedi 19 septembre 1981Mise en scène : James Hammerstein • Chorégraphie : Agnès de Mille • Producteur : Avec : Madge Ryan (Aunt Eller), John Diedrich (Curly), Rosamund Shelley (Laurey), Mark White ( Will Parker), Jillian Mack (Ado Annie), Alfred Molina (JudFry)Commentaires : Cette version a été produite par Cameron Mackintosh et Emile Littler en association avec le Haymarket Theatre, Leicester avec le soutien financier du Arts Council of Great Britain.
Signalons que cette production marque les débuts professionnels de Maria Friedman. Elle a joué dans l'ensemble et a été l'understudy de 'Ado Annie' et 'Laurey'.
Version 13
Oklahoma! (1998-07-Olivier Theatre-NT-London)
Type de série: RevivalThéâtre: National Theatre (Londres - Angleterre) Salle : Olivier TheatreDurée : 2 mois 2 semaines Nombre : 102 représentationsPremière Preview : lundi 06 juillet 1998Première : mercredi 15 juillet 1998Dernière : samedi 03 octobre 1998Mise en scène : Trevor Nunn • Chorégraphie : Susan Stroman • Producteur : Avec : Maureen Lipman (Aunt Eller), Hugh Jackman (Curly), Josefina Gabrielle (Laurey), Jimmy Johnston (Will Parker), Vicki Simon (Ado Annie), Shuler Hensley (Jud Fry), Peter Polycarpou (AH Hakim), Gavin LeeCommentaires : Ce spectacle a été présenté au prestigieux National Theatre de Londres, dans la grande salle (Olivier Theatre), avec un financement supplémentaire de Cameron Mackintosh. Cela a été une magnifique production qui s'est jouée à bureaux fermés. Certains se sont offusqués, se demandant si le National Theatre subventionné devait produire un spectacle aussi «manifestement commercial», mais la grande majorités des critiques n'ont pas suivi cet avis car tout le monde a convenu qu’il était d’un tel niveau qui avait peu de chances d’être amélioré. Après son succès à guichets fermés à l’Olivier, il a été transféré dans le West End pour une série de cinq mois au Lyceum.
Trevor Nunn, le directeur du National Theatre et metteur en scène, voulait que ce soit un nouvel Oklahoma!, un Oklahoma plus sombre!, basé sur l'histoire de l'Ouest américain. Il est revenu à la source originale, la pièce «Green Grow the Lilacs» de Lynn Riggs. Il a d'ailleurs incorporé plusieurs lignes de dialogue de la pièce dans sa version du musical.
Cette version a aussi proposée de nouvelle chorégraphie imaginées par Susan Stroman. Les danses dans Oklahoma! sont basées sur la conquête de l'Ouest américain au tournant du XIXème siècle. Se battre pour un territoire en Amérique est l'un des thèmes principaux: se battre avec les poings, les fusils et les mots. Grâce à ses recherches, dont de nombreuses images du Far West, Stroman a choisi de créer une chorégraphie robuste et athlétique. Même les femmes se déplaçaient comme de vraies pionnières avec de la boue sur leurs jupes. Tout au long du spectacle, la chorégraphie est axée sur le combat – exécutée avec force et, parfois, de façon comique. Les personnages jouent même à des jeux de défi comme "Pouvez-vous faire mieux?" utilisant la danse.
Pour le célèbre Dream Ballet, Trevor Nunn et Susan Stroman, ont longtemps évalué la possibilité d'avoir un Curly et une Laurey qui pourraient réellement danser leurs rôles principaux dans le Ballet. Traditionnellement, il y a toujours eu un Dream Curly et un Dream Laurey, des danseurs qui remplaçaient les personnages principaux à ce moment-là. Ils ont décidé qu'il serait plus fort si ces acteurs que le public avait suivis toute la soirée interprétaient réellement la danse au lieu d'introduire deux nouvelles figures «de rêve». Cela seul a marqué cette version d'Oklahoma!.
Ils ont engagé Hugh Jackman en tant que Curly, Josephina Gabrielle en tant que Laurey et Shuler Hensley en tant que Jud. Grâce à la vaste expérience de Josephina Gabrielle dans le ballet, Stroman a pu créer un ballet qui était une véritable extension lyrique de son personnage. Et vu les importantes capacités de danse de Hugh Jackman et Shuler Hensley, la danse et les combats semblaient instinctifs et crédibles.
Le ballet commence par une danse de joie de passage à l'âge adulte. Elle porte sa première robe, rêvant d'un mariage entre elle et Curly. Lorsque Jud semble la voler, son rêve se transforme en cauchemar. La chorégraphie passe d'un mouvement aimant, lumineux et lyrique à des pas arqués et rythmés, avec une sensualité ombragée. Laurey se réveille avec un cri terrifiant, trempée d'une sueur froide. Sa prise de conscience qu'un côté plus sombre de son personnage - ces aspects têtus, jaloux, voire intolérants qui vivent en chacun de nous - ont créé une fin tragique à son rêve. À la fin du premier acte, nous voyons Laurey aux prises avec la culpabilité que ses actions pourraient être à blâmer et, à leur tour, pourraient être un signe inquiétant des choses à venir.
Les ayant-droit ont autorisé cette production à changer les arrangements des moments de danse pour correspondre aux nouvelles chorégraphies. David Krane s'est chargé de ces nouveaux arrangements. Sa capacité à comprendre la danse et à la traduire en musique est un vrai don. Il est comme un tailleur musical, prenant la musique de Rodgers et l'élevant pour correspondre au visuel. C'était comme si Rodgers et Hammerstein eux-mêmes étaient dans la salle de répétition.Presse : MICHAEL COVENEY of THE DAILY MAIL says "A truly great evening."
BENEDICT NIGHTINGALE of THE TIMES says, "Has there ever been a higher standard of dance in any subsidised theatre? No."
CHARLES SPENCER of THE DAILY TELEGRAPH says "The National has a huge hit on its hands."
MICHAEL COVENEY of THE DAILY MAIL says "A truly great evening, easily the equal of Guys and Dolls and Carousel. Enjoy."
NICOLAS DE JONGH of THE EVENING STANDARD was more luke-warm saying " A rich feast of dream-pie, but not my kind of meal".
Version 14
Oklahoma! (1999-01-Lyceum Theatre-London)
Type de série: RevivalThéâtre: Lyceum Theatre (Londres - Angleterre) Durée : 5 mois Nombre : 93 représentationsPremière Preview : jeudi 21 janvier 1999Première : jeudi 21 janvier 1999Dernière : samedi 26 juin 1999Mise en scène : Trevor Nunn • Chorégraphie : Susan Stroman • Producteur : Avec : Maureen Lipman (Aunt Eller), Hugh Jackman (Curly), Josefina Gabrielle (Laurey), Jimmy Johnston (Will Parker), Vicki Simon (Ado Annie), Shuler Hensley (Jud Fry), Peter Polycarpou (AH Hakim), Gavin LeeCommentaires : With additional funding from Cameron Mackintosh this was a glorious full-scale production, and a sell-out for its National Theatre season, earning the desperately needed money following cuts in the arts grants. Reservations were expressed about whether the subsidised National Theatre should be producing such obviously commercial material, but everyone agreed it was of a standard unlikely to be bettered. Following its sell-out success at the Olivier it was re-staged for a five month run at the Lyceum.Presse : MICHAEL COVENEY of THE DAILY MAIL says "A truly great evening."
BENEDICT NIGHTINGALE of THE TIMES says, "Has there ever been a higher standard of dance in any subsidised theatre? No."
CHARLES SPENCER of THE DAILY TELEGRAPH says "The National has a huge hit on its hands."
MICHAEL COVENEY of THE DAILY MAIL says "A truly great evening, easily the equal of Guys and Dolls and Carousel. Enjoy."
NICOLAS DE JONGH of THE EVENING STANDARD was more luke-warm saying " A rich feast of dream-pie, but not my kind of meal".
Version 15
Oklahoma! (2002-03-George Gershwin Theatre-Broadway)
Type de série: RevivalThéâtre: Gershwin Theatre (Broadway - Etats-Unis) Durée : 11 mois 1 semaine Nombre : 25 previews - 388 représentationsPremière Preview : samedi 23 février 2002Première : jeudi 21 mars 2002Dernière : dimanche 23 février 2003Mise en scène : Trevor Nunn • Chorégraphie : Susan Stroman • Producteur : Avec : Andrea Martin (Aunt Eller), Patrick Wilson (Curly), Josefina Gabrielle (Laurey), Ronn Carroll (Ike Skidmore), Justin Bohon (Will Parker), Shuler Hensley (Jud Fry), Jessica Boevers (Ado Annie Carnes), Aasif Mandvi (Ali Hakim), Mia Price (Gertie Cummings), Michael McCarty (Andrew Carnes), Michael X. Martin (Cord Elam); Ensemble: Matt Allen (Corky), Clyde Alves (Jess), Bradley Benjamin (Susie), Kevin Bernard (Slim), Amy Bodnar (Aggie), Stephen R. Buntrock (Joe), Nicolas Dromard (Sam), Merwin Foard (Chalmers), Rosena M. Hill (Ellen), Chris Holly (Jake), Michael Thomas Holmes (Mike), Elizabeth Loyacano (Kate), Audrie Neenan (Armina), Rachelle Rak (Rosie), Jermaine R. Rembert (Tom), Laura Shoop (Vivian), Sarah Spradlin-Bonomo (Emily), Greg Stone (Fred), Kathy Voytko (Sylvie), Catherine Wreford (Lucy); Children: Julianna Rose Mauriello (Lil Titch), Stephen Scott Scarpulla (Travis), Lauren Ullrich (Desiree), William Ullrich (Maverick)Commentaires : Il s'agit de la production qui avait été créée au National Theatre de Londres le 15 juillet 1998 et qui avait ensuite été transférée dans le West End. L'entièreté de l'équipe de création de Londres a géré ce revivaal à Broadway.
Etonnement cette production ne fut qu'un petit succès, tenant l'affiche moins d'un an.
Version 17
Oklahoma! (2006-10-Nissay Theatre-Tokyo) Takarazuka
Type de série: TakarazukaThéâtre: Nissay Theatre (Tokyo - Japon) Durée : 3 semaines Nombre : Première Preview : jeudi 05 octobre 2006Première : jeudi 05 octobre 2006Dernière : vendredi 27 octobre 2006Mise en scène : Chorégraphie : Producteur :
Version 18
Oklahoma! (2019-04-Circle in the Square Theatre-Broadway)
Type de série: RevivalThéâtre: Circle in the Square Theatre (Broadway - Etats-Unis) Durée : 9 mois 2 semaines Nombre : 22 previews - 328 représentationsPremière Preview : mardi 19 mars 2019Première : dimanche 07 avril 2019Dernière : dimanche 19 janvier 2020Mise en scène : Daniel Fish • Chorégraphie : John Heginbotham • Producteur : Avec : Damon Daunno (Curly McLain), Mary Testa (Aunt Eller), Rebecca Naomi Jones (Laurey Williams), James Davis (Will Parker), Anthony Cason (Cord Elam), Patrick Vaill (Jud Fry), Ali Stroker (Ado Annie), Will Brill (Ali Hakim), Mallory Portnoy (Gertie Cummings), Mitch Tebo (Andrew Carnes), Will Mann (Mike), Gabrielle Hamilton (Lead Dancer)Commentaires : Une vision radicalement modernisée du lusicalPresse : Il n’y a presque pas eu de juste milieu en ce qui concerne les critiques de ce revival. Certains l’ont trouvé prétentieux et d’autres se sont presque évanouis de joie.
Judith Miller dans le City Journal a offert une analyse réfléchie de cette production. De toute évidence, le metteur en scène voulait souligner une certaine noirceur inhérente au classique de Rodgers et Hammerstein, mais au lieu de cela, il a transformé la «célébration de l’esprit américain» du musical en une «condamnation sanglante» de cet esprit. Le revival s’est penché sur «la politique sexuelle, la discrimination de classe et un système de justice corrompu», et le metteur en scène a concentré sa «colère» sur la «culture des armes à feu» aux Etats-Unis en exhibant des racks de fusils accrochés aux murs en contreplaqué du plateau. Cette «critique» des armes à feu a conduit à une «réécriture» qui a modifié la scène de confrontation entre Curly (Damon Daunno) et Jud (Patrick Vaill). Jud tend un pistolet à Curly, Curly tire à bout portant sur lui, et du sang éclabousse sur les visages et les tenues de mariage de Curly et Laurey (Rebecca Naomi Jones). Cet «artifice» avait peut-être «un but ouvertement politique» mais, selon Judith Miller, il était dramatiquement peu convaincant. (Johnny Oleksinski dans le New York Post a trouvé la scène «stupide», et Frank Scheck dans le Hollywood Reporter a dit qu’elle était «ridiculement dépassée».)
De plus, le révolutionnaire Dream Ballet d’Agnes de Mille «Laurey Makes Up Her Mind» (qui clôturait à l’origine le premier acte et ouvre ici le second) esy ici transformé en une danse solo «interminable» de Gabrielle Hamilton, qui arbore un crâne rasé et porte un t-shirt à paillettes arborant les mots «Dream Baby Dream». Judith Miller a rapporté que Gabriele Hamilton «saute, fonce et rebondit sans but» tandis que ses bottes de cow-boy tombent «avec un bruit sourd» La critique a noté avec ironie que la séquence appartenait «à un autre musical – Rent, par exemple». Rex Reed dans l’Observer décida que Hamilton «imitait un cheval»; Oleksinski a déclaré que tout cela était «un exercice de gymnastique trop long»; Marilyn Stasio dans Variety a déclaré que la danse «se prolongeait ad nauseam»; et Scheck a déclaré que «le pire de tout» était que cette «horrible» danse qui a duré «apparemment une éternité», est apparue «comme un rejet de Twyla Tharp» et a été accompagnée d’une «version stridente de style punk rock» de la musique de Rodgers.
Oleksinski a également noté que pendant pratiquement toute la représentation, la salle du théâtre était très éclairée et que les scènes ne semblaient pas «différentes les unes des autres». Cependant, deux scènes ont été jouées dans l’obscurité. L’une était celle entre Curly et Jud, et selon Rooney (qui a trouvé le revival «audacieux» et une vraie «révélation»), les deux hommes sont ensemble dans une «intimité homo-érotique» tandis qu’une caméra vidéo les enregistre et projette leurs images sur un écran noir et blanc (Scheck a commenté que les projections vidéo des deux hommes étaient «en si gros plan qu’Ingmar Bergman serait gêné»). Une deuxième scène de black-out entre Laurey et Jud a conduit certains à déduire que les deux avaient des relations sexuelles. Stasio (qui a trouvé le revival «ambitieux» et «gagnant») a déclaré que la mise en scène des deux scènes dans l’obscurité était «un coup inventif gagnant du metteur en scène», et Greg Evans dans Deadline Hollywood a déclaré que ce revival était «stupéfiant» et «explosif» et qu’il était une «réimagination étonnante» d’Oklahoma!, et parce que les lumières de la salle étaient généralement allumées, le public était «complice» de l’action.
Reed a noté que des «misérables imbéciles» étaient «déterminés à détruire» les classiques du théâtre musical en essayant de les rendre «pertinents, à la mode et politiquement corrects», et la Rodgers et Hammerstein Orhanisation «devrait avoir honte d’avoir donné la permission de produire cette parodie gadget» parce qu’Oklahoma! était maintenant «dévalorisé et vulgarisé» par cette production «imbécile» et «peu judicieuse».
Scheck a déclaré que le revival ressemblait plus à «une thèse de doctorat qu’à un spectacle théâtral», et bien qu’il n’y ait rien de mal à souligner les aspects les plus sombres de l’intrigue, la production l’a fait de «manière pénible». Les interprètes marmonnent souvent leurs dialogues au «point d’être inintelligibles», le rythme est «mortellement lent», et quand le metteur en scène s’impose à l'œuvre, vous voudriez pouvoir «courir en hurlant vers les sorties».
Oleksinski a déclaré que le «prétentieux» revival était un «sac à brol avec une thèorie sur le contrôle des armes à feu et l’expansion vers l’ouest», sans oublier une critique d’une «culture de la violence et de la masculinité toxique » (Rooney, en passant, a déclaré que Curly faisait une «prestation masculine agressive»). Oleksinski a décidé que le message de la soirée était de «passer un mauvais moment», et que tout le spectacle était une «corvée presque sans joie» qui vous a donné envie de mettre ce revival «au rebut».
Miller a déclaré que Rebecca Naomi Jones (Laurey) manquait d’une «forte» voix chantée, Chris Jones dans le New York Daily News a mentionné qu’elle avait joué son rôle comme si elle était «malheureuse» tout au long de la soirée, et Charles Isherwood dans Broadway News a déclaré qu’elle «reste en surface de son personnage». Mais Rooney a dit qu’elle chantait «avec un sentiment formidable» et Scheck a noté qu’elle chantait «magnifiquement» et agissait «avec émotion». Isherwood rapporta que le rapport entre Rebecca Naomi Jones (Laurey) et Damon Daunno (Curly McLain) était très faible; Miller a déclaré que Patrick Vaill (Jud Fry) ressemblait à un «paumé de Haight-Ashbury vers 1968» et que Reed estimait que Jud appartenait maintenant à un «gang de motards». Pour Miller, «Ali Stroker (Ado Annie) en fauteuil roulant n’était ni «drôle» ni «subtile», et Reed a déclaré que le «soulagement comique» du personnage trouvé dans d’autres productions était ici «malheureusement manquant». Reed a également commenté que la tante Eller de Mary Testa était la «exempte de tout charme» qu’il ait jamais vue (mais Evans aimait son attitude de «bikeuse»).
Jones a déclaré que le revival était «scandaleusement brillant» mais était aussi «une dissection profondément déprimante» des «idéaux» américains, et qu’il était «profondément attristé» du «désaveu du pouvoir de l’amour» dans cette production (il semble que le mariage de Curly et Laurey ne «sauvera pas l’Amérique de ses péchés») et de la «dégradation cynique de l’optimisme américain».
La production mettait l’accent sur la nourriture comme métaphore, et Isherwood a noté que des «épis phalliques» de maïs étaient écaillés pendant la soirée, et à l’entracte, le public était invité sur scène à manger du pain au chili et du maïs (Scheck a dit que le chili aurait été une « bonne idée» s'il n’avait pas été «si fade et insipide»). Quant à la scène sociale des paniers de pique-nique (où les hommes enchérissent pour les paniers de pique-nique des femmes, dont les recettes vont à des œuvres de bienfaisance), certains membres du public désemparés y ont vu un examen de la masculinité toxique dans lequel l’enchérisseur masculin gagnant «possède» ainsi la femme, qui devient en fait son «esclave».
Ben Brantley dans le New York Times a trouvé que cet «étonnant» revival était à la fois «secouant et tout à fait merveilleux». Le Will Parker incarné par James Davis était «délicieusement stupide», Ali Stroker (Ado Annie) se déplaçait en fauteuil roulant comme un «cheval de rodéo primé», le Ali Hakim de Will Brill était «rafraîchissant», Mary Testa (Aunt Eller) était «splendide» et toutes les représentations étaient «du niveau de Broadway» avec en plus une «exubérance contagieuse». Pour Brantley, la fin controversée était «troublante» pour toutes les «bonnes» raisons, le Dream Ballet était «varié et rythmé» et Gabrielle Hamilton (Lead Dancer) n’était rien de moins qu’un «identité non diluée» qui était «stimulante et effrayante». Pour Brantley, le revival n’était pas «un acte de saccage», mais un acte de «remise en état». Mais il est clair que d’autres ont estimé que la production était un acte de profanation.
Recueillir des avis à ce point diversifiés est souvent bon signe…
Version 19
Oklahoma! (2022-04-Main Stage-Young Vic-London)
Type de série: RevivalThéâtre: Young Vic Theatre (Londres - Angleterre) Salle : Main StageDurée : 2 mois Nombre : Première Preview : mardi 26 avril 2022Première : mardi 26 avril 2022Dernière : samedi 25 juin 2022Mise en scène : Daniel Fish • Chorégraphie : John Heginbotham • Producteur : Avec : Arthur Darvill (Curly McLain), James Davis (Will Parker), Stavros Demetraki (Ali Hakim), Anoushka Lucas (Laurey Williams), Liza Sadovy (Aunt Eller), Patrick Vaill (Jud Fry), Marisha Wallace (Ado Annie), Raphael Bushay (Mike), Greg Hicks (Andrew Carnes), Rebekah Hinds (Gertie Cummings), Ashley Samuels (Cord Elam), Marie Mence (lead dancer)Commentaires : Il s'agit de la version de Broadway de 2019 qui traverse l'Altlantique et qui s'installe au Young Vic. Vu le succès, le musical est transféré dans le West End en 2023 au Wyndham's Theatre.Presse : ★★★★★ Daily Telegraph
★★★★★ Metro
★★★★★ WhatsOnStage
★★★★★ Daily Express
★★★★★ Daily Mirror
★★★★★ Financial Times
‘Punchy, playful & sexy. An absolute knockout!’ Daily Telegraph
‘A stunning reinvention. The best revival yet!’ Evening Standard
‘So revitalised it might’ve been written yesterday’ The Guardian
‘Lives up to the thirsty hype’ Time Out
Version 20
Oklahoma! (2023-02-Wyndham's Theatre-London)
Type de série: RevivalThéâtre: Wyndham s Theatre (Londres - Angleterre) Durée : 6 mois Nombre : Première Preview : jeudi 16 février 2023Première : mardi 28 février 2023Dernière : samedi 02 septembre 2023Mise en scène : Daniel Fish • Chorégraphie : John Heginbotham • Producteur : Avec : Raphael Bushay (Mike), Arthur Darvill (Curly), James Patrick Davis (Will Parker), Stavros Demetraki (Ali Hakim), Rebekah Hinds (Gertie Cummings), Greg Hicks (Andrew Carnes), Anoushka Lucas (Laurey), Marie-Astrid Mence (Lead Dancer), Liza Sadovy (Aunt Eller), Patrick Vaill (Jud), Georgina Onuorah (Ado Annie), Phillip Olagoke (Cord Elam), Andrew Berlin, Arthur Boan, Shani Cantor, Anna-Maria de Freitas, George Maddison, Brianna Ogunbawo, Finlay Paul, Helen K WintCommentaires : West End transfert de la version du Young Vic de 2022, elle-même provenant des Etats-Unis (2019).
Version 1
Oklahoma! (2011-04-UNCSA-Winston Salem)(Revival)Durée : 1 semaine Nombre : Première Preview : jeudi 28 avril 2011Première : jeudi 28 avril 2011Dernière : dimanche 08 mai 2011Mise en scène : Chorégraphie : Commentaires : Une représentation dans une université artistique aux Etats-Unis
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