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Musical
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: Sam H. Harris • 5 versions mentionnées
Dispo: Résumé Génèse
Le spectacle était le premier vrai musical complet de Cohan. En 1903, un célèbre jockey américain, Tod Sloan, s'était rendu en Angleterre pour participer au Derby du roi Édouard VII. Cela a donné à Cohan l'idée de son livret. Le musical a un ton patriotique et contient un certain nombre de boutades destinées à des cibles européennes, telles que: "Vous pensez que j'épouserais une héritière et vivrais de son argent? Pour quoi me prenez-vous? Un Anglais?" ou "La pâtisserie française ne vaut pas 30¢ par rapport à la tarte aux pommes américaine." Dans "Little Johnny Jone"s, Cohan a présenté certains des pas de danse et des élément de comédie qui allaient le rendre célèbre.
Genèse:
Production originale
Le musical se joue d’abord en try-out au Parsons Theatre de Hartford, dans le Connecticut, en octobre 1904, avant d’être créé à Broadway, au Liberty Theatre, le 7 novembre 1904. La production originale a été produite par Sam H. Harris et mise en scène par George M. Cohan qui a également joué dans le le spectacle avec les autres membres des Four Cohans (Cohan, ses parents et sa sœur). Auxquels se rajoutaient sa femme, Ethel Levey, co-vedette. La série de Broadway fut courte, 52 représentations, mais elle a été suivie de tournées au cours desquelles certaines réécritures ont été faites. Il a été repris deux fois en 1905 au New York Theatre, jouant avec succès pendant plus de 200 représentations pendant la majeure partie de l’année, et en tournée jusqu’à une nouvelle reprise à Broadway en 1907 pour une courte durée à l’Academy of Music. La production a été montée avec une énorme distribution.Adaptations et productions ultérieures
«Little Johnny Jones» a été adapté deux fois pour le cinéma, d’abord comme un film muet en 1923 par Warner Bros. First National produit une nouvelle adaptation en 1929 avec une version musicale et parlante, réalisée par Mervyn LeRoy, qui jouait un petit rôle dans le film de 1923. Eddie Buzzell, co-auteur du scénario avec Adelaide Heilbron, a joué le rôle-titre. Seules deux des chansons originales de Cohan ont survécu à la transition vers l’écran ("Give My Regards To Broadway" et "Yankee Doodle Boy"). Les cinq autres morceaux de la partition du film ont été écrits par d’autres auteurs-compositeurs, principalement Herb Magidson et Michael H. Cleary. James Cagney est apparu dans une version pièce-dans-la-pièce jouant des numéros et des danses de «Little Johnny Jones » dans un film de 1942, Yankee Doodle Dandy. David Cassidy a joué un revival en tournée en 1981. Après une avant-première au Goodspeed Opera du Connecticut et une tournée, une reprise de 1982, adaptée par Alfred Uhry et la vedette Donny Osmond dans le premier rôle, a fermé à l’Alvin Theatre après une seule représentation. Une adaptation du spectacle a été produite par le Light Opera de Manhattan à la fin des années 1980, intitulée Give My Regards to Broadway, et a été un succès pour cette compagnie.Résumé: Un jockey américain patriote, Johnny Jones, se rend en Angleterre pour monter son cheval, Yankee Doodle, dans le derby anglais. Jones tombe amoureux de Goldie Gates, une riche héritière de San Francisco, qui le suit en Grande-Bretagne, se déguisant en homme pour découvrir si Jones l’aime vraiment. Anthony Anstey, un Américain qui dirige un établissement de jeu chinois à San Francisco, offre à Jones un pot-de-vin pour perdre la course délibérément, mais il refuse. Après la défaite de Jones, Anstey répand des rumeurs qu’il a perdu la course intentionnellement. Le détective de Jones, prétendant être un ivrogne, cherche des preuves pour blanchir le nom de Johnny et découvre que c’est Anstey qui a piégé Jones. Jones dit à ses amis qui rentrent en Amérique, "Dîtes bonjour de ma part à Broadway," mais il décide de rester à Londres pour se refaire une réputation. Jones retourne en Amérique avec son nom blanchi, désireux de proposer le mariage à Goldie, mais il trouve qu’Anstey l’a kidnappée. Lui et son détective la cherchent dans le quartier chinois de San Francisco, et finissent par la trouver.
Création: 7/11/1904 - Liberty Theatre (Broadway) - 52 représ.
Musical
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: Sam H. Harris • 2 versions mentionnées
Dispo: Résumé
Une brève série à Broadway (81 représentations), suivie par un long US-Tour.
Genèse:
Résumé: A la xcréation, Cohan jouait le rôle d’un garçon patriotique qui refuse d’épouser l’aristocrate britannique que son père, sénateur américain, a choisi pour lui. Jerry & Nellie Cohan et Ethel Levy ont également participé au spectacle.
Création: 12/2/1906 - Herald Square Theatre (Broadway) - 81 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Commentaire
"Popularity" fut le premier vrai échec de Cohan. "Popularity" a été produit par Cohan et Harris au Wallack’s Theatre et créé le 1er octobre 1906 pour 24 représentations.
Genèse:
Résumé: C’était un mélodrame mettant en vedette Thomas W. Ross dans un rôle d’idole de matinées. Le héros a été pris dans une tentative de chantage, parce qu’une héritière "nouvelle riche", qui était tombée amoureuse de lui, doit déjouer le complot d'intrigants tentant de la séduire et obtenir son argent via un mariage.
Création: 1/10/1906 - Wallack's Theatre (Broadway) - 24 représ.
Musical
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Isnpiration
Il s'agit d'une version "ré-écrite" de son "Running for Broadway". «The Honeymooners» a été le gros succès de l’été 1907 au New Amsterdam Theatre, à New York, dans sa nouvelle installation sur le toit. On peut dire sans caricaturer que dans « The Honeymooners », Cohan a cherché à voir combien de niuméros de pur divertissements pouvaient être enchaînés en trois heures et le résultat est édifiant: il a réussi à présenter 20 chansons, une intrigue puissante et logique, un dialogue drôle et croustillant, une distribution de 20 artistes accompagnés de 40 chorus girls. Sans oublier les costumes les plus jolis jusqu'alors utilisé dans un musical. La soirée était bourrée des divertissements typiques de Cohan qui allaient faire sa réputation.
Genèse:
Résumé:
Création: 3/6/1907 - New Amsterdam Roof (Broadway) - 72 représ.
Musical
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé
Suite populaire de «Forty-five Minutes from Broadway». Le premier des trois musicals de George M. Cohan de la saison, "The Talk of New York" a donné une suite aux aventures populaires du personnage Kid Burns, toujours joué par Victor Moore
Genèse:
Résumé: Kid Burns, riche de ses gains sur hippodrome et de ses investissements, tombe amoureux de Geraldine Wilcox. Mary, son amour dans "Forty-five Minutes de Broadway" a, pour des raisons théâtrales impératives, été totalement oubliée. Toute discussion sur le mariage est contrée par son frère, Joe. Joe aime Grace Palmer que Kid accuse d'être une maître-chanteur. Quand Joe entend Grace accepter l’argent de son père pour le quitter, il lui tire dessus. Kid prend l’arme et le blâme. A sa sortie de prison, il trouve une Grace repentante et un Joe qui approuve son mariage avec Géraldine.
Création: 3/12/1907 - Knickerbocker Theatre (Broadway) - 173 représ.
Musical
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé
Cohan a présenté son deuxième spectacle deux mois jour pour jour après "The Talk of New York". C’était une œuvre plus émotionnelle d’habitude . Cohan avait longtemps idolâtré Ned Harrigan, qui jouait dans les vieux spectacles de "Harrigan et Hart". Hanigan s’était retiré de la scène, et Broadway l’avait plus ou moins oublié. Mais Cohan s’en était souvenu et l’avait invité à la première de "Fifty Miles from Boston". Là, Harrigan découvrit qu’un des rôles principaux du spectacle portait son nom, en son honneur.
Genèse:
Résumé: Harrigan aime Sadie Woodis, mais elle lui préfère Joe Westcott, le héros de baseball de Brookfield, Massachusetts. Le frère de Sadie, Jed, a volé 400$ à la poste et a perdu cet argent lors d'un pari. Harrigan propose de donner cet argent à Jed s’il arrive à persuader Joe d’abandonner Sadie. Mais Sadie reste fidèle à Joe. Jed pense qu’il va aller en prison mais Harrigan réalisant à quel point sa position est ignoble, donne Jed l’argent malgré tout.
Création: 3/2/1908 - Garrick Theatre (Broadway) - 40 représ.
Musical
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Commentaire Liste chansons
Les Quatre Cohan (présentés comme «George M. Cohan et sa famille royale») ont fait leur dernière apparition commune en jouant des Américains vivant à Londres. Encore une fois, une brève série à New York a été suivie par une tournée réussie.
Genèse:
Résumé: A Londres, un Américain, et neveu d’Andrew Carnigie, Percy Springer découvre l’amour de sa vie, Evelyn Fielding. A son grand regret, son père Franklin a déjà promis la main d’Evelyn au comte de Waymouth. Mais Percy ne renonce pas et s'arrange pour dénoncer les vraies intentions du comte: il se marie pour de l’argent. Percy lui propose un pot-de-vin d’un million de dollars en échange d'une promesse du comte de rompre ses fiançailles avec Evelyn. Mais, Webster et Lloyd, deux escrocs qui s'étaient liés d’amitié avec Percy trahissent ce dernier et convainquent le comte qu’il devrait refuser ce pot-de-vin. Lorsque les Fieldings rentrent chez eux à Chicago, le comte, Webster et Lloyd sont dénoncés au grand jour et Percy (avec l’aide de son ami John Fagan) épouse enfin Evelyn.
Création: 20/4/1908 - Knickerbocker Theatre (Broadway) - 112 représ.
Revue
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 2 versions mentionnées
Dispo:
More a review than show with a plot, the cast featured George "Honey Boy" Evans, and female impersonator Julian Eltinge. "The Cohan and Harris Minstrels" opened with a hit song George had written in a one act sketch for the Friars club, "The Belle Of The Barber's Ball".
Genèse:
Résumé:
Création: 3/8/1908 - New York Theatre (Broadway) - 32 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: Winchell Smith • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Commentaire
Une comédie romantique écrite par Winchell Smith.
Genèse:
Résumé:
Création: 4/9/1909 - Gaiety Theatre (Broadway) - 345 représ.
Musical
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Près de trois ans après «Popularity», le seul vrai échec de George M. Cohan, il l’a réécrit, a composé une nouvelle musique et l’a rebaptisé «The Man Who Owns Broadway». Sa chanson titre a contribué au succès du spectacle, et avec une personnalité comme Raymond Hitchcock en tête d'affiche, Cohan & Harris savaient qu’ils avaient une combinaison gagnante.
Genèse:
Résumé:
Création: 11/10/1909 - New York Theatre (Broadway) - 128 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: George M. Cohan • Livret: Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé
"Get-Rich-Quick Wallingford" est basé sur un roman éponyme de George Randolph Chester, à qui Cohan a acheté les droits d'adaptation à la scène. C’était la première fois que Cohan avait adapté le travail d’un autre auteur, et un roman. Cohan était également heureux parce que, "J’ai eu la satisfaction d’avoir vu ma pièce se jouer un an à Broadway alors qu'il ne s'agissait pas d'un musical."
Genèse:
Résumé: L’escroc J. Rufus Wallingford et son associé Blackie Daw viennent dans une petite ville et escroquent divers habitants. Cependant, leur grand plan est un échec et leurs vrais visages sont dévoilés. Mais lorsque le chef d’entreprise qui a été escroqué obtient de grands succès suite aux conseils de Wallingford, tout est pardonné et Wallingford est embauché comme cadre supérieur. Son raisonnement : « [...] le développement logique de la méthode américaine à réussir peu importe comment. »
Création: 19/9/1910 - Gaiety Theatre (Broadway) - 424 représ.
Musical
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Commentaire Liste chansons
Cela faisait plus de trois ans, depuis "The Yankee Prince" que George M. Cohan n'avait plus présenté une vraire création totale de musical à Broadway. Il n'avait bien sûr pas été absent mais avait plutôt proposé des musicals qui étaient des adaptations d'œuvres littéraires (Get-Rich-Quick Wallingford) ou de ses propres pièces à lui (The Man Who Owns Broadway d'après son Popularity), des revues ou des reprises. Et il avait produit des spectacles d'autres artistes. Ici, Cohan va aussi inenter l'histoire. Pour cette nouvelle création à 100%, Cohan était comme d’habitude multi-casquettes: il était la star sur scène, le librettiste, le parolier, le compositeur, le metteur en scène et le coproducteur. Et, comme d’habitude, le spectacle était une affaire de famille, et donc en plus de George M., la distribution comprenait son père, Jerry J. Cohan, sa mère, Helen F. aka Nellie Cohan, et sa cousine Lila Rhodes. Ce n'est plus les "Four Cohans", il manque sa sœur, mais quand-même! Le musical a reçu majoritairment des critiques élogieuses, a approché les 200 représentations à Broadway avant de s’embarquer dans un long US Tour. C’est le dernier musical dans lequel Jerry et Helen Cohan ont joué.
Genèse:
Résumé: Le jeune Robert Spooner (Le Petit Millionnaire) tombe amoureux d’une choriste nommée Goldie Gray. Son amour pour elle est tel qu’il est prêt à risquer toute sa fortune pour l’épouser (il est stipulé dans le testament de sa mère que lui et son père doivent approuver la femme qu'il désire épouser s'il veut hériter de la fortune de famille). De plus, un de ses amis de guindailles, Bill Costigan, refuse de quitter la maison de Robert sans l'avoir convaincu de mettre fin à ses fiançailles. En fait, Bill sait tout sur le mariage car il paie 1000 $ par mois de pension alimentaire à son ex-épouse. Le père de Robert, Henry, rentre inopinément de ses vacances en Europe avec de grandes nouvelles: lui aussi a l’intention de se marier! Cela crée un tourbillon de confusion parce qu’il a l’intention d’épouser l’ex-femme de Costigan. Avec toutes ces rumeurs de mariages dans la maison, Roscoe et la bonne projettent de saccager dans le manoir tout ce qui a de la valeur et de faire disparaitre tout l'argent, en signe de protestation contre les mariages. L’ex-femme de Costigan et la tante de Goldie Gates (Mme Prescott) sont des ennemies mutuelles et la raison du divorce de Costigan. En fin de compte, tout est réglé quand Robert épouse Goldie, quand Costigan se réconcilie avec son ex-femme et quand Henry épouse Mme Prescott. Roscoe et la bonne sont appréhendés par la police, et le père et le fils peuvent garder leur fortune.
Création: 25/9/1911 - George M. Cohan's Theatre (Broadway) - 192 représ.
Musical
Musique: Charles J. Gebest • Paroles: Channing Pollock • Rennold Wolf • Livret: Channing Pollock • Rennold Wolf • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
"The Red Widow" est une adaptation musicale scénique du roman "His Official Wife" de Colonel Savage. Il fut produit pour la première fois au Colonial Theater de Boston, le 2 septembre 1911, d’où il passa à l’Astor Theater de New York, où il ouvrit ses portes le 6 novembre 1911.
Genèse:
Résumé:
Création: 6/11/1911 - Astor Theatre (Broadway) - 128 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Génèse
Cette pièce a été une étape importante pour Cohan, car c’est son seul succès entre 1900 et 1920 qui soit une pièce originale écrite par lui (donc pas une adaptation d'une œuvre préexistente) et sans musique.
Genèse: Le série de "Broadway Jones" seront les dernières représentations de Jerry & Nellie Cohan. Après tant d’années dans le vaudeville et le théâtre, les deux ont décidé que George devrait continuer seul. George M. lui-même a même annoncé sa retraite de la scène, affirmant qu’il voulait se consacrer à l’écriture et à la gestion de théâtres. Le 31 janvier 1914, à l’occasion du 66ème anniversaire de Jerry Cohan, George lui a offert un cadeau qu’il n’oubliera jamais: Jerry possédait maintenant 50% de tout dans l’entreprise de son fils – actuellement et dans l’avenir. Plus tard, Nellie fera la remarque suivante: «Jerry ne pouvait jamais lire cette lettre, même à moitié, sans fondre en larmes. Il disait toujours que c’était plus qu’un cadeau, que c’était une bénédiction d’avoir un fils comme ça.» Jerry et Nellie ont pris leur retraite. Mais la retraite de George, elle, n’a duré que dix mois jusqu’à ce qu’il fasse équipe avec William Collier dans "Hello Broadway." Par la suite, il a continué apparaîtra encore dans 16 spectacles jusqu’en 1940 et le "Return Of The Vagabond". Son annonce de retraite a stupéfié le monde de Broadway, mais la plupart des gens ne croyaient pas ses paroles. Il a annoncé sa retraite plus de fois tout au long de sa carrière, et chaque fois il a fallu peu d’encouragement pour le ramener. C’était le premier succès de George M., avec une comédie théâtrale complètement originale. Sa première, « Popularity », avait été son premier flop à Broadway. "Broadway Jones" a poussé Cohan à persévérer dans l’écriture de non-musicals.
Résumé: Le playboy de Broadway, Jackson Jones, hérite de la fabrique de gomme de son oncle à Jonesville. Il arrive à l’usine, avec l’intention de la vendre, quand il est convaincu par une secrétaire que la vente de l'usine entrainerait la ruine économique de Jonesville. Jones choisit finalement de garder les choses comme elles étaient, et dans le processus, se marie avec la jeune fille.
Création: 23/9/1912 - George M. Cohan's Theatre (Broadway) - 176 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 3 versions mentionnées
Dispo: Résumé Génèse
"Seven Keys To Baldpate" est une pièce de Gerge M. Cohan basée sur le roman de Earl Derr Biggers. Cohan a écrit la pièce en exactement dix jours. L'une des pièces les plus novatrices de Cohan. Cela déconcerta certains publics et certains critiques, mais devint un succès surprise.
Genèse: Based on the novel by Earl Derr Biggers, (who later went on to write the adventures of Charlie Chan) "Seven Keys To Baldpate" is easily Cohan's most popular play. While he is known mostly for his musical contributions, "Seven Keys" has been revived and filmed many, many times. Cohan himself starred in the first filmed version (1917) & starred in the revival in 1935 for the Player's Club. In films, the story was remade more times with the latest film adaptation being the "House Of Long Shadows" (1983) with such film greats as Christopher Lee, Vincent Price, John Carradine, and Peter Cushing. The play has been so popular that it is included in almost every volume of best plays of the early 20th Century.
Résumé: Le romancier Billy Magee parie avec un ami fortuné qu’il peut écrire une histoire de 10 000 mots en moins de 24 heures. Il se retire dans une station de montagne estivale appelée Baldpate Inn, en plein hiver, et s’enferme, croyant avoir la seule clé. Cependant, il est visité pendant la nuit par une succession rapide d'autres personnes: un politicien corrompu, un policier tordu, un ermite, une journaliste feinteuse, une bande de criminels, etc., dont aucun n'a peine à entrer dans l'auberge éloignée - il semble y avoir sept clés pour Baldpate. Magee n'effectue aucun travail, mais se laisse entraîner dans les liens hidés des autres visiteurs. Il observe avec dérision que tous ces incidents et personnages compliqués sont ceux qu'il a écrits encore et encore. Juste avant minuit, il découvre que tout le monde est un acteur engagé pour commettre un canular, orchestré par un ami de Magee pour l'empêcher de terminer son récit. Dans l'épilogue, l'auberge est vide et une machine à écrire tremble à l'étage: Magee a terminé son récit avant minuit et a gagné le pari. Il révèle que rien ne s'était passé pendant les 24 heures; tout le mélodrame précédent, y compris les acteurs et le canular, constitue l'histoire.
Création: 22/9/1913 - Astor Theatre (Broadway) - 320 représ.
Musical
Musique: Charles J. Gebest • Paroles: Channing Pollock • Rennold Wolf • Livret: Channing Pollock • Rennold Wolf • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé
"The Beauty Shop" était un véhicule pour le comique populaire Raymond Hitchcock, et le spectacle lui a donné une large place pour ses pitreries. La comédie musicale a bénéficié d’une tournée assez longue avant Broadway et a reçu de bons commentaires quand il a ouvert à New York, et il est donc surprenant que la combinaison de Hitchcock et des avis favorables n’a pas parlay le spectacle dans un plus long terme que onze semaines.
Genèse:
Résumé: A la création, Raymond Hitchcock jouait le Docteur Arbutus Budd, le propriétaire du Dr. Budd’s Beauty Parlors sur la Cinquième Avenue. Le médecin affirme que la plupart des femmes préféreraient avoir une double vie qu’un double menton. Les affaires de Budd sont en plein essor, mais malheureusement ses clients ne paient pas toujours, et par conséquent les créanciers sont à sa porte. Les difficultés financières de Budd semblent être résolues quand il apprend qu’un oncle corse est mort et lui laisse un héritage. Lui et pratiquement tous les intervenants du premier acte partent pour la Corse et y arrivent au début de l’acte suivant où ils s’enregistrent à Hôtel Panatella. Malheureusement, tout ce que Budd a hérité est la vendetta de son oncle contre une famille voisine, et il semble que la seule façon de résoudre la querelle est d’épouser la fille de l’adversaire, qui lui est décrite comme une jolie fleur. Mais quand Budd la rencontre, il se rend vite compte qu’elle est plus dans la nature du sumac vénéneux, et donc il va travailler avec ses produits de beauté afin de la rendre présentable. Quand elle devient attirante, elle ne s’intéresse plus à Budd et sa riche famille le paie et une fin heureuse est obtenue par tous, sauf pour le croque-mort local Logubrio Sobini (George E. Mack) qui avait espéré que la vendetta lui fournirait quelques affaires.
Création: 13/4/1914 - Astor Theatre (Broadway) - 88 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: Roi Cooper Megrue • Walter Hackett • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Genèse:
Résumé:
Création: 8/9/1914 - George M. Cohan's Theatre (Broadway) - 399 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Avec "The Miracle Man", Cohan écrit son premier drame basé sur un escroc se faisant passer pour un guérisseur par la foi. "The Miracle Man" mettait en vedette Frank Bacon et Percy Helton, mais la version cinématographique (1919) avec Lon Chaney s'est avérée plus populaire. Cohan est ensuite revenu à ce qu'il connaissait le mieux, les comédies musicales et les comédies.
Genèse:
Résumé:
Création: 21/9/1914 - Astor Theatre (Broadway) - 97 représ.
Revue
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
La première revue musicale de Cohan, qui présentait le populaire «Down By the Erie». Cohan et William Collier en co-vedette. Une revue en 2 actes et 13 scènes.
Genèse:
Résumé:
Création: 25/12/1914 - Astor Theatre (Broadway) - 123 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: George M. Cohan • Max Marcin • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé
"The House of Glass", produite par Cohan et Harris, a ouvert au Candler Theatre de Broadway (l'actuel Sam H. Harris Theatre) le 1er septembre 1915 et s'est jouée 245 représentations. Mary Ryan figurait dans la distribution. Max Marcin était l’auteur original de la pièce mais elle a été réécrite par Cohan, qui en a partagé la paternité. C’était un mélodrame.
Genèse:
Résumé: Il s'agit de l'histoire d'une jeune femme faussement impliquée dans un crime. Au lieu de blanchir son nom, elle a pris une nouvelle identité et une nouvelle vie, pour ne plus être hantée par son passé….
Création: 1/9/1915 - Sam H. Harris Theatre (Brodway) - 245 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Isnpiration
"Hit-the-Trail Holliday" est une farce.
Genèse:
Résumé: On suit l'histoire d’un barman de New York devenu célèbre dans une petite ville de la Nouvelle-Angleterre grâce à la prohibition.
Création: 13/9/1915 - Astor Theatre (Broadway) - 336 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: Fanny Hatton • Frederic Hatton • Leo Ditrichstein • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 2 versions mentionnées
Dispo:
Genèse:
Résumé:
Création: 10/11/1915 - Longacre Theatre (Broadway) - 245 représ.
Revue
Musique: George M. Cohan • Paroles: George M. Cohan • Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Cette revue musicale s’inscrit dans la continuité du genre burlesque des scènes de Broadway qui débuta dans "Hello, Broadway!" (1914) et fut mise à jour pour 1916. Une note de programme a donné l’information suivante: "L’action du spectacle se déroule quelque part dans Rhode Island." C’était une continuation de l’utilisation de Cohan de Providence comme une cible de ses blagues.
Genèse:
Résumé:
Création: 9/2/1916 - Astor Theatre (Broadway) - 165 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: Harrison Rhodes • J. Harry Benrimo • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Genèse:
Résumé:
Création: 6/3/1917 - Sam H. Harris Theatre (Brodway) - 103 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: C.A. Caillavet • Emmanuel Arene • Robert de Flers • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Genèse:
Résumé:
Création: 20/11/1917 - George M. Cohan's Theatre (Broadway) - 127 représ.
Musical
Musique: Louis A. Hirsch • Paroles: Otto Harbach • Livret: Otto Harbach • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 2 versions mentionnées
Dispo: Isnpiration
Genèse:
Résumé:
Création: 25/12/1917 - Liberty Theatre (Broadway) - 351 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: F.E. Thomas • Leo Ditrichstein • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Genèse:
Résumé:
Création: 7/10/1918 - Vanderbilt Theatre (Broadway) - 64 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: Laurence Eyre • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Une comédie de clairs de lune, de folie et d'illusions.
Genèse:
Résumé:
Création: 4/2/1919 - Stephen Sondheim Theatre (Broadway) - 127 représ.
Musical
Musique: Anselm Goetzl • Paroles: William Carey Duncan • Livret: Stephen Ivor-Szinney • William Carey Duncan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Génèse Isnpiration
Le livret original et les paroles avaient été écrits par Stephen Ivor-Szinney et William Cary Duncan, avec une musique de Anselm Goetzl. Quand il a été proposé à Cohan par Isadore Witmark, l'œuvre avait pour titre "Cherry Blossom". Le titre du script sur lequel Cohan a travaillé (actuellement au Museum of the City of New York) était "The King's double". "The King's double" était le genre d’opérette européenne qui était totalement démodée, même en 1919. Après que Cohan l’ait retravaillé, il l’a considéré comme un "Cohanized Opera Comique." Sur les douze chansons du spectacle, Cohan en a écrite quatre et a écrit les paroles d'une autre. Cohan a complètement réécrit l'œuvre et a changé totalement l’intention originale de la pièce pour la rendre auto-parodique.
Genèse: Après que "The Royal Vagabond" soit entré en répétitions depuis quelques jours, William Cary Duncan a encore rappelé Cohan car il était totalement perdu. Cohan est venu pour retravailler. Il avait le script depuis quelques semaines et avait déjà pris ses propres notes pour révision, mais la troupe ne le savait pas. Il a demandé de voir le premier acte, puis a envoyé la troupe se reposer une heure. Sans le dire, Cohan aussi se détendait. Puis la troupe est revenue. Et là il a fait croire qu'il venait de trouver toutes les solutions pour le premier acte. Aves ses porposisitions et nouvelles chansons, il a émerveillé la troupe. Il a fait la même chose pour chacun des deux autres actes. La troupe en a conclu qu'ils étaient face au plus grand génie depuis Shakespeare. Il n’était pas inhabituel pour George M. Cohan de jouer un rôle dans l’un de ses spectacles, mais les circonstances dans lesquelles il a pris le contrôle du Royal Vagabond étaient étranges pour lui. L'"Equity Strike" - la grève des acteurs professionnels en 1919 ayant pour but que les producteurs reconnaissent leur nouveau syndicat, le "Actor's Equity" - interrompit tous les spectacles à Broadway en août 1919, Cohan a été le seul manager qui pouvait continuer a tenir son théâtre ouvert et "obliger" les autres artistes à jouer de par sa seule présence personnelle. Broadway était pratiquement totalement à l'arrêt, sauf au Cohan and Harris Theatre, où Cohan alla jusqu'à rassembler une partie de son personnel les poussanr à jouer les rôles de certains artistes principaux partis en grève. Ils ont pu continuer à jouer quleques jours jusqu’à ce que les musiciens et les techniciens partent tous en grève. Cohan ne reconnaitra jamais l'"Equity Strike" ce qui le rendra profondément impopulaire dans le secteur. Harris n'apprécia pas dut tout l'attitude de Cohan durant cette crise et ce fut virtuellement la fin de leur collaboration.
Résumé: Stephen, prince héritier de Bargravia, fuit sa mère dominatrice et tombe amoureux de la fille d’un aubergiste. Il est tellement amoureux d’elle qu’il devient le chef d’un groupe de rebelles qui se réunissent à la taverne, juste pour être près d’elle. Il est accompagné de son précepteur, le professeur "Hoppy" Hopkins. La reine cherche à écraser la rébellion et envoie le colonel Petroff chasser les rebelles. Aux dépens de sa mère, Stephen remporte la révolution et épouse Anitza.
Création: 17/2/1919 - Sam H. Harris Theatre (Brodway) - 348 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: Rita Weiman • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Génèse
Le dernier spectacle co-produit par Cohan et Harris…
Genèse: Au début de 1920, Broadway vit la séparation de son association la plus appréciée: Cohan & Harris. Peu après l’ouverture de "The Acquittal" le 5 janvier, George et Sam ont annoncé au monde entier qu’ils suivraient dorénavant leurs propres chemins. Nous ne pouvons que spéculer sur les raisons pour lesquelles cette rupture s'est produite car ni l’un ni l’autre n’en confirmera officiellement la raison. Mais il est presque certain que Sam Harris a vu la nécessité de céder à l'Equity pour mettre fin à la grève de l'été 1919. A la différence de Cohan, il a jugé que l’Association des producteurs ne pouvait que céder à l'Actor’s Equity, que les producteurs n’avaient pas d'autre choix. Ils devaient céder aux demandes d’Equity, sinon ils risquaient de perdre des talents au profit d’autres producteurs en dehors de leur association. De plus, chaque soir où Broadway restait fermé, les producteurs ne gagnaient pas d’argent. Un mois après le début de la grève, il a probablement subi des pressions pour y mettre fin. Cela a créé une faille avec son partenaire. George M. Cohan qui lui décidé de ne pas céder et continuer la lutte. Pourtant, personne ne connaît la vérité de la situation. Si la fin du partenariat était vraiment due à la concession Harris face à Equity, alors pourquoi Cohan & Harris ont-ils attendu près de quatre mois avant d’annoncer leur décision ? "The Acquittal" fut un succès et avec quelques millions de dollars en banque, Cohan annoncé une nouvelle fois sa retraite du monde théâtral. Cette fois-ci, son arrêt définitif a duré huit mois, et quand il est revenu, il a ouvert trois hits à partir de septembre 1920.
Résumé:
Création: 5/1/1920 - Sam H. Harris Theatre (Brodway) - 138 représ.
Théâtre
Musique: Paroles: Livret: George M. Cohan • Production originale: George M. Cohan • Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo:
Depuis leur dispute de 1919 concernant la gestion de la grève de l'Equity, Sam Harris et George M. Cohan s'étaient écartés. Sam avait trouvé une occasion pour les deux de travailler ensemble une fois de plus. La pièce, «Fulton Of Oak Falls», suivait un comédien de radio nommé Parker Fennelly. Ils ont tous deux compris que le scénario nécessitait beaucoup de «Cohanisation» - ce qui fut fait. Broadway a fait tout un buzz au sujet de la réunion de Cohan & Harris. Cependant, le spectacle n’a duré que 37 représentations. «Fulton Of Oak Falls» était une déception de plus pour Cohan. En 1937, George M. il s’embarqua pour l’Europe, dans l’idée de tenter sa chance sur la scène londonienne.
Genèse:
Résumé:
Création: 10/2/1937 - Morosco Theatre (Broadway) - 37 représ.
Musical
Musique: Richard Rodgers • Paroles: Lorenz M. Hart • Livret: George S. Kaufman • Moss Hart • Production originale: Sam H. Harris • 1 version mentionnée
Dispo: Résumé Liste chansons
Après le flop en février 1937 de "Fulton of Oak Falls", qui avait marqué après près de 20 ans, la réconciliation de de Cohan et Harris, Cohan a décidé de partir tenter sa chance à Londres… C'est à ce moment que Cohan a reçu un appel de Sam Harris pour rester à New York. Sam avait un rôle pour lui dans sa nouvelle production qu’aucun autre acteur ne pouvait faire. Le rôle était celui de Franklin Delano Roosevelt, et la pièce était "I'd Rather Be Right". Avec le succès de "I’d Rather Be Right" Cohan s’est retrouvé propulsé à nouveau comme roi de Broadway, lefaisant participer à de nombreuses réunions sociales et dîners mondains.
Genèse:
Résumé: Le spectacle se déroule à Central Park à New York, le 4 juillet, le jour de la fête nationale américaine. Peggy et Phil espèrent se marier mais le patron de Phil ne lui donnera pas d’augmentation jusqu’à ce que Roosevelt équilibre le budget. Phil s’endort et rêve qu’ils rencontrent Roosevelt flânant dans le parc. Après que Phil explique le dilemme du couple, Roosevelt promet de l’aider - ce qui n’est qu’une excuse pour quelques blagues se moquant des membres du Cabinet, de la Cour suprême, de la PWA, des conversations au coin du feu, d’Alf Landon, des conférences de presse et de la décision du Président de se présenter pour un troisième mandat.
Création: 2/11/1937 - Neil Simon Theatre (Broadway) - 290 représ.