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Musical
0001 - Vera Violetta (1911)
Musique: Edmund Eyster
Paroles: Harold R. Atteridge
Livret: Harold R. Atteridge • Leonard Liebling
Production originale: The Winter Garden Company
1 version mentionnée
Dispo: Génèse  Liste chansons  

A la création, "Vera Violetta" faisait parti d'une soirée en trois actes; le premier était "Vera Violetta" (donnée en deux parties); le second, le ballet-avec-pantomime "Undine"; et le troisième "Variete", une série de spécialités de vaudeville.

Genèse: L’opérette allemande de 1907, "Vera Violetta", avait provoqué un lourd ressentiment parce qu’elle avait en tête d'affiche l’actrice française controversée Gaby Deslys, parce qu'elle avait eu une liaison avec le roi Manuel II du Portugal. Elle avait été remplacée dans la production en trois parties "Hell", "Temptations" et "Gaby" et, plus tôt en 1911, elle avait fait sa première apparition à Broadway dans un rôle dansant pour "The Revue of Revues". Et ici, dans "Vera Violetta", elle a fait ses débuts en anglais (le New York Tribune souligne avec ironie qu’elle parle anglais et que «plusieurs personnes dans l’auditoire semblent reconnaître un certain nombre des mots qu’elle a prononcés»). Le musical est également remarquable pour avoir accueilli l’une des premières performances d’Al Jolson où comme cela allait devenir une habitude, il a joué un rôle black-face, ici un serveur nommé Claude. L’un de ses numéros était «That Haunting Melody», écrit spécialement pour la production parGeorge M. Cohan, et un autre était «Rum Tum Tiddle», un numéro où il faisait semblant d'interrompre le spectacle en se balladant et dansant dans les allées du Winter Garden Theatre.

Résumé:

Création: 20/11/1911 - Winter Garden Theatre (Broadway) - 112 représ.



Opérette
0002 - Blue Paradise (The) (1915)
Musique: Edmund Eyster
Paroles: Herbert Reynolds
Livret: Edgar Smith
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Résumé  Liste chansons  

L'opérette Ein Tag im Paradies d'Edmund Eysler, créée à Vienne en 1913, comportait un livret signé par Leo Stein et Bela Jenbach. L'œuvre fut adaptée aux États-Unis sous le titre The Blue Paradise, avec un livret américain signé par Edgar Smith. Sigmund Romberg composa au moins sept chansons pour cette version new-yorkaise, tandis que Herbert Reynolds écrivit la majorité des paroles. La production fit également appel à **trois autres paroliers** : - **Harold Atteridge** - **Blanche Merrill** - **Cecil Lean** (qui tenait aussi le rôle principal masculin) Ainsi qu’à **deux autres compositeurs** : - **Leo Edwards** - **Cecil Lean** Cette adaptation américaine devint donc une œuvre **collaborative**, intégrant **plusieurs styles musicaux et influences**.

Genèse:

Résumé: L'intrigue de The Blue Paradise est teintée de mélancolie, et le New York Sun apprécia "le joli courant de sentimentalisme allemand qui la traverse". Un long prologue se déroule vingt-quatre ans avant l’action principale et met en scène les habitués de l'auberge du Blue Paradise, où le jeune Rudolph Stoeger, un Américain originaire de Chicago (Cecil Lean), tombe amoureux de Mizzi (Segal), une vendeuse de fleurs. Avant son retour aux États-Unis, ils se promettent un amour éternel dans la chanson "Auf Wiedersehn!". Vingt-quatre ans plus tard, Rudolph, toujours célibataire, revient à Vienne. Il découvre que Mizzi a épousé un de ses anciens amis. Bien qu'elle soit absente, il apprend qu’elle est devenue une mégère acariâtre. Mais il fait alors la connaissance de sa fille, Gaby (également jouée par Segal), qui a exactement l’âge qu’avait Mizzi lorsqu’ils se sont rencontrés. Gaby est éprise de Rudy (Ted Lorraine), qui se trouve être le neveu de Rudolph. De son côté, Rudolph est aimé en secret par Gladys Wynne (Frances Demarest), la veuve de son ancien associé. À la fin, Rudolph laisse Gaby à Rudy et repart pour Chicago avec Gladys, sans jamais revoir Mizzi. Il préfère préserver ses souvenirs de jeunesse plutôt que de les confronter à la réalité.

Création: 5/8/1915 - Casino Theatre (Bway) (Broadway) - 356 représ.