"Pour moi, Dieu ce sont les hommes et, un jour, ils le sauront."
Jacques Brel

Cet hommage bouleversant va combler les aficionados comme ceux qui vont découvrir, avec Filip Jordens, l'univers hors du commun du Grand Jacques.

« Par son talent, sa voix, son corps, avec la complicité de ses musiciens, Filip Jordens nous convie à retrouver le grand Jacques. C'est la puissance, la force, la rage, l'ironie, la tendresse de Brel qui soudain éclatent de nouveau. Grâce à cet interprète hors pair qu'est Filip Jordens, on peut alors mesurer combien l'œuvre de Brel non seulement est toujours vivante, mais aussi combien elle est singulière et actuelle. Brel poète, Brel visionnaire, Brel musicien, Brel comédien, Brel satiriste, Brel profondément humain. Un maître, en somme. Un classique, servi par un Filip Jordens habité et éblouissant.» Philippe Claudel, écrivain et cinéaste


Alors qu’il fait salle comble en Flandres, en Allemagne et aux Pays-Bas, le jeune flamand n’avait encore jamais chanté à Bruxelles. C’est chose faite depuis Jeudi où une assemblée émue et ravie, l’a ovationné, lui et les trois musiciens. (…) L’enthousiasme du public tantôt hilare, tantôt ému, ne fait aucun doute. Ceux qui ne savaient pas trop à quoi s’attendre ont eu une belle surprise. Dans l’ambiance intimiste de la petite salle, les musiciens - pianiste, violoncelliste et accordéoniste - plantent les notes en attendant la voix... Et quand l’homme arrive enfin, la salle retient son souffle: la ressemblance physique interpelle, et est soulignée avec humour « Et puis et puis, tu es partie radicale (...) Tu ne m'as laissé que mes dents, et voilà pourquoi je cours, (...) me voyant refuser l'amour, par les femmes et par les juments.»
Tout y est, jusqu’à l’allure dégingandée d’un homme qui aurait grandi trop vite. Le regard fixé sur la scène où il se trouvait quelques minutes plus tôt, il avance prudemment «Je pense qu’il faut être resté un adolescent, dans la fragilité et la révolte, pour que résonnent pleinement la sensibilité et la douce brutalité qui émanent des textes de Brel».

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Vers l'Avenir - Marine Bardin - 6/11/2010

Pour moi, Filip nous fait un cadeau magnifique en chantant, en interprétant, en jouant les textes de Jacques, avec un dynamisme, une gestuelle des plus soufflants.
J'ai parfois fermé les yeux, hier soir au Karreveld… je retrouvais « le galérien des galas », « l'homme en colère », « l'homme qui aime », « l'homme qui nous a sans cesse ébloui tout au long de sa courte carrière »… Je rouvrais les yeux légèrement humectés et je découvrais à chaque mot le travail de Filip. Non, ce n'est pas un clone.

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Cinémaniacs - Roger Simons - le 03/08/2011

A Watermael-Boitsfort, l'Espace Delvaux était debout samedi pour saluer la prestation de Filip Jordens dans son « Hommage à Brel ». Le chanteur a interprété Brel en Flandre pendant des années. Il attaque le public francophone. Allez l'applaudir. (…)"

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Le Soir - Jean-Claude Vantroyen - le 08/11/ 2010

«Avec "Hommage à Brel", Jordens se dévoile comme le fils spirituel de Brel» Het Nieuwsblad (B) (juillet 2000)/ «Jordens détient assurément le personnage de Brel dans ses mains» De Standaard (B) (juillet 2000) / « Le jeune fils de Brel » Het Nieuwsblad (B) (juillet 2000) / «Jacques Brel est de nouveau en vie» De Nieuwe Gazet (B) (juillet 2000) / «"Hommage à Brel" est un bel échantillon d'amour pour Brel, avec respect!... car jusqu'à preuve du contraire, on ne touche pas à Brel. Après quelques morceaux, les applaudissements retentissaient, le tout clôturé par une standing ovation.» De Morgen (B) (oct 2000) / «... feu Johan Anthierens journaliste belge renommé, et inconditionnel de l'œuvre de Brel, n'a pas dit un mot de toute la représentation. Dès que les lumières se sont rallumées, il a balbutié ces quelques mots: "C'est incroyable comme ce gars Lui ressemble, et en plus il Le chante parfaitement". Ce soir-là, Brel est revenu de l’au-delà à plusieurs reprises, pour se confondre artistiquement avec Jordens. Jordens n'imite pas, mais réinterprète, de telle façon que l'espace d'un instant, juste un instant, on dirait que Brel est de retour parmi nous. Une standing ovation. » Het Laatste Nieuws (B) / « Jordens ré-interprète Brel tellement bien, qu'on dirait que le grand Maître est de retour» Het Laatste Nieuws (B) (déc 2001)