Chant du cygne de la mythique Sarah Bernhardt

Vingt-quatre ans après son interprétation de Sarah Bernhardt, au Théâtre du Parc, Jacqueline Bir rendosse le costume de La scandaleuse (un des surnoms de la comédienne). «Divine» aux yeux d’Oscar Wilde, «Voix d’or» pour Victor Hugo, «monstre sacré» du théâtre français selon l’expression choisie de Sacha Guitry, la grande tragédienne Sarah Bernhardt inspire Sarah et le cri de la langouste au dramaturge John Murrell. Dialogue intimiste et vibrant, drôle autant qu’émouvant, la pièce en deux actes, est une évocation bouleversante de l’actrice au soir de sa vie qui, se confiant à son fidèle majordome, fait revivre ses souvenirs


Eté 1922… Sarah Bernhardt, vieillie, tente de dicter ses mémoires à son secrétaire Pitou.
Pour l’aider à se souvenir de cette vie d’aventure, d’audace et de fantaisie, il accepte de jouer les personnages qu’elle veut retrouver.
Ainsi, sa mère, sa sœur, son amant, son mari, son fils, son imprésario américain, un machiniste, Oscar Wilde et George Bernard Shaw répondent tour à tour à une Sarah Bernhardt défiant sa propre mort entre vie et théàtre.

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Jacqueline Bir


CREATEURS
AuteurJohn Murrel 
AdaptateurEric-Emmanuel Schmitt 
Mise en scèneDaniel Hanssens 
Décor sonoreLaurent Beumier 
LumièreLaurent Kaye 
Scénographie et costumesVincent Lemaire 
AVEC
Sarah BernardtJacqueline Bir 
Georges Pitou, secréatire de S. BernardtAlexandre Von Sivers 
Une production Argan42

Jacqueline Bir et Alexandre von Sivers


Merci Monsieur Von Sivers. Merci Madame Bir.
"Sarah" est une œuvre superbe. Après que Georges Wilson l’a adaptée pour la première fois en 1982, en se mettant en scène avec Delphine Seyrig, la pièce a traversé les âges. Jacqueline Bir s’y était déjà impliquée. C’était il y a 25 ans avec Roger Dutoit. Elle réapparaît aujourd’hui, dans une adaptation d’Eric-Emmanuel Schmitt et une mise en scène signée Daniel Hanssens, à propos de laquelle il n’y a rien à redire. C’est beau, c’est décadent, c’est tendre, c’est violent.

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La Libre Belgique - 11/10/2010 - Yves Cavalier

En offrant à Jacqueline Bir et Alexandre Von Sivers cette merveilleuse partition, le metteur en scène Daniel Hanssens a fait un choix plus que judicieux.
La première, tragédienne et comédienne, se glisse idéalement dans la peau de cette femme en pleine prise de conscience, taraudée par l’idée de mourir.
Mutine, cabotine, pathétique, les yeux pétillants de plaisir, le regard éperdu et douloureux, Jacqueline Bir incarne toute la démesure de la grande Sarah.
On retrouve ici un formidable Alexandre Von Sivers.

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Plaisir d'offrir - 5/10/2010 - Muriel Hublet

Jacqueline partage sans doute frénétiquement avec Sarah l’immense mélancolie de la vie et celle du bout de la course… Les deux étoiles se réunissent, à défaut d’atteindre l’éternité rêvée. (…) Elle se complait dans le plaisir de donner « J’ai nourri l’ogre (le public) » et se réjouit « Il te sera beaucoup pardonné car tu as beaucoup aimé…». Elle s’empare de la réplique, de la joie du drame, des mimiques savantes et autres gestuelles théâtrales. Sarah Bernhardt pleure sa vie qui s’éteint, mais Jacqueline, s’amuse au firmament. Quoi de plus beau et de plus étincelant? On ne vous dira pas son âge à la fin, lorsque tombe le rideau!

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Arts et Lettres - 6/10/2010 - Deashelle

Deux comédiens exceptionnels pour incarner le couple explosif composé par Sarah Bernhardt et Pitou son homme de confiance, son confident et son serviteur. Jacqueline Bir et Alexandre Von Sivers en duo savoureux.

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Rue du Théâtre - 31/8/2011 - Michel Voiturier

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Jacqueline Bir et Alexandre von Sivers


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